Par Michel Morin |
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1 |
Introduction, pourquoi ai-je publié cet exposé? |
2 |
Critères bibliques pour être un «ange / messager de Dieu» |
3 |
Réfutation de l'interprétation de William Branham sur l'arbre de la connaissance du
bien et du mal |
4 |
L'appel aux «vainqueurs» de l'esprit accusateur sur l'arbre de la connaissance du bien et du mal |
5 |
Le protocole des
noces de l'Agneau |
6 |
Exposé sur le mystère de l'iniquité |
7 |
Le mystère du procureur coupable de mépris de cour |
8 |
William Branham et «son message», avant
le retour de Christ |
9 |
Réfutation de l'enseignement de William Branham sur l'évolution progressive de la nouvelle naissance |
10 |
Réfutation de l'enseignement de William Branham sur les 70 semaines de Daniel |
11 |
Réfutation de l'interprétation de William Branham sur le rôle du pays d'Israël dans les prophéties bibliques |
12 |
Réfutation de l'interprétation de William Branham sur l'unité de Dieu et sur la divinité |
13 |
Réfutation de l'interprétation de William Branham sur le serpent ancien |
14 |
Réfutation de l'interprétation de William Branham sur les 144,000 d'Apocalypse 7:4, 14:1 et 14:3 |
15 |
Réfutation de l'interprétation de William Branham sur la marque de la bête |
16 |
Réfutation de la prétention de William Branham déclarant que son message a
«réglé les points en suspens» |
17 |
Réfutation Exposé des 7 Âges de l'Église - Le pseudo messager de l'Église d'Éphèse «Paul» |
18 |
Réfutation Exposé des 7 Âges de l'Église - Le pseudo messager de l'Église de Smyrne «Irénée de Lyon» |
19 |
Réfutation Exposé des 7 Âges de l'Église - Le pseudo messager de l'Église de Pergame, «Martin de Tours» |
20 |
Réfutation Exposé des 7 Âges de l'Église - Le
pseudo messager de l'Église de Thyatire, Columba d'Iona |
a |
1e partie : Les
«missionnaires» du symbole de Nicée, le crédo Trinitaire |
b |
2e partie : Expansion du culte de «saint» Martin et du crédo de Nicée |
c |
3e partie : Mythes et légendes sur le personnage de Patrick d'Irlande |
d |
4e partie : Qui est le personnage de Columba d'Iona? |
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5e partie : La piste hagiographique, les légendes
sur Columba |
f |
6e partie : L'héritage diabolique de Columba d'Iona |
g |
7e partie :
L'Église Irlandaise et sa relation avec Rome |
21 |
Réfutation Exposé des 7 Âges de l'Église - Le pseudo messager de l'Église de Sardes «Martin Luther» |
22 |
Réfutation Exposé des 7 Âges de l'Église - Le pseudo messager de l'Église de Philadelphie, «John Wesley» |
23 |
Réfutation Exposé des 7 Âges de l'Église - Le pseudo messager de l'Église de Laodicée «William Branham»
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24 |
Réfutation de l'enseignement et de l'interprétation sur les 7 sceaux et les 7 tonnerres par William Branham |
25 |
Réfutation de l'enseignement et de l'interprétation sur les 7 trompettes par William Branham |
26 |
Clarence Larkin, sa publication de 1918 |
27 |
À propos de «Voice of God Recordings» |
28 |
Lettre ouverte de Sarah Branham aux croyants (du Message) datée de 1989 |
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Cinquième partie de 7 |
«Ils étaient absolument indépendants de Rome.»
« Le messager de cet âge fut Columban. C’était un grand homme de Dieu. J’ai son histoire écrite ici. (...) Il n’accepta jamais la doctrine de Rome. C’était un homme d’une grande foi. Il rejeta l’enseignement de Rome; il n’alla jamais à Rome et rejeta complètement toutes ces choses. Pour autant que je le sache, on ne l’a même jamais canonisé. Comme Martin, Irénée et les autres, on ne l’a jamais canonisé,
parce qu’il était encore dans cette Église qui avait les signes et les prodiges de Pentecôte, et qui croyait. Il n’accepta jamais les enseignements de Rome. Il s’attacha aux enseignements de la Bible, (...) et
ne suivit jamais les enseignements de Rome. (...) Amen! C’est le genre d’homme que j’aime: un croyant! Certainement!" Prédication Exposé des sept âges de l'Église : Âge de l’Eglise de Thyatire de William Branham a été prêchée 65-0005 - Sept âges_chapitre 6 page 207 - LE MESSAGER |
Cette page se réfère à
la prédication de William
Branham, prêchée le 8 décembre 1960,
jeudi soir, Jeff. (Indiana).
Lien vers le texte original en Anglais:
Thyatirean Church Age,
[60-1208]
Lien vers le texte traduit en Français:
L'âge de l'Église de
Thyatire [60-1208]
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anglais simultanement
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Les liens sont soulignés en bleu
(Les liens indiqués avec
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Section du personnage de Columba d'Iona
La piste hagiographique,
les légendes sur Columba
d'Iona La principale source d'inspiration de William Branham sur
Columba d'Iona est une hagiographie Adamnán, le conteur de légendes sur
Columba d'Iona. La crédibilité de l'hagiographie d'Adamnán sur la «vie de
Columba d'Iona» Des miracles «hagiographiques» de
Columba d'Iona en grande quantité L'hagiographie «Vitae Columbae» - un recueil d'anecdotes folkloriques et de
traditions orales sans fondement Columba et «le signe de la croix » William Branham n'enseigne rien sur ce personnage, il n'a fait
que répéter des «légendes hagiographiques» La crédibilité de
William Branham est
proportionnelle à celle
des légendes sur Columba
d'Iona William Branham s'est inspiré des légendes contenues dans l'hagiographie d'Adamnán sur
Columba d'Iona La véracité des faits historiques dérapent, les légendes sur
Columba vont remplacer la réalité
Columba d'Iona ne fut qu'un ouvrier d'iniquité dominé par l'accusateur
En rappel
Rappel: L'intégrité de la Parole de Dieu dans l'évangile de grâce est liée à celle de l'Esprit de Christ Rappel: Pourquoi ai-je publié cet exposé?
Rappel: La puissance des mythes
et des légendes
Rappel: La maturité spirituelle,
quand les chrétiens
cessent d'être des
enfants naïfs
Rappel: Est-ce que les mythes et
les légendes ont leur
place dans la quête de
la vérité spirituelle?
Rappel: Qu'est-ce qu'une hagiographie? Rappel: Quelle est la différence entre une «biographie» et une «hagiographie» ? Rappel: Qu'est-ce qu'un exemplum?
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Réfutation de l'enseignement des Sept Âges de l'Église
concernant le moine et missionnaire
Columba d'Iona
en tant que soi-disant messager de l'Église de Thyatire
(années 606 à 1520)
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Cette section est
intitulée «la piste hagiographique,
les légendes sur Columba d'Iona» C'est pourquoi mon travail
soulignera implacablement tous les
anachronismes rencontrés, les erreurs et
omissions historiques ainsi que les
aberrations par rapport au bon sens et
confrontera les doctrines théologiques
acceptées comme norme avec la vérité
dans une logique implacable.
Éphésiens 4:13
à 15
« […]
(13) jusqu'à ce que nous soyons
tous parvenus à l'unité de la
foi et de la connaissance du
Fils de Dieu,
à l'état d'homme
fait, à la mesure de la stature
parfaite de Christ, (14) afin que nous ne soyons plus des enfants,
flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes,
par leur ruse dans les moyens de séduction,
(15) mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ.
Bien que cette section en particulier s'adresse au personnage de
Columba d'Iona
qui vécut du 7 décembre 521 au 9 juin 597 de notre ère, (saint Columba d'Iona pour les catholiques, ne pas confondre avec
Columban de Luxeuil), vous comprendrez que les textes de cette section ont été rédigés pour démontrer clairement que ceux qui sont qualifiés «d'anges/messagers» qui se «tiennent devant Dieu» (Apocalypse 8: 2) ne peuvent en aucun cas être les personnages historiques nommés dans l'enseignement de «l'Exposé des 7 âges de l'Église» prêché par William Branham.
Aucun des personnages de William
Branham, à par l'apôtre Paul, ne
saurait se qualifier devant le
Seigneur pour être un
«ange/messager» dans la présence de
Dieu. Et cela inclut William
Branham. Pourquoi? Parce que leur
foi était fondée sur des
préceptes humains nourris par la
connaissance de l'arbre du bien et
du mal, dont les fruits n'ont rien à
voir avec ceux de l'arbre de vie.
William Branham: «(45) Saint A... Saint... (Qu’est-ce que je cherchais à dire?)
Columba a fait de même. Saint Martin de même; Irénée, de même. Eux tous croyaient dans la puissance de Dieu, dans la guérison divine, et la puissance du Saint-Esprit. Eux tous, ces saints de l’époque primitive...» Abraham 61-0211 William Branham: «(13) Comme vous autres qui étudiez l’histoire, l’histoire de la Bible, vous le savez, les apôtres du temps primitif, même après la mort de Jésus, en ce temps-là, Polycarpe, Irénée, Saint Martin, Saint
Columban ainsi que tous ceux-là se référaient à ce Marc 16.
Cela doit donc être authentique, sinon ils ne s’y seraient jamais référés.» Le Procès 64-0621
Tout comme
Columba d'Iona, ces personnages, soi-disant «messagers» sont certes des personnages historiques ayant eu un impact sur le volet religieux du «christianisme
religieux», mais à la lumière des Écritures,
aucun d'entre eux n'a jamais rencontré les
critères requis pour «se tenir dans la présence de Dieu» (sauf Paul) ni
a satisfait aux détails particuliers des «lettres adressées personnellement à chaque «ange/messager», que ce soit les louanges, ou les instructions et exhortations du Seigneur.
Je reconnais que William M. Branham a effectivement eu un «impact» sur les frères et sœurs francophones, non seulement du Québec, mais chez tous les francophones du monde entier, mais maintenant je crois qu'il était temps que ce site web voit le jour en langue
française, car l'appel aux vainqueurs cible également tous les francophones répartis dans l'Église de Dieu
parmi les nations.
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William Branham semble s'être inspiré de beaucoup d'hagiographies, comme il l'a d'ailleurs mentionné lui-même à plusieurs reprises. Cependant, deux hagiographies ont beaucoup marqué son imagination, celle sur la vie de Martin de Tours et celle sur la vie de
Columba d'Iona. William, Branham croyait que ces «hagiographies» étaient des «biographies» crédibles comme il l'a déclaré dans sa prédication «Les oints du temps de la fin 65-0725M» «c'est ce que rapportent les écrits de saint Martin. Lisez-le. Et c'est authentique. C'est de l'histoire.» Les liens soulignés ci-après afficheront quelques citations lorsque vous les survolerez avec votre curseur.
Citation de William Branham: «(18) Le messager de cet âge fut
Columban. C’était un grand homme de Dieu. (19) J’ai son histoire écrite ici. (21) C’était un homme d’une grande foi. Comme Martin, Irénée et les autres, on ne l’a jamais canonisé, parce qu’il était encore dans cette Église qui avait les signes et les prodiges de Pentecôte, et qui croyait. (22) Il entendit l’appel audible de la Voix de Dieu. C’est un bon point de plus en sa faveur. Alors, après cela, rien ne put plus l’arrêter: il partit, il se mit en route dès qu’il entendit la Voix audible de Dieu. (23)
L’un des miracles… J’en ai noté plusieurs ici,» L'Âge de l’Église de Thyatire 60-1208 61-0211,
60-1207,
60-1208,
60-1209,
61-1217,
61-1224,
63-0801,
63-1201M, 64-0500,
64-0621, 65-0725M,
65-0725M (2)
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Adamnán d'Iona ou «Saint Adamnan» pour les catholiques, est né vers 624 et est mort en 704 dans sa 77e année, est le 9e abbé d'Iona en Écosse, de 679 à 704. L'Église catholique le fête le 23 septembre. Adamnán
n'a jamais fait de
«miracles» et est né
plusieurs décennies après la
mort de Columba. La plupart des «pseudo informations» que nous avons sur
Columba d'Iona (= Colum Cille) et le monastère d'Iona nous viennent de la «Vita
Columbae», une œuvre hagiographique en trois livres composée par
Adamnán entre les années 697 et 700.
Adamnán d'Iona a écrit trois livres sur Columba, comme suit:
- The Life of Columba - Book I: Of His Prophetic Revelations (anglais)
- The Life of Columba - Book II: On His Miraculous Powers (anglais)
- The Life of Columba - Book III: On the Visions of Angels (anglais)
Dans ces 3 livres d'Adamnán, il y a des histoires de prophéties, de visions, de miracles, de guérisons, d'anges et même de la colonne de feu,
bref tout ce que les
enseignements du «Message
des temps de la fin»
accordent également au
ministère de William Branham.
Il n'en fallait pas plus que
William Branham accorde à ce
personnage de légendes, un
rôle «d'ange/messager» avec
un «message» apostolique
digne de celui de l'apôtre
Paul. Néanmoins, il y a des
limites à être naïf et
tout croyant sincère devrait
à la lumière des Écritures,
sonder quel fut «le
soi-disant message» que
Columba d'Iona a «prêché»
durant son «ministère».
Dans un cas, lors d'une réunion concernant son excommunication avant qu'il parte en exil forcé, l'un des membres du clergé a soudainement couru vers
Columba et l'a embrassé respectueusement.
Quand les autres membres du clergé ont demandé le motif pour le comportement du membre du clergé, il a répondu:
«Si vous aviez vu ce que le Seigneur a jugé bon de me montrer à ce sujet, que vous déshonneur, vous ne seriez jamais J'ai excommunié une personne que Dieu non seulement n'excommunie pas,
selon votre sentence injuste, mais de plus en plus hautement estime. J'ai vu, un pilier des plus brillants avec des tresses enflammées précédant cet homme de Dieu que vous traitez avec mépris; J'ai également vu des saints anges l'accompagner dans son voyage à travers la plaine.
Par conséquent, je n'ose pas le dénigrer que je vois prédestiné par Dieu pour être le chef de son peuple à la vie.»
Or il semble bien que
Columba était un «prophète gentil», exactement avec les mêmes critères requis et énoncés par William Branham pour être défini comme étant un véritable prophète aux proportions bibliques. D'après
Adamnán, Columba avait le don de guérison, lisait les pensées des cœurs, chassait des démons, opérait divers miracles comme «changer l'eau en vin», chassait des bêtes féroces et des monstres, recevait des visites d'anges, avait des lumières célestes ou une colonne de feu au-dessus de sa tête et prophétisait l'avenir. Et pourtant, ce personnage «mystique» n'était qu'un imposteur dont la religion était fondée sur des pratiques ascétiques et monastiques pour tenter
d'atteindre l'apparence «d'une perfection» afin de plaire à Dieu.
William
Branham place
Adamnán parmi
les «puissants enseignants
revêtus de sagesse et de la
puissance de Dieu.
William Branham:
«Saint
Columba fut le fondateur
d’un grand institut
biblique sur l’île d’I
(au large de la côte
sud-ouest de l’Écosse).
(ndlr: Iona) Quand il y
arriva, l’île était si
aride et rocailleuse
qu’elle n’aurait pas
suffi à les nourrir
tous. Mais Columba
planta la semence d’une
main en levant l’autre
main en prière.
Aujourd’hui, l’île est
l’une des plus fertiles
au monde. De cette île
centrée sur la Bible
sortirent de puissants
enseignants revêtus de
sagesse et de la
puissance de Dieu.»
Note:
Adamnán est
un successeur de Columba
en tant que 9e «abbé» de
l'abbaye d'Iona. Dans
l'hiérarchie monastique,
celui qui est à la tête
du monastère s'appelle
un «abbé» d'où aussi le
mot «abbaye». Columba
fut l'abbé-fondateur du
monastère d'Iona (Île
d'Y, ou Iona) et c'est
le soi-disant «institut
biblique» fondé par
Columba dont fait
allusion William
Branham. Laissez-moi
vous dire que ce
monastère n'a jamais été
«centré sur la Bible» et
n'a jamais produit autre
chose que des moines
colportant les règles
monastiques et
ascétiques de Columba,
leur fondateur. William
Branham a lamentablement
erré jusque dans les
détails historiques du
monastère d'Iona.
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Adamnán (en anglais Adomnán), l'hagiographe qui écrivit de la «vie de
Columba d'Iona», n'a jamais connu Columba puisqu'il est né plus de 27 ans après la mort de
Columba. Ils ne se sont jamais rencontrés. Adamnán a écrit l'hagiographie de
Columba d'Iona entre les années 697 et 700.
Bien qu'il n'ait jamais rencontré Columba d'Iona, voici ce qu'Adamnán a écrit à propos de
Columba d'Iona...
« Il avait, (dit Adamnán), une figure angélique : c’était une nature d’élite ; il était brillant dans ses paroles, saint dans ses actions, grand dans ses conseils. Il ne perdait pas un moment, toujours à prier, à lire ou à écrire ; il supportait le poids des jeûnes et des veilles sans répit. »
Source: http://www.eoc-coc.org/accueil/saints-du-mois/juin/saint-Columba/
Note: Comment Adamnán pouvait savoir si Columba d'Iona avait «une figure angélique» puisqu'il l'avait jamais rencontré ? Comme tout le reste, le «portrait» qu'il dresse de
Columba est à l'image de son anecdote de la rencontre de Columba avec le monstre du Loch Ness.
Adamnán, était lui aussi un moine pratiquant la vie ascétique - selon la règle monastique de
Columba - et la rédaction de la «vie de saint Columba» fut publiée dans la dernière décennie du 7e siècle,
avec l'intention avouée de lui rendre un culte «en tant que saint». Grand admirateur de
Columba,
Adamnán y retrace «à sa manière» la vie du «moine fondateur» à qui l'on attribue l'implantation du «phare catholique du monachisme» dans les îles Britanniques, un peu plus d'un siècle auparavant.
La «Vitae» de Columba est un
parfait «exemplum» d'un
personnage qu'on élève au
rang d'un saint à vénérer. Les légendes folkloriques sur «saint Columba d'Iona» mentionnent entre autres, que
Columba rencontra le monstre du Loch Ness. (Wikipédia).
Lorsque la vie du
personnage de Columba d'Iona est examinée avec soin, l'on comprend alors que le personnage que William Branham a choisi ne fut qu'un pantin habilement inspiré par le même «esprit du monachisme de Martin de Tours» dont le focus était complètement centré sur l'ascétisme monastique», et qui n'avait absolument
rien en commun avec la foi apostolique. D'ailleurs vous aurez beau faire des recherches et même une thèse universitaire sur le personnage de
Columba d'Iona, vous ne trouverez jamais chez-lui ni chez ses «compagnons» aucun «message évangélique» autre que celui de son «ascétisme monastique» et son ambition de construire des abbayes et des monastères, et de les remplir d'hommes comme lui mettant tous leurs «efforts pour plaire à Dieu» dans une discipline volontaire du corps et de l'esprit cherchant à tendre vers une «perfection», par une forme de renoncement ou d'abnégation. Ce personnage n'a jamais prêché l'Évangile ni d'ailleurs partagé quoi que ce soit d'évangélique de la part du Seigneur.
Jamais, ce personnage s'approcha à moins de mille milliards d'années-lumière du vrai salut, tel qu'enseigné par l'Évangile apostolique. En fait, je crois que William Branham n'aurait pu choisir pire personnage que
Columba d'Iona pour donner un «exemple de saint» dans l'époque historique du 6e siècle.
Et comme vous le constaterez, «le pur Évangile» de
Columba était encore plus «orthodoxe» que le catholicisme romain d'aujourd'hui. Quand vous aurez compris ce que fut en réalité «la vie de saint
Columba» vous ne verrez plus l'enseignement des 7 âges de l'Église de la même façon. Les pseudo-miracles légendaires de «ce saint» sont des aberrations que William Branham a naïvement pris pour d'authentiques signes divins que Dieu avait «choisi» ce personnage pour «porter Sa Lumière».
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Rappel:
L'hagiographe de
Columba d'Iona, Adamnán d'Iona, n'a jamais connu Columba puisqu'il est né plus de 27 ans après la mort de
Columba. Ils ne se sont jamais rencontrés. Adamnán a écrit l'hagiographie de
Columba d'Iona entre les années 697 et 700.
William Branham s'est
inspiré des fables et
légendes écrites par Adamnán
sans tenir compte du
témoignage
«pseudo-évangélique» du
personnage de Columba d'Iona.
Ce moine n'a jamais compris
la moindre étincelle de
vérité quant à la foi
apostolique, sinon s'est
approprié les enseignements
monastiques de Martin de
Tours, misant l'accès à «sa
perfection» devant Dieu, par
une vie «religieuse» fondée
sur un monachisme ascétique
et d'altruisme, encadrée de
règles monastiques sévères,
(jeunes, mortifications,
abstinence sexuelle, etc...)
au lieu de placer son
espérance dans la pensée
perpétuelle du sacrifice
expiatoire de Jésus qui
régénère pleinement selon
Dieu et qui sanctifie
pleinement le cœur qui s'est
placé sous la nouvelle
alliance en Jésus-Christ.
Selon Adamnán
-
«En plus de ces nombreux miracles,
Columba est l'auteur de nombreuses guérisons miraculeuses
comme celle de son fidèle préposé Diormit et celle du druide Broichan, à la cour du roi Brude (ou Bruide, roi picte mentionné également dans l'Histoire ecclésiastique du peuple anglais).»
-
Adamnan rapporte que Columba
a rencontré et
conquis des «monstres»
assortis à divers
endroits en Écosse, tout
au long de sa vie.
-
Columba est présenté
par Adamnán
comme un prophète faiseur de miracles, inspiré par la grâce divine,
témoin de multiples apparition
d'anges, souvent observées à son insu par des moines trop curieux.
-
Ainsi, par
ses dons de divinations il prédit entre autre des attaques de baleines (probablement des orques) sur des navires
-
Alors qu'un jour Saint Columba séjourne chez les Pictes (qu'il a évangélisé, d'après Bède le Vénérable dans l'Histoire ecclésiastique du peuple anglais), il se rend au bord de la rivière Nesa (le Loch Ness).
C’est ici qu’est mentionnée pour la première fois la
légende du monstre du Loch Ness: alors que des autochtones enterrent l'un des leurs, récemment attaqué par un monstre aquatique dans le lac,
Columba envoie le courageux Lugne Mocumin nager vers l'autre rive du lac.
Alors que la bête surgit pour attaquer Lugne,
Columba la conjure en invoquant la puissance divine; le monstre disparaît alors dans les profondeurs.
-
Un jour, il change de l'eau en vin, et plus tard
il parvient même à ressusciter un mort.
»
-
«Saint Columba» s'oppose aussi à plusieurs reprises aux croyances des Druides pictes païens,
notamment un jour
où sa voix s'élève telle le tonnerre
alors qu'il chante un psaume près de la forteresse de Brude, au voisinage d'Inverness.
-
Il bénit également
une fontaine vénérée par
des Druides pictes, qui
jusqu'à son intervention
rendait gravement malade
tous les gens qui
entraient en contact
avec son eau d'une
manière ou d'une autre
»
-
Au cours de sa vie,
Columba est souvent entouré d'éblouissantes lumières divines chez lui ou à l'église.
-
Événement invraisemblable où Columba tue un
sanglier par le seul
pouvoir de sa voix.
-
Le jour de sa mort, une colonne de feu est aperçue de loin par des pêcheurs. Après quoi le moine Baithene deviendra son successeur à la tête du monastère
d’Iona.
Plus tard, le roi Saxon Oswald, baptisé chez les Pictes, rencontre Columba en vision, ce qui le mène à la victoire dans une bataille en sous nombre contre le roi breton Catlon (Cadwallon). Cette victoire le conduira au trône d’après l'Histoire ecclésiastique du peuple anglais.»
-
La légende du livre de
Columba qui ne pouvait être détruit par l'eau selon Adamnán
Source(s): Life of St. Columba, Adamnan (W. Reeves), 1874,
http://www.fordham.edu/halsall/basis/columba-e.asp Life of St Columba: founder of Hy (Iona), Adamnan (W. Reeves), Llanerch Press, 1988, ISBN 10: 0947992197 / ISBN 13: 9780947992194 Source:
http://esmeond.wixsite.com/resumestableronde/la-vie-de-columba
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Les «pseudo miracles» de Columba racontés plus de 100 ans après sa mort, n'ont d'autres objectifs que d'élever le personnage au «rang de saint» afin qu'on le vénère comme le veut la tradition de l'Église de Rome.
En fait, les hagiographies
des premiers saints étaient
souvent «embellies ou
inventées» à des fins de
persuasion religieuse plutôt
que d'archives historiques.
Selon
Wikipedia,
«...l'œuvre la plus important d'Adamnán, et celui pour lequel il est le plus connu, est la «Vita Columbae» (La vie de
Columba), une hagiographie du fondateur de l'abbaye d'Iona, «Saint» Columba, probablement écrite entre 697 et 700.
Le format emprunte dans une certaine mesure de le même style hagiographique utilisé par Sulpice Sévère qui publia «la vie de Saint Martin de Tours.» Adamnán a adapté les formes traditionnelles de la
«biographie chrétienne» pour regrouper des anecdotes et des légendes sur Columba
thématiquement plutôt que chronologiquement, et présente Columba
en le comparant à un héros dans la mythologie gaélique.
L'historien Jeffrey Wetherill suggère que
l'une des motivations pour écrire la Vita était d'offrir Columba comme un modèle pour les moines, et ainsi améliorer la position d'Adamnán en tant qu'abbé. La biographie est de loin l'œuvre survivante la plus importante écrite au début de l'Écosse médiévale, et est une source vitale pour notre connaissance des Pictes, ainsi qu'un aperçu de la vie d'Iona et du moine gaélique du début du Moyen Age.»
La légende du monstre du
Loch Ness - «Saint» Columba (année 565)
«Le premier rapport du
monstre du Loch Ness connu a
eu lieu dans la vie de Columba par
Adamnán.
Il décrit comment vers
l'an 565 Columba a sauvé la vie d'un Pict,
nommé Lugne, qui était censé être attaqué par le monstre.
Adamnán décrit l'événement comme suit:
«... (Il) a levé sa main sainte, tandis que tous les autres, frères et étrangers, étaient stupéfaits de terreur, et, invoquant le nom de Dieu,
a formé le signe de la croix en l'air, et
a commandé au monstre féroce,
en disant: Tu n'iras pas plus loin, tu ne toucheras pas l'homme; reviens à toute vitesse.» Alors, à la voix du saint, le monstre était terrifié et s'enfuit plus vite que s'il avait été tiré avec des cordes, bien qu'il eût été si près de Lugne
pendant qu'il nageait, qu'il
n'y avait pas plus que la longueur d'un bâton de lance entre l'homme et la bête: alors les frères voyant que le monstre était rentré, et que leur camarade Lugne leur
fut rendu dans la barque, sain et sauf, furent frappés d'admiration, et Dieu a rendu gloire à l'homme béni, et même les païens barbares qui étaient présents ont été forcés par la grandeur de ce miracle, qu'ils avaient vu, à magnifier le Dieu des chrétiens
».
Source: CHAPTER XXVIII.
How an Aquatic Monster was driven off by virtue of the blessed man's prayer. Source(s): Life of St. Columba, Adamnan (W. Reeves), 1874,
http://www.fordham.edu/halsall/basis/columba-e.asp Life of St Columba: founder of Hy (Iona), Adamnan (W. Reeves), Llanerch Press, 1988, ISBN 10: 0947992197 / ISBN 13: 9780947992194
Source:
http://esmeond.wixsite.com/resumestableronde/la-vie-de-columba
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Lorsque
William Branham a lu l'histoire,
concernant le roi qui avait
refusé d'ouvrir les portes de sa
muraille à Columba et qui
s'étaient «par miracle» ouvertes
d'elles-mêmes, il a surement lu
que Columba avait fait «le signe
de la croix trinitaire» qui
selon la légende «avait un
pouvoir miraculeux» lorsque ce
geste rituel était exercé par
Columba. Cela aurait du sonner
quelques cloches à William
Branham. Au contraire, il a tout
assimilé cette légende comme «un
vrai miracle» et même noté et
raconté l'anecdote «du miracle»
dans son sermon
L'Âge de l’Élise de Thyatire 60-1208.
Selon l'église catholique romaine, le signe de croix est un des gestes les plus fondamentaux de la prière chrétienne. Toujours fait au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, il est sensé rappeler, en même temps que la mort du Christ sur la croix, la résurrection du Christ, la profession de foi trinitaire. Donc, le signe de croix est un geste rituel «catholique» consistant à simuler «une croix» avec deux ou trois doigts de la main droite.
Source:
https://eglise.catholique.fr/glossaire/signe-de-la-croix/
Le signe de croix a longtemps été à certains niveaux associé à des pouvoirs surnaturels comme celui de repousser le mal, de chasser les démons, etc.
Aujourd'hui, l'Église catholique admet que cet «aspect mystique» du signe de croix est totalement faux et n’a aucun fondement biblique. Source:
https://www.gotquestions.org/Francais/signe-de-croix.html
Les «soi-disant miracles» de
Columba sont des anecdotes folkloriques, ne contenant absolument rien en rapport avec l'Évangile. D'ailleurs, lorsque
Columba «fait le signe de la croix» pour chasser un monstre ou pour «ouvrir des portes» ce geste purement catholique n'a absolument rien en commun avec la puissance de Dieu. Les quelques anecdotes des «soi-disant miracles» de
Columba répétés par William Branham ne mentionnent jamais «le signe de la croix» du moine/abbé
Columba, lorsque ce dernier commande «au nom de Dieu». Columba et ses moines furent les «missionnaires» du dogme de trinitaire Nicée. Ce n'est pas tant les miracles folkloriques de
Columba qui dérangent, mais la «naïveté» de William Branham qui a associé le personnage de
Columba à un «authentique ange/messager» du Seigneur, se tenant
«dans la présence de Dieu. |
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La légende du démon chassé d'un seau de lait, obéissant «avec le signe de la croix» selon Adamnán
La légende du monstre du Loch Ness, obéissant «avec le signe de la croix» selon Adamnán
La légende des portes qui s'ouvrent «avec le signe de la croix» selon Adamnán
La légende du «couteau» béni «avec le signe de la croix» par
Columba selon Adamnán |
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Citation de William Branham «280 Revenons au commencement, au jour de Pentecôte, lorsque le Saint-Esprit tomba sur l’Église. Le Message a continué jusqu’à Smyrne; Irénée s’y trouvait, un grand saint de Dieu, parlant en langues, ayant la puissance de Dieu, ressuscitant les morts, guérissant les malades; il marchait dans la Lumière. Après lui, ce fut
Columba,
un grand et
puissant
saint de
Dieu. Et beaucoup d’autres grands saints qui transmirent le Message, marchant dans la Lumière, la Lumière de l’Évangile, la même Lumière que celle qui brilla le jour de Pentecôte; Christ Se tient au milieu de Son Peuple, ces sept chandeliers d’or reflétant Son éclat comme le soleil lorsqu’il brille dans sa force. ...»
Vision de Patmos 60-1204E
Citations de William Branham: «(20) L’étoile de cet âge était
Columba, d’Irlande et d’Écosse, un neveu de Martin; il a vécu environ soixante ans après Patrick, et son ministère commence donc environ soixante ans après celui de Patrick.
(21) Il n’accepta jamais la doctrine de Rome.
C’était un
homme d’une
grande foi. Il rejeta l’enseignement de Rome; il n’alla jamais à Rome et rejeta complètement toutes ces choses.»
William
Branham:«Pour autant que je le sache, on ne l’a même jamais canonisé.
Comme
Martin, Irénée et les autres, on ne l’a jamais canonisé,
parce qu’il était encore dans cette Église qui avait les signes et les prodiges de Pentecôte, et qui croyait. Il n’accepta jamais les enseignements de Rome. Il s’attacha aux enseignements de la Bible, suivant en cela l’exemple de sa pieuse mère, la sœur de Martin, et ne suivit jamais les enseignements de Rome. Il enseigna que les signes de Marc 16 devaient accompagner chaque croyant. Amen! C’est le genre d’homme que j’aime: un croyant! Certainement!
»
Note:
La
déclaration
de William
Branham
concernant
la
non-canonisation
d'Irénée de
Lyon, Martin
de Tours et
Columba d'Iona
est
non-fondée.
Ces 3
personnages
sont des
saints
vénérés
officiellement
par l'Église
Catholique
romaine.
Bien que William Branham
l'a appelé
«Saint
Columba», je désire vous rappeler que
ce
personnage n'a de
«saint» que le titre que l'Église Catholique Romaine lui a donné. De plus, je crois que William Branham n'a pas vraiment consulté certaines archives, pourtant disponibles à tout chercheur sérieux, lorsqu'il affirme que
Columba n'a jamais été canonisé ou reconnu par l'Église Catholique Romaine.
La canonisation est un processus établi par l'Église catholique et les Églises orthodoxes, conduisant à la reconnaissance officielle d'une personne comme 'sainte', et proposée alors comme modèle exemplaire de vie chrétienne. Le saint ou la sainte reçoit une place dans le calendrier liturgique de l'Église, date à laquelle il est liturgiquement commémoré et invoqué.
Une canonisation équipollente
est une canonisation décidée par un simple décret du pape sans que la reconnaissance d'un miracle ne soit nécessaire. Cette forme de canonisation, codifiée par Benoît XIV au XVIIIe siècle, nécessite trois éléments : la possession ancienne d’un culte lié à la personne à canoniser, l’attestation constante et répandue de ses vertus ou de son martyre par des historiens dignes de foi et la réputation ininterrompue d’accomplissement de prodiges. Lorsque ces conditions sont remplies le pape peut, de sa propre autorité, sans procès ni cérémonie de canonisation, procéder à une canonisation équipollente, c’est-à-dire étendre à l’Église universelle le culte liturgique en l'honneur du bienheureux.
( Canonized: pre-Congregation - http://www.scborromeo.org/saints/columba.htm )
Wikipédia: Saints des Églises catholiques et orthodoxes: Saint Columba d'Iona († 597), « Colum(b) Cille », « Colombeau », abbé irlandais, apôtre de l'Écosse, fondateur du monastère d'Iona.
Fête le 9 juin.
Source:
http://fr.radiovaticana.va/news/2016/05/09/martin_de_tours__un_saint_pour_leurope/1228612
William
Branham:«(22)
Il entendit l’appel audible de la Voix de Dieu. C’est un bon point de plus en sa faveur. Alors, après cela, rien ne put plus l’arrêter: il partit, il se mit en route dès qu’il entendit la Voix audible de Dieu.»
William
Branham:«(23)
L’un des miracles… J’en ai noté plusieurs ici, mais je ne vais en raconter qu’un. Il se dirigeait vers une certaine ville où le Seigneur l’avait envoyé, mais cette ville ne voulait pas le recevoir. Les gens sortirent et essayèrent de… Ils fermèrent les portes de la ville, et y amenèrent des musiciens qui eurent pour mission de jouer assez fort pour couvrir sa voix. Mais lui commença à prêcher, et c’est sa voix qui couvrit le bruit des musiciens; alors les portes s’ouvrirent, il entra, continua à prêcher, et tous ces gens se convertirent!
»
Dans
l'Exposé des
sept âges de
l'église
nous
retrouvons
l'anecdote
écrit de la
façon
suivante:
«Au cours d’un de ses voyages missionnaires, en s’approchant d’une ville fortifiée, il trouva les portes closes pour l’empêcher d’entrer. Il éleva la voix en prière pour que Dieu intervienne et lui ouvre l’accès auprès des gens pour prêcher. Mais pendant qu’il priait, les magiciens de la cour firent un grand vacarme pour le déranger. Il entonna alors un psaume. Alors qu’il chantait, Dieu amplifia tellement le volume de sa voix qu’il couvrit les cris des païens.
Soudain, les portes s’ouvrirent brusquement d’elles-mêmes. Columba entra, prêcha l’Évangile, et gagna beaucoup d’âmes au Seigneur.
Sept âges_chapitre 6 page 210
Note: ce
«miracle» se
trouve au
chapitre 36,
du Livre II,
intitulé «BOOK II.
ON HIS MIRACULOUS POWERS» écrit par Adamnán
. La version
de William
Branham
semble avoir
«évoluée»
quelque peu.
Texte
original:
«Of the sudden opening of the door of the Royal Fortress of its own accord.
At another time, when the saint made his first journey to King Brude, it happened that the king, elated by the pride of royalty, acted haughtily, and would not open his gates on the first arrival of the blessed man. When the man of God observed this, he approached the folding doors with his companions, and having first formed upon them the sign of the cross of our Lord, he then knocked at and laid his hand upon the gate, which instantly flew open of its own accord, the bolts having been driven back with great force. The saint and his companions then passed through the gate thus speedily opened. And when the king learned what had occurred, he and his councillors were filled~with alarm, and immediately setting out from the palace, he advanced to meet with due respect the blessed man, whom he addressed in the most conciliating and respectful language. And ever after from that day, so long as he lived, the king held this holy and reverend man in very great honour, as was due.
»
https://sourcebooks.fordham.edu/basis/columba-e.asp
William
Branham:
«(24)
Voici encore un autre petit miracle que j’aimerais vous raconter. Il entra dans une ville. En ce temps-là, les villes étaient fortifiées. Il entra donc dans la ville, mais on le mit à la porte. Il s’en allait, quand le fils du chef tomba gravement malade; on envoya alors des gens rappeler le bon saint. Celui-ci revint
et s’étendit en travers du garçon mourant qui revint à la vie.
»
Note: ce
«miracle» se
trouve au
chapitre 33,
du Livre II
d'Adamnán,
intitulé «BOOK II.
ON HIS MIRACULOUS POWERS»
. Là encore
la version
de William
Branham
semble avoir
«évoluée»
quelque peu.
Texte
original: CHAPTER XXXIII.
Of the boy whom the holy man raised from the dead, in the name of the Lord Christ.
«AT the time when St. Columba was tarrying for some days in the province of the Picts, a certain peasant who, with his whole family, had listened to and learned through an interpreter the word of life preached by the holy man, believed and was baptized the husband, together with his wife, children, and domestics.
A very few days after his conversion, one of the sons of this householder was attacked with a dangerous illness and brought to the very borders of life and death.(...) When all this was told to the blessed man, he burned with zeal for God, and proceeded with some of his companions to the house of the friendly peasant, where he found the afflicted parents celebrating the obsequies of their child, who was newly dead. The saint, on seeing their bitter grief, strove to console them with words of comfort, and exhorted them not to doubt in any way the omnipotence of God. He then inquired, saying, "In what chamber is the dead body of your son lying?" And being conducted by the bereaved father under the sad roof, he left the whole crowd of persons who accompanied
him outside, and immediately entered by himself into the house of mourning, where, falling on his knees, he prayed to Christ our Lord, having his face bedewed with copious tears. Then rising from his kneeling posture, he turned his eyes towards the deceased and said, "In the name of the Lord Jesus Christ, arise, and stand upon thy feet." At the sound of this glorious word from the saint, the soul returned to the body, and the person that was dead opened his eyes and revived.
(...) We must thus believe that our saint had the gift of miracles like the prophets Elias and Eliseus, and like the apostles Peter, Paul, and John, he had the honour bestowed on him of raising the dead to life, and now in heaven, placed amid the prophets and apostles, this prophetic and apostolic man enjoys a glorious and eternal throne in the heavenly fatherland with Christ, who reigns with the Father in the unity of the Holy Ghost forever.»
https://sourcebooks.fordham.edu/basis/columba-e.asp
«(25) Son église était remplie du Saint-Esprit, et il voulait que chaque membre de cette église fût rempli du Saint-Esprit. Il détestait de tout son cœur la hiérarchie de Rome et s’y opposait fortement. Je crois que c’est lui qui fut l’étoile de son âge. Que faisait-il?
Il parlait en langues, baptisait au Nom du Seigneur Jésus, apportant les mêmes choses qu’au début.»
L'Âge de l’Élise de Thyatire 60-1208
«D’une voix audible, Dieu l’appela à être missionnaire. Après qu’il eut entendu la voix de Dieu, rien ne put l’arrêter,
et son ministère miraculeux a poussé de nombreux historiens à le ranger aux côtés des apôtres. Son ministère fut si glorieux, accompagné de grands signes surnaturels, que certains (surtout des têtes pensantes à Rome) ont cru exagérés les récits qu’on en avait faits.»
Exposé des sept âges de l'Église - L'Âge de Thyatire
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Citation de William Branham:
«Le pur Évangile que prêchaient Columba et ses collaborateurs se répandit dans toute l’Écosse,
et cette contrée se tourna vers Dieu.»
Exposition des Sept Âges de l'Église ", chapitre six, l'Église de l'âge de Thyatire, le Messager)
Ici, l'affirmation de William Branham, à propos
du PUR ÉVANGILE de Columba, dénote un manque total de connaissance du personnage de
Columba. Je tiens William Branham entièrement responsable d'avoir enseigné des sottises pareilles et d'avoir induit en erreur des tas de frères et sœurs qui ont tout avalé naïvement, parce que William Branham exerçait un «don de guérison»! Ou bien, William Branham ne sait pas ce qu'est «le pur
Évangile» ou bien il ne sait absolument pas ce que Columba d'Iona croyait et enseignait! Quiconque fait quelques recherches historiques sérieuses sur
Columba,
ne trouvera jamais rien, pouvant soutenir l'affirmation de William Branham. C'est toute la crédibilité de l'enseignement de William Branham qui encaisse le dérapage de cette affirmation, et cela devient particulièrement très gênant pour les «gens du Message»!
Columba était un moine/abbé, et sa
perception du «salut de l'Évangile» était celle de ses
prédécesseurs qui avaient tous, non seulement accepté le dogme de Nicée, mais également toute l'orthodoxie et la liturgie catholique de leur époque, et la compréhension du «salut» de
Columba était
centrée exclusivement sur une vie d'ascèse,
dictée par une règle monastique (des lois et préceptes) que les moines devaient suivre et accomplir pour «atteindre la perfection» requise pour devenir «un saint catholique», comme les personnages de «saint Antoine» et de «saint Martin».
Ce n'est pas tant «l'orthodoxie et le monachisme ascétique» de
Columba d'Iona qui dérangent, mais l'indéfendable enseignement de William Branham, un prédicateur qui a utilisé son extraordinaire influence, pour justifier une doctrine complètement fausse! Il me semble que si j'avais eu à présenter un personnage historique, comme «modèle» de foi du «pur Évangile», afin d'illustrer ce que pouvait être
«un ange/messager», se tenant dans la
présence de Dieu, je n'aurais jamais osé choisir un homme comme
Columba d'Iona
comme l'a fait William Branham! ou même tenter de vous faire croire qu'on avait affaire à un «saint»!
Il y en a qui diront: «La «foi» de Columba est «excusable» parce qu'il a vécut «dans la lumière» de «son âge» qui était déjà pas mal «obscurcie»! Désolé de vous contredire, mais «sa lumière» était entièrement «ténèbres» et jamais personne ne pourra parler DE PUR ÉVANGILE, dans le cas de
Columba. Cet homme faisait du prosélytisme pour implanter un «système» contrôlé par un réseau d'abbayes et de monastères, en imposant aux populations leur «liturgie» et leurs cultes, et si
Columba et ses moines avaient vécu aux jours de Jésus, ce dernier leur aurait dit:
«Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte ; et, quand il l'est devenu, vous en faites un fils de la géhenne deux fois plus que vous. (Matthieu 23:15)
et
«Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins d'ossements de morts et de toute espèce d'impuretés.» (Matthieu
23:27)
Colossiens 2:23 :
«Ils ont, à la vérité, une apparence de sagesse, en ce qu'ils indiquent un culte volontaire, de l'humilité, et le mépris du corps, mais ils sont sans aucun mérite et contribuent à la satisfaction de la chair.»
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Columba d'Iona ou Columkill ou Colomkille ou Colombeau ou Colme ou Colombus ou Saint
Columba (7 décembre 521 - 9 juin 597) Pour commencer, les anecdotes sur les faits et gestes de
Columba d'Iona publiés par Adamnan ont été écrits plus de cent ans après les événements présumés.
De plus, différentes versions de l'histoire sont en désaccord les unes avec les autres. Dans la légende du monstre du Loch Ness,
Columba extirpe hors de l'eau la première victime du monstre en posant son bâton sur sa poitrine.
Il est noté également que ceci n'est qu'un des nombreux événements extraordinaires dans l'hagiographie d'Adamnan. Selon lui,
Columba dégoulinait de prophéties et de prédictions qui devenaient réalité. Il changea l'eau en vin comme Jésus, puisa l'eau d'un rocher comme Moïse, apaisa une tempête en mer, produisit une pêche miraculeuse, multiplia un troupeau de bétail, chassa un démon d'un seau à lait et guérit des malades. Un livre appartenant à
Columba ne pouvait pas être détruit par l'eau. Par ses prières, il a tué un sanglier, empêché les serpents de nuire aux habitants d'une certaine île. Les anges et des manifestations de lumière divine l'ont assisté tout au long de sa vie. Le récit d'Adamnan
fourmille tellement de contes incroyables que c'est justement «incroyable». Sources : Adamnan. "Life of St. Columba." Medieval Sourcebook. http://www.fordham.edu/halsall/basis/columba-e.html
Edmonds, Columba. "St. Columba." The Catholic Encyclopedia. New York: Robert Appleton, 1914. Vann, Joseph, editor. "St. Columba." Lives of Saints with Excerpts from their Writings. New York: John J. Crawley & Co., 1954. Et pourtant, William Branham a affirmé:
- «
Columba, un grand et puissant saint de Dieu.»
- « C’était un homme d’une grande foi.»
- « Dans cette Église qui avait les signes et les prodiges de Pentecôte...»
- « Il entendit l’appel audible de la Voix de Dieu
- « L’un des miracles… J’en ai noté plusieurs ici,...»
-
« Voici encore un autre petit miracle que j’aimerais vous raconter.»
- « Son église était remplie du Saint-Esprit»
- « Il parlait en langues, baptisait au Nom du Seigneur Jésus, apportant les mêmes choses qu’au début.»
- « Le pur Évangile que prêchaient
Columba et ses collaborateurs se répandit dans toute l’Écosse, et cette contrée se tourna vers Dieu. ».
L'Âge de l’Élise de Thyatire 60-1208
Les miracles de «Saint»
Columba: Sources: https://www.apostolia.eu/fr/articol_1183/lapotre-des-pictes--saint-Columba.html
«La tradition cite beaucoup de récits portant sur les miracles et les merveilleuses guérisons accomplis par
Columba, qui paraît-il possédait aussi le don de prophétie. Ainsi, il dévoilait aux gens les péchés qu’ils avaient commis, connaissait les événements passés, ou annonçait des événements futurs.
Columba avait aussi reçu une grande puissance sur les démons.»
«La tradition relate de nombreux miracles opérés par lui. Pour n’en citer qu’un seul : lorsqu’il habitait en Ecosse, des paysans vinrent chez lui, en amenant un enfant pour le faire baptiser. Ne trouvant pas d’eau tout près,
Columba se mit à genoux et pria longtemps.
Puis, il bénit un rocher, un torrent d’eau en jaillit, tel celui que Dieu fit jaillir à la prière de Moïse au milieu du désert. Avec l’eau sortie du rocher
Columba baptisa l’enfant, et fit sur lui une prophétie, qui se réalisa quelques années plus tard.» «Il s’intéressait beaucoup aux Irlandais qui vivaient en Écosse, mais en même temps il portait de l’intérêt à ses monastères d’Irlande, car les moines qui y vivaient étaient ses fils spirituels. Il priait sans cesse pour eux et il leur envoyait souvent, par ses disciples, des lettres pour les rassurer et conseiller. Il visita même quelques fois son pays natal, car il aimait sa patrie et son peuple. D’un tempérament vif et ferme, il avait toutefois une âme très sensible.
Le monastère d’Iona devint le centre de l’activité missionnaire parmi les pictes, mais aussi pour les Anglais du nord du pays. Les liens étroits qui existaient entre
Columba et la famille royale des Dal Riad, lui ont facilité énormément la mission parmi les nobles pictes. Bien sûr, à cause de sa mission
Columba avait aussi beaucoup d’ennemis, parmi lesquels les druides, mais, de même que Saint Patrick, il les vainquit par la grâce de Dieu.
Un jour, Columba célébra la Divine Liturgie aux côtés de *ceux qui allaient devenir plus tard les saints Comgall, Kenneth, Brendan et Cormac. (*saints catholiques) «À la fin de la Liturgie, Brendan avoua à tous avoir vu une flamme au-dessus de la tête de
Columba, se dressant ensuite doucement vers le ciel. Bien des fois, une lumière surnaturelle l’entourait pendant la prière, d’après le témoignage de son entourage.
La merveilleuse découverte de la mort et la vénération de saint Columba
Tout comme dans le cas d’autres personnes, Dieu a dévoilé à saint Columba le jour de sa mort. Une semaine avant avant celle-ci, son visage se remplit de lumière alors qu’il célébrait la divine Liturgie. Après l’office, il confia à ses moines qu’un ange était venu lui annoncer que Dieu leur demandait un trésor très cher pour Lui. Ceux-ci ne comprirent qu’une semaine plus tard, qu’il s’agissait de l’âme même de
Columba. Le samedi suivant, accompagné par l’un de ses moines, il alla bénir le monastère, et après les Vêpres, il leur donna ses derniers conseils.» «La tradition nous relate que le jour même de sa mort il copia des textes de la Sainte Ecriture. C’était une occupation qui lui était très chère, et qui était utile en même temps pour son époque, bien antérieure à la découverte de l’imprimerie. Des enluminures de
Columba seraient conservées jusqu’à présent sur quelques exemplaires du Psautier (Art. Heiliger Kolumba, dans l’ouvrage de Joachim Schäfer, Das Őkumenische Heiligenlexikon, dans l’édition online
http://www.heiligenlexikon.de/BiographienP/Patrick_von_Irland.htm , page consultée le 13 mars 2012).
Conformément à la même tradition, Columba mourrut dans l’église, la nuit de samedi à dimanche, avant de célébrer la divine Liturgie. C’était en 597, la nuit du 9 juin, jour annuel de sa fête depuis lors. Ses reliques restèrent à Iona, accomplissant de nombreux miracles, jusqu’en 849 ; elles furent ensuite déplacées à Dunkeld, à cause des attaques des Vikings.»
«Au
Moyen-âge Columba fut vénéré dans toute l’Europe. En Irlande et en d’autres lieux il est encore fêté aujourd’hui avec beaucoup de dévotion. Il est parfois représenté vêtu comme un moine bénédictin, bien qu’il n’ait jamais fait partie de cet ordre.
Columba est à présent le patron des poètes irlandais, mais aussi le protecteur de ceux qui sont menacés par le feu. Dans le Massachussetts, un monastère orthodoxe est dédié à Saint
Columba, placé sous la
juridiction canonique de Monseigneur Nicolas, Archevêque de l’Archevêché Orthodoxe Roumain d’Amérique et du Canada.»
Autres anecdotes
Il est une anecdote qui raconte que, vers la fin de sa vie, il prit conscience qu'il ne lui restait pas longtemps à passer dans ce monde. La semaine de sa mort, fatigué après une marche, il s'assit et le cheval de trait blanc fidèle du monastère accourut vers lui, posa sa tête sur sa poitrine, et pleura comme un homme. Le saint fut étonné que l'animal soit au courant de réalités que ses moines ne connaissaient pas, et qu'il soit venu lui dire adieu. Il bénit le cheval, qui se détourna et poursuivit son chemin.
Columba était entouré de légendes, puisque certains moines pensaient qu'il avait un troisième œil et d'autres qu'il avait trois bras ou encore douze doigts à chaque main! Il faut imaginer qu'à cette époque, comme l'écriture était un savoir que peu de gens maîtrisaient, les «informations» se transmettaient essentiellement par la parole, et devenaient rapidement des «histoires»? On ne s'étonne donc pas qu'un personnage un peu exceptionnel comme
Columba ait suscité l'invention de détails tout à fait fantaisistes.
Le monde de relative ignorance dans lequel les gens vivaient à cette époque était donc propice au développement de croyances assez irrationnelles? où se mêlaient des croyances «chrétiennes» et des croyances païennes. Ainsi, selon la légende, ce serait Saint
Columba lui-même qui serait l'artisan (ou le premier artisan) du Livre de Kells. Comme ce livre est une œuvre magistrale, il a pu se développer des croyances autour de son auteur, par exemple, que celui-ci avait un troisième œil ou un troisième bras ou des doigts surnuméraires? qui «expliqueraient» son exceptionnel talent d'artiste. Source: https://www.grignoux.be/dossiers/270/ «Les légendes de
Columba nous donne un avant-goût tant du renard que de la colombe.
La Vie de
Columba, par
Adamnán, fourmille d'histoires où Columba parle avec des Anges, envoie un Ange sauver un moine qui tombe d'un toit, est battu par un Ange pour le convaincre d'obéir au choix de Dieu (plutôt qu'au sien) pour le choix d'un roi pour la colonie gaélique en Écosse. Il est présenté comme ravi en contemplation, voyant
«d'un esprit miraculeusement élargit... l'orbite entière du globe terrestre et la mer et le ciel qui l'entoure.» De ces visions, il proclame des prophéties, envoie des moines pour aider des gens en détresse, ou prie pour revigorer ses moines épuisés travaillant aux champs.
En matière de rois, Columba s'en tient à ses propres idées. Bien qu'il prie pour le succès militaire des rois que Dieu a choisis, il discute leur choix avec les Anges. Il affronte par sa puissance le roi des Pictes, l'écrasant de Psaumes bruyants, défonçant ses lourdes portes en chêne, et repoussant la magie des druides du roi. Il bat même des animaux sauvages : un féroce sanglier tombe raide mort, et un étrange monstre sur le Loch Ness s'enfuit face à sa puissance. Bien que la puissance de
Columba soit souvent dépeinte d'une manière imagée, son influence était en fait la clé de sa victoire sur les rois de l'Écosse gaélique, et ses pouvoirs légendaires étaient suffisamment célèbres pour que ses moines, par la suite, parviennent à convaincre les Pictes de se convertir.
Après sa mort, la puissance politique et militaire de Columba devint un élément-clé de son culte. Ses reliques furent emportées à la bataille par de petits chefs Irlandais et des rois Écossais – une de ses reliques précédait l'armée écossaise lors de sa victoire à Bannockburn en 1314.
Des décennies après sa mort, une apparition particulière au roi anglais de Northumberland fut décisive dans l'histoire du Christianisme en Grande-Bretagne. Ce roi était Oswald, qui avait été élevé en exil sur Iona. Alors qu'Oswald livrait la bataille par laquelle il allait assurer sa royauté,
Columba
apparu en
grand au
dessus du
champ,
promettant
la victoire,
une
apparition
qu'un auteur
moderne a
comparée à
Batman
survolant
Gotham City. En 635, Oswald envoya des missionnaires d'Iona pour renouveler par leur sobriété monastique et leurs bonnes
œuvres le Christianisme du Northumberland, qui était occupé à vaciller.» Source: http://stmaterne.blogspot.com/2007/06/saint-columba-diona-aptre-des-scots-et.html
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Et c'est à partir de ce moment que les légendes sur
Columba commencent, transformant l'exil forcé en «appel missionnaire» pour «évangéliser» l'Écosse, et pour «créer» un vénérable «saint» qui devient plus tard un modèle «de sainteté» à imiter.
Il est raconté, qu'après avoir été trouvé responsable de la mort de «trois mille âmes non préparées à l'éternité»,
Columba fut vraiment «troublé dans l'âme», et qu'il trouva sa vie misérable, malheureuse et pleine de troubles; mais cependant, selon ses admirateurs qui l'ont vénéré, le remords avait «semé dans son âme les germes à la fois d'une conversion saisissante et de son zèle missionnaire». «Différentes légendes» nous le montrent durant cette crise de sa vie, errant longtemps de solitude en solitude, de monastère en monastère, recherchant de «saints moines», maîtres de la pénitence et de la «vertu chrétienne», et leur demandant anxieusement ce qu'il doit faire pour obtenir «le pardon de Dieu pour le meurtre de tant de victimes.»
Enfin, «après de nombreuses errances dans la contrition et la mortification», «il trouva la lumière qu'il recherchait chez un saint moine», aujourd'hui nommé «saint Molaise», célèbre pour ses études des Écritures, et qui avait déjà été son confesseur.
Ce sévère ermite, «saint Molaise», confirma la décision du synode, mais ajouta l'obligation de convertir à la «pseudo foi chrétienne» un nombre égal de païens comme il y avait «d'âmes non préparées à l'éternité» tués dans la terrible bataille de Cúl Dreimhne. En d'autre mots,
Columba fut «condamné à «fonder des abbayes et des monastères» et faire du prosélytisme» pour les remplir. En plus, le confesseur Molaise, condamna son pénitent à l'exil perpétuel d'Irlande! À partir de cet instant, on dit que
«sa vie fut un acte prolongé de sacrifice pénitentiel». Pendant trente ans, il vécut et travailla dans la lointaine île d'Iona. Dans toutes ses chansons -
car plusieurs de ses compositions nous sont parvenues - sa tristesse ne trouva guère de consolation d'avoir été banni de son Irlande natale.
Un mot à propos de «saint Molaise» le «confesseur de
Columba». Ce personnage fut clairement un individu important dans le développement du «pseudo-christianisme» en Écosse. En tant qu'évêque ordonné par le pape saint Grégoire qui plaide en faveur des pratiques romaines, il est un lien important entre la fondation primitive de l'église écossaise et l'établissement épiscopal ultérieur relevant de l'autorité romaine.
Columba quitta l'Irlande, pour revenir, semble-t-il, une seule fois, seulement plusieurs années plus tard.
Plusieurs vont peut-être penser que Columba fut «poussé à l’immigration» par son zèle missionnaire, mais il fut plutôt exilé, sans doute pas comme le veut la légende, pour des raisons politiques liées à son rôle dans les rivalités qui ont opposé les membres de la famille royale, après qu'il eut exécuté et emporté sans l'accord de Finnian de Moville, la copie d’un précieux manuscrit romain.
En Écosse
Dans ce contexte, son influence ne fut pas uniquement spirituelle mais aussi fortement politique.
D'après l'histoire, en 563,
Columba partit en exil et alla en Écosse avec douze compagnons (dits d'Odran d'Iona) dans un currach (embarcation) en osier recouvert de cuir. Selon la légende, il a d'abord atterri sur la péninsule de Kintyre, près de Southend. Cependant, étant toujours en vue de l'Irlande, sa terre natale, il s'est déplacé plus au nord sur la côte ouest de l'Écosse. L'île d'Iona lui fut confiée par son parent Conall mac Comgaill, roi de Dál Riata, qui l'avait peut-être invité à venir en Écosse en premier lieu. (Référence (Anglais)
https://opensource.com/law/11/6/story-st-Columba-modern-copyright-battle-sixth-century-ireland Autres sources:
Columban: Missionary to Scotland, by Sinclair Ferguson http://www.ligonier.org/learn/articles/Columban-missionary-scotland/ Friends of Orthodoxy on Iona. http://www.orthodoxiona.com/saint-Columban-of-iona.html
Condamné, toujours selon la légende, à « convertir autant de nouveaux chrétiens qu’il en était morts par sa faute », il s’installe avec douze compagnons en 563 sous la protection du roi Conall mac Comgaill de Dal Riada sur la petite île de Iona, ancien lieu sacré des druides, située au large de l'île de Mull et il en fait une plaque tournante de ses missions et interventions, tant au royaume de Dal Riada que chez les Pictes.
Ici nous avons un «moine catholique de l'Église Irlandaise», lequel selon «l'histoire», à l'âge de 25 ans, est
déjà le fondateur de 25 monastères et de 40 églises catholiques d'Irlande et d'Écosse. Les théologiens s'entendent pour dire que
Columba a jeté les bases monastiques de l'Ordre cistercien, (abréviation OCist ou SOCist),
qui est un ordre religieux de moines
et de
nonnes.
Même si
je
m'efforçais
d'utiliser
toutes
les
métaphores
pour
essayer
de vous
dire que
ce
personnage
était à
un
milliard
d'années
lumière
de
l'authentique
foi
apostolique,
je vous
affirme
qu'à
moins de
comprendre
exactement
et
parfaitement
ce que
signifie
«se
tenir
dans la
présence
de Dieu»
par une
pensée
perpétuelle
du
sacrifice
expiatoire
de
Jésus,
vous ne
pouvez
saisir
ce que
signifie
«être un
ange» de
Dieu et
«voir»
le
Royaume
de Dieu.
William
Branham
a
enseigné
que Dieu
«avait
restauré»
progressivement
«des
croyances
religieuses
hybrides
et
diaboliques»
en «foi
authentique»
au cours
des âges
et que
des
personnages
religieux
imbus
d'ascétisme
et
d'altruisme
cherchant
inlassablement
«la
perfection»
pour
plaire à
Dieu, se
sont
qualifiés
pour
qu'on
leur
accorde
le rôle
«d'anges/messagers»
de Dieu.
Seuls
les
authentiques
vainqueurs,
de la
pure
race
divine,
règneront
avec
leur
frère
ainé,
Jésus.
C'est
pourquoi,
je
rejette
complètement
tout
l'enseignement
dispensationaliste
de
William
Branham,
que
j'assimile
à
l'enseignement
du
dragon
qui
cherche
à
entrainer
l'Église...
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Le personnage de Columba d'Iona fut sans doute un homme intelligent et surtout doué pour convaincre les gens de son époque, soit pour le suivre ou le supporter dans ses multiples projets. D'après les hagiographies et documents historiques sur la vie de
Columba d'Iona, il apparaît clairement que ce personnage a démontré un zèle hors du commun durant sa vie, laquelle fut vouée inconditionnellement à l'essor du monachisme ascétique. Même en faisant abstraction des légendes sans fondement qui l'entourent, il m'apparaît vraisemblable que ce qui demeure acceptable du point de vue historique, nous renseigne sur sa propre condition morale et spirituelle, constamment tiraillé de remords, de culpabilité sans jamais obtenir de repos. Bref
ce personnage fut un ouvrier du mystère de l'iniquité, ayant tout misé sur les vertus humaines concentrées dans un monachisme rigoureux, à la recherche d'une satisfaction et d'une sécurité insaisissable, et d'une paix intérieure qu'il n'a jamais pu atteindre, car dominé par l'esprit de l'accusateur, jour et nuit. Ce personnage fondateur de monastères, tout comme celui de Martin de Tours qui a influencé le monachisme irlandais, est devenu une légende par lui-même, et encore de nos jours, ses œuvres sont encore célébrées et il suffit de quelques clics sur Internet pour consulter tout ce que l'on désire savoir sur lui. Cependant, ce n'est pas tant
qu'il soit célébré chez les gardiens du mystère de l'iniquité et par ceux qui ne connaissent pas Dieu, mais le fait que William Branham ait eu l'audace de servir les œuvres de cet homme en guise d'exemple de sainteté, et de l'élever au rang «d'ange-étoile-messager» divin, se tenant dans la présence de Dieu, est désolant et inacceptable. Si William Branham a manqué de discernement et n'a pas su reconnaître l'authentique identité de
Columba d'Iona, c'est probablement qu'il n'avait pas en lui-même, l'Esprit qui discerne «les pensées du cœur» comme il l'a prétendu.
Columba d'Iona fut tout le contraire de ce que William Branham a allégué sur ce personnage, tout comme pour le personnage de «saint-Martin» (Martin de Tours) . Non,
William Branham n'a rien révélé du tout, il n'a fait que tout embrouiller.
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En rappel |
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Ce texte vise à vous introduire dans l'Esprit de cette page. Commençons donc par lire ces deux passages des Écritures:
Hébreux 4:12 « Car la Parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur.» Apocalypse 2:12 « Écris à l'ange de l'Église de Pergame: Voici ce que dit celui qui a l'épée aiguë, à deux tranchants:»
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L'Évangile apostolique prêché par l'apôtre Paul exprimait un message d'une telle précision, d'une telle amplitude, d'une telle perfection divine, que la moindre altération du concept du salut, tel que prêché par Paul, non seulement rendait nulle l'efficacité de toute l'Alliance spirituelle en Jésus-Christ mais annulait complètement l'action de l'Esprit de rédemption. Les analogies et les métaphores modernes pour expliquer à quel point l'intégrité d'un système nécessitant une précision absolue pour fonctionner ne manquent pas. Prenez n'importe quel programme informatique ou un système d'exploitation d'un ordinateur, et insérez-lui un élément corrompu, (bug informatique ou pilote
défectueux), et c'est tout le système qui tombe en
panne. Rien ne va plus. Insérez une erreur dans l'ordinateur de bord d'un avion et ce sont tous les passagers et membres d'équipage qui sont en danger. Ainsi, je désire vous faire la démonstration que toute altération de «l'Esprit de l'Évangile» de Paul rendait «vaines, obsolètes et caduques» toutes les promesses de la Nouvelle Alliance. Autrement dit, insérez un «bug» spirituel, même celui qui semble inoffensif, et c'est toute l'Alliance qui n'est plus accessible. Toute insinuation ou allégation proposant un enseignement visant à propulser un personnage historique ayant endossé un
«Évangile altéré» dans une zone spirituelle «acceptable» par l'Esprit de Christ, et ce, sous prétexte que le personnage était sincère et ne disposait pas de toute la vérité à son époque, est contraire à l'intégrité de l'Esprit de Christ. Même si vous croyez que Dieu est miséricordieux, toujours prêt à pardonner, et qu'Il peut accueillir n'importe qui à la condition que la personne est sincère, cela ne marche pas. Cette page va vous démontrer, preuves historiques irréfutables à l'appui, que le personnage choisi par William Branham,
Columba d'Iona ou Columban, était un ouvrier du mystère de l'iniquité de l'Église de Rome, ce qui contredit complètement
ce que William Branham a dit à son sujet. Même si vous tentez d'interpréter la prophétie de Joël 2:25, « Je vous remplacerai les années qu'ont dévorées la sauterelle, Le jélek, le hasil et le gazam, ma grande armée que j'avais envoyée contre vous.» en suggérant que Dieu a étalé
«une restauration» de ce qui a été dévoré, sur presque 2000 ans, cela ne marche pas.
Par conséquent, il est totalement impossible d'attribuer les vertus de rédemption de la Nouvelle Alliance à quiconque n'est pas «un seul esprit» avec Christ, qu'il soit un évêque, un moine prédicateur ou un réformateur. C'est en méditant sur le passage dans Hébreux 4:12 qu'on voit que la précision de la pensée de Christ, telle que témoignée par l'apôtre Paul dans le passage de
1 Corinthiens 2:16 et celui de 1 Corinthiens 6:17 ne
laisse place à aucune interprétation différente ou altérée ou variante du message de l'Évangile apostolique. Il serait par conséquent complètement faux de prétendre qu'un Évangile altéré d'un seul «iota» puisse quand même être acceptable aux yeux de Dieu et que dans «Sa grâce» Il va quand même honorer le «protocole de son Alliance» avec son peuple même si les conditions de l'Alliance ne sont pas remplies. C'est exactement ce qu'a tenté de faire croire l'enseignement «des 7 âges de l'Église».
Matthieu 5:18 « Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. » |
Aucun critère, ou principe divin contenu dans la Nouvelle Alliance ne peut faire l'objet d'une altération. En vertu du principe divin, que Dieu ne change pas Sa Parole, ses promesses et ses critères pour passer de la mort à la vie dans la nouvelle naissance, il est acquis que pas un
seul «iota ou principe établi» dans la «disposition ou Alliance de Dieu» ne peut être altéré, sinon le contrat est complètement nul et sans effet. Et que disent les termes de la Nouvelle Alliance?
- Jésus est notre frère ainé
Romains 8:29
.
- Le Père de Jésus est aussi le nôtre, son Dieu est notre Dieu
Jean 20:17
- Nous sommes de la même famille spirituelle que celle de Jésus
Hébreux 2:11
- Par son sacrifice expiatoire, nous sommes restaurés au grain de blé original (Jésus)
Jean 12:24
- Par la nouvelle naissance nous recevons le même Esprit que Jésus
1 Corinthiens 6:17
- Nous sommes transformés à la même image et nature que celle de Jésus
2 Corinthiens 3:18
- Nous devenons participants de la nature divine
2 Pierre 1:4
- Nous sommes restaurés à la perfection de Dieu
Matthieu 5:48
- Nous sommes saints comme Dieu est saint
1 Pierre 1:16
Sans contredit, les 2 plus grandes promesses contenues dans la Nouvelle Alliance, promises au peuple saint, sont:
- La SAINTETÉ de Dieu, qui n'est pas humaine, que l'on retrouve en tant que prophétie à quelques endroits dans l'Ancien Testament Lévitique 20:26 et répété dans le Nouveau Testament ans
1 Pierre 1:16 et dans le passage de Éphésiens 4:24
- La JUSTICE de Dieu, qui n'est pas humaine et que l'homme ne peut produire, tel que témoigné à Moïse dans Deutéronome 9:5 et
déclaré par l'apôtre Paul dans Philipiens 3:9
Hébreux 6:19 « Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l'âme, sûre et solide ; elle pénètre au delà du voile, »
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Apocalypse 7:3 « Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu.»
La sainteté progressive ou progressive n'a jamais existé dans l'Esprit de Dieu qui réside dans l'Alliance de la réconciliation! Et pourtant, la plupart des Églises enseignent une auto-sanctification progressive qui est contraire aux Écritures! C'est pourquoi je réfute de telles doctrines, telles que l'Exposé des 7 Âges de l'Église! Lisons dans Hébreux:
Hébreux 8:10 « Mais voici l'alliance que je ferai avec la maison d'Israël, Après ces jours-là, dit le Seigneur: Je mettrai mes lois dans leur esprit, Je les écrirai dans leur cœur ; Et je serai leur Dieu, Et ils seront mon peuple.»
Ainsi tout autre Évangile prêché et enseigné qui altère les principes de Sainteté divine et de Justice divine conféré par la nouvelle naissance, est non seulement un faux Évangile mais travaille de concert avec le mystère de l'iniquité. En aucun cas, un personnage historique tel qu'Irénée de Lyon, Martin de Tours,
Columba d'Iona, Martin Luther ou John Wesley n'a jamais professé la foi apostolique qui confère à celui qui croit, la nature divine, la même sainteté et perfection que celle de Jésus.
Éphésiens 4:24 « (...) et à revêtir l'homme nouveau, créé selon Dieu dans une
justice et une sainteté que produit la vérité. » |
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La doctrine des «7 âges de l'Église» repose essentiellement sur des enregistrements audio qui ont été produits lors des prédications de William Branham. Les principales prédications portant sur le thème des 7 âges de l'Église,
ont été prêchées entre 1960 et 1965, lesquelles par la suite, ont été transcrites et traduites (en Français et autres langues) pour servir de références aux disciples «du Message des Temps de la fin». Selon les enseignements véhiculés par le groupe du «Message», le ministère de prédication de William Branham a apporté
«le véritable Message de l'heure» , lequel est sensé s'adresser aux véritables croyants, l'Épouse de Christ.
Citation WMB. Lorsque le livre de «l'Exposé des 7 âges de l'Église» parut, ce livre devint très important pour les disciples du «Message», malgré le manque flagrant de références et de
bibliographie sur les personnages cités par William Branham. Et c'est malheureusement là que les transcriptions des enregistrements audio des prédications, causent un grave problème. Si les brochures contenant les transcriptions des prédications audio de William Branham étaient considérées comme des rédactions destinées à l'enseignement (incluant l'édification spirituelle), ces brochures devraient également offrir aux lecteurs une méthodologie bibliographique élémentaire, surtout lorsque des personnages historiques et des dates sont mentionnées, ce qui n'est vraisemblablement pas le cas. Dans le cas de l'enseignement «des 7 âges de l'Église», William Branham a été appelé à consulter un grand nombre d’ouvrages, afin de livrer des prédications dont l’objectif était de convaincre son auditoire. À part quelques
brèves allusions à quelques sources historiques pour tenter d’étayer ses argumentations, comme par exemple, des citations puisées dans des sources hagiographiques (mythes et légendes de saints catholiques), William Branham n'a pas su déterminer et répertorier les travaux de recherche déjà entrepris concernant le sujet, sauf peut-être «l'hagiographie de saint Martin» et d'autres saints catholiques. De même, l'absence de sources bibliographiques dans les brochures de ses prédications, n'offre aucun moyen d’étayer ses argumentations par des citations puisées dans des sources. Normalement, étant donné que la rédaction d'un travail destiné à l'enseignement se veut un travail personnel, tout ce qui
est rapporté dans un document doit être le résultat de ses efforts personnels. Il est donc important de référencer les auteurs dont les écrits ont permis d’étayer ses affirmations. On ne doit en aucun cas s’approprier des travaux des autres, au risque de tomber dans le plagiat. D’autant plus que cela permet de repérer rapidement les sources citées. Contrairement aux autres œuvres écrites sérieuses, notamment les
travaux de recherche scientifique ou les thèses universitaires portant sur des thèmes bien précis, les transcriptions des prédications audio de William Branham ne sont pas étayées par aucune référence solide, provenant de travaux dignes de crédibilité et vérifiables, avec nom de l'auteur, dates et source documentée littéraire. Dans le cas des personnages que William Branham a choisis pour «anges/messagers», il aurait dû normalement rédiger une bibliographie permettant de rehausser son travail de recherche afin d’appuyer ses opinions par des démonstrations déjà faites par d’autres auteurs, et faire preuve d’éthique professionnelle, en reconnaissant
les travaux des autres auteurs. À cet effet, j'ai comparé plusieurs extraits dans certaines brochures sur «les âges de l'Église» avec un autre auteur, et je peux facilement prouver hors de tout doute, qu'il a subtilement plagié un grand nombre de textes sans en citer la source d'origine, textes qui lui sont maintenant personnellement attribués. En d'autres mots, tout lecteur/lectrice d'une brochure provenant de la transcription d'une prédication de William Branham doit s'en tenir au contenu et donner un «chèque en blanc» à tout ce qui est écrit.
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2 Corinthiens 11:3 «Toutefois, de même que le serpent séduisit Ève
par sa ruse, je crains que vos pensées ne se corrompent et ne se détournent de la simplicité à l'égard de Christ.»
William Branham a certes consulté beaucoup d'ouvrages disponibles dans des bibliothèques ou accessibles via divers réseaux de distribution de littérature «chrétienne» de son temps, mais il était trop souvent limité aux «hagiographies» et documents de «théologie catholique romaine» et de «théologiens» dont les travaux étaient tout aussi discutables
et sans fondements solides, et qui présentent les mêmes lacunes de références crédibles, sinon des explications fondées sur des interprétations personnelles des Écritures. Bien que William Branham ait développé cet aspect de non-crédibilité à propos des théologiens, il semble qu'il a fait plusieurs «exceptions», lesquelles je ne manquerai pas de souligner implacablement.
Citation [61-0730M] Ainsi, lorsque des personnages et des faits purement historiques sont cités dans les prédications de William Branham, n'importe se rend compte que «les transcriptions des prédications» de William Branham ne renvoient leurs lecteurs à aucune référence ou source vérifiable, et que tout lecteur doit exclusivement se fier
aux propres commentaires de William Branham, contenus initialement dans la transcription de sa prédication audio. Malheureusement, il semble bien que quiconque désire vérifier les allégations, affirmations et déclarations de William Branham risque de découvrir qu'un très grand nombre de celles-ci relèvent carrément de ses propres opinions personnelles, lesquelles ne reposent sur rien de concret ou tangible. Aussi, lorsque quelqu'un doute ou remet en question les enseignements de William Branham, il semble que «le noyau dur» des disciples «du Message» ne peut admettre que leur prédicateur William Branham, se soit trompé ou ait enseigné une doctrine truffée d'erreurs, historiques et théologiques, et que tous ceux qui contestent les
«allégations, déclarations et affirmations» de William Branham sont des «incrédules» rebelles «au message de l'heure» et n'ont pas «la vraie foi inconditionnelle» qui «croit aveuglément» tout ce qu'a enseigné leur «prophète William Branham» et qui est l'équivalent de «la Parole de Dieu» infaillible.
Citation [57-0922E] Le fait que William Branham a intentionnellement déclaré qu'il ne parlait que lorsqu'il était «inspiré» de Dieu,
Citation [61-0412], a pu induire en erreur ceux et celles qui n'avaient pas d'autres références que son «ministère de guérison», et pourtant les écritures étaient claires sur ce point.
Citation [Matthieu 7:22]
Ce site Internet a été créé dans le but précis d'examiner soigneusement tous les critères requis selon la Parole de Dieu pour qu'une personne soit spirituellement qualifiée pour être un «ange» ou un «messager» du Seigneur dans la présence de Dieu. Cette étude vise expressément la crédibilité de l'enseignement et la «doctrine dispensationaliste» des 7 dispensations ou «7 âges de l'Église» ainsi que celle de la «révélation progressive» sur laquelle repose tout l'enseignement des Sept Âges de l'Église, des «7 sceaux» et des «7 tonnerres», tel que prêché par William M. Branham. Ce site
n'est pas une attaque sur le «don de guérison» de William M. Branham, mais cible seulement la crédibilité de William Branham en tant qu'enseignant biblique, laquelle est à mon avis, complètement nulle, et je réfute toutes «ses interprétations» qui sont liées aux volets historiques et spirituels, lesquels sont associés à des personnages qu'il a délibérément choisis de sa propre initiative, afin d'enseigner les soi-disant «âges» de l'Église... Ainsi, avec ce site web, William Branham reçoit ce qu'il mérite, «selon ses œuvres». La clé de mes réfutations se trouve dans l'analyse soigneuse, que j'ai effectué sur le «personnage historique» qu'a choisi William
Branham, «Columba d'Iona», sur sa vie, ses quelques écrits et témoignages, ses préceptes centrés sur son «monachisme ascétique», sa «théologie catholique» ainsi que les personnes avec lesquelles il s'est associé et tous ceux qu'il a admirés et qui l'ont inspiré. Dans le cas de l'évaluation de William Branham concernant le personnage de
Columba d'Iona, ses déclarations frisent carrément l'obscénité et l'insulte lorsqu'il affirme que : (...) Le pur Évangile que prêchaient
Columba et ses collaborateurs se répandit dans toute l’Écosse, et cette contrée se tourna vers Dieu. »
*** [65-0005] Sept âges_chapitre 6 page 207 - LE MESSAGER *** Je suis presque assuré que très peu d'entre vous ont pris le temps de lire à propos du personnage de
Columba d'Iona et que
tout ce que vous avez entendu et connu du personnage, provient de l'enseignement «des 7 âges de l'Église» lorsque William Branham a prêché sur le «soi-disant» messager de l'Église de Thyatire. Cette page a pour but de vous montrer comment William Branham s'est littéralement inspiré des «légendes hagiographiques» d'un personnage «très religieux» que William Branham nomme «saint
Columba» et dont
«la réputation hagiographique» a été créée par un auteur nommé Adomnan d'Iona ou «saint Adamnan». Adomnan, l'hagiographe de la «vie de
Columba d'Iona», était lui aussi un moine pratiquant la vie ascétique - selon la règle monastique de
Columba - et la rédaction de la «vie de saint Columba» fut publiée dans la dernière décennie du 7e siècle, avec l'intention avouée de lui rendre un culte «en tant que saint». Grand admirateur de
Columba, Adomnan y retrace «à sa manière» la vie du
«moine fondateur» à qui l'on attribue l'implantation du «phare catholique du monachisme» dans les îles Britanniques, un peu plus d'un siècle auparavant.
Les légendes folkloriques sur »saint Columba d'Iona» mentionnent entre autres, que
Columba rencontra le monstre du Loch Ness. (Wikipédia). Lorsque la vie du
personnage de Columba d'Iona est examinée avec soin, l'on comprend alors que l'homme que William Branham a choisi ne fut qu'un pantin habilement inspiré et dirigé par un «esprit» dont le focus était complètement centré sur l'ascétisme monastique, et qui n'avait absolument rien en commun avec la foi apostolique. En fait, je crois que William Branham n'aurait pu choisir pire personnage que
Columba pour donner un «exemple de saint» dans l'époque historique du 6e siècle. Et comme vous le constaterez, «le pur Évangile» de
Columba était encore plus «orthodoxe» que le catholicisme romain d'aujourd'hui. Quand vous aurez compris ce que fut en réalité «la vie de saint
Columba» vous ne verrez plus l'enseignement des 7 âges de l'Église de la même façon.
La plupart des archives historiques, sont actuellement
disponibles en quelques clics et des
centaines de graphiques et
d'illustrations deviennent accessibles
pour tout chercheur sérieux, ce qui
n'était pas le cas il y a 50 ans.
Néanmoins vous devez comprendre que tout
enseignant crédible et intègre qui se
respecte s'en tient aux faits véridiques
et vérifiables dans tout leur contexte,
qu'ils soient politiques, sociaux ou
religieux. Lorsqu'un historien se base
sur des fables, des légendes (hagiographies) et des
allégations pour interpréter l'histoire,
c'est tout son enseignement au complet
qui est visé et remis en question, peut
importe qu'il soit sincère ou non. Les
faits historiques vérifiés ne
s'inventent pas ni s'interprètent, car
ils parlent d'eux-mêmes. Cette étude
soulignera implacablement tous les
anachronismes rencontrés, les erreurs et
omissions historiques ainsi que les
aberrations par rapport au bon sens et
confrontera les doctrines théologiques
acceptées comme norme avec la vérité
dans une logique implacable.
Bien que cette page en particulier s'adresse au personnage de Columba d'Iona qui vécut du 7 décembre 521 au 9 juin 597 de notre ère, (saint Columba d'Iona pour les catholiques, ne pas confondre avec
Columban de Luxeuil), vous comprendrez que les textes de cette page en particulier ont été rédigés pour démontrer clairement que ceux qui sont qualifiés «d'anges/messagers» qui se «tiennent devant Dieu» (Apocalypse 8: 2) ne peuvent en aucun cas être les personnages historiques nommés dans l'enseignement de «l'Exposé des 7 âges de l'Église» prêché par William Branham. Tout comme
Columba d'Iona, ces personnages, soi-disant «messagers» sont certes des personnages historiques ayant eu un impact sur le volet religieux du «christianisme», mais à la lumière des Écritures, la majorité d'entre eux n'ont jamais rencontré les
critères requis pour «se tenir dans la présence de Dieu» (sauf Paul) ni ont satisfait aux détails particuliers des «lettres adressées personnellement à chaque «ange/messager», que ce soit les louanges, ou les instructions et exhortations du Seigneur. Je reconnais que William M. Branham a effectivement eu un «impact» sur les frères et sœurs francophones, non seulement du Québec, mais chez tous les francophones du monde entier, mais maintenant je crois qu'il était temps que ce site web voit le jour en langue Française, car l'appel aux vainqueurs cible également tous les francophones répartis dans l'Église de Dieu. Veuillez prendre note que vous pouvez à tout moment communiquer avec moi en m'écrivant à
michel@lalumieredusoir.ca
Que le Seigneur ajoute Sa bénédiction à la lecture de cette publication!
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Les
faits historiques vérifiables avec
preuves à l'appui, ne
s'inventent pas ni ne s'interprètent, car
ils parlent d'eux-mêmes, et ne
comportent aucun «mystère» à
élucider, et évidemment les
histoires vraies
n'attirent pas les enfants. Aucun
parent ne borde son enfant à l'heure
du dodo, avec des histoires sur la
découverte du Canada par Jacques
Cartier ou la première traversée de
l'atlantique en avion par Charles
Lindbergh. Par contre, qui n'a jamais été fasciné par les contes et les légendes ? Ces histoires
ont souvent bercé notre enfance
pendant quelques années et une fois qu'on
a grandi, c'est avec nostalgie qu'on
se rend compte que notre entendement
rationnel a fait basculer notre
doute de leur authenticité pour de
bon.
Mme Garine Papazian-Zohrabian, psychologue clinicienne et professeure adjointe en psychopédagogie à l’Université de Montréal,
explique :
« Vers 6 ou 7 ans, les enfants atteignent l’âge de raison et commencent à développer la notion du temps, de l’espace… C’est à ce moment-là que le doute s’installe », explique la psychologue. En invitant l’enfant à réfléchir de lui-même, on évite de le « désinformer », ce qui pourrait nuire à son développement.
En bas âge, les légendes se veulent des repères importants pour les tout-petits, alors qu’ils essaient de s’expliquer la réalité. « L’enfant ne comprend pas encore le monde comme nous, et les légendes deviennent alors des symboles des thèmes universels comme le bien et le mal. Dans les histoires, le bien finit toujours par gagner et c’est pourquoi il est rassurant d’y croire. »
Mme Papazian précise également que « les enfants qui vivent dans un contexte difficile ont un plus grand besoin de ces personnages, qui deviennent une source de réconfort ».
Même si la découverte de la vérité entraîne une déception, c’est une étape à franchir pour grandir. « Une fois l’enfant prêt, il doit reconnaître le bien dans le vrai monde et ne pas s’accrocher à l’imaginaire.»
Source:
http://www.yoopa.ca/education/developpement-de-lenfant/limportance-de-croire-aux-legendes
Les psychologues expliquent que
chez plusieurs individus adultes, certains
mythes persistent, car semble-t-il, l'être
humain a besoin d’eux et aussi parce
qu'il peut s’identifier aux différents héros ou personnages de ces mythes…
On admet
que les personnages de cinéma ou de roman transmettent
«des valeurs morales».
Par conséquent, l'on peut dire que le mythe
«idéalisé» absorbé par la naïveté de
l'enfance est le dernier rempart avant que
la quête de la vérité n’aboutisse
pour qu'un jour, une conscience
rationnelle équilibrée témoigne
enfin du stade de la maturité.
Est-ce que les «valeurs» de certains personnages
mythiques seraient une «version de réponse» à
des questions que l'être humain se
pose, c’est-à-dire une proposition pour la vérité que l’on ne sait pas
?
Les industries du roman et du
cinéma peinent à fournir à une
demande continuelle, des héros exemplaires
et des aventures extraordinaires, afin d’illustrer des rêves et des idéaux, inculquant des valeurs morales et sociales.
Prenons
par exemple, le mythe du cowboy
incorruptible, le héros que tout le
monde aimerait avoir comme ami:
c'est un personnage mythique qui a
survécu à l'enfance d'un grand
nombre d'adultes, et sa personnalité
est fondée sur les valeurs
américaines. Il est un homme
libre et nomade, éloigné de la
réalité. C'est un habile cavalier
n’ayant peur de rien. C'est
le héro mythique qui est toujours
prêt a braver le soleil et la pluie
et sait toujours se tirer d'affaire
dans les situations périlleuses ou
problématiques. Son foulard le
protège du vent et de la poussière.
Avec ses bottes, il porte aussi des
jambières. Il sait manier le
revolver et se transforme volontiers
en justicier pour défendre la veuve
et l'orphelin. Son intégrité ne
s'achète pas. L’outil principal d’un cowboy est son cheval et bien entendu sa seule richesse est la selle de celui-ci. Le cowboy est aventureux et possède de multiples savoirs.
Les héros mythiques et légendaire
illustrent généralement des valeurs
telles la détermination et le
courage, l’intrépidité et la
bravoure. Encore aujourd'hui,
l’image du cowboy coiffé d’un
chapeau en feutre indéformable et
aux bords larges, est un personnage
inconditionnel du Stampede de
Calgary ou du festival western de
St-Tite au Québec.
Mais,
direz-vous, nous sommes aujourd'hui,
moins naïfs et plus rationnels
qu'autrefois: peut-être, par
exemple, si vous observez ce qui se
passe en politique. Après avoir fait
confiance au progrès social promis
par les politiciens-prophètes
pendant plusieurs générations, avec
leurs promesses de prospérité qui
devaient résoudre tous les problèmes
de leur société, injustice, maladie
et pauvreté, le public les condamne
maintenant avec leur «système de
collusion corrompu». Observez ces
manifestants qui défient les
autorités et qui sont poussés
par un vent «d'intégrité» n'exigeant
pas moins qu'une «transparence complète»
dans toute l'administration de leurs
politiciens
et le
libre accès à toutes les
informations sur leurs faits et
gestes. Que s'est-il passé? Il fut
pourtant une époque où la société
croyait naïvement aux
promesses et les politiciens
n'avaient pas de comptes à rendre... tout comme la société
faisait confiance aveuglément à
l'intégrité du clergé catholique
œuvrant dans les séminaires et les
pensionnats, sans même imaginer que
leurs enfants risquaient d'être
abusés. Serait-ce que la
naïveté sociale d'une certaine
époque est révolue? La société
a-t-elle évoluée? Peut-être qu'une
certaine maturité sociale s'est
manifestée...
Et l'Église «catholique» ? Qu'en est-il de la
naïveté des chrétiens, qui ont cru
aveuglément les fables, les mythes
et les légendes sans jamais poser de
questions, et tout ce qu'on leur a
enseigné? À quand la démission des
pasteurs du «Message des Temps de la
fin« qui ont abusé de la naïveté des
frères et sœurs en colportant
l'ignorance fondée sur des mythes et
des légendes ?
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Dans le chapitre précédent, j'ai
fait allusion au phénomène d'une
certaine prise de conscience sociale
vis-à-vis la politique et le clergé
catholique.
Mais voyez-vous, il n'y avait pas
seulement des «prophètes-politiciens
du progrès technique et
scientifique» et un clergé qui nous
faisait «acheter des petits chinois»
via leur œuvre de «la sainte
enfance», mais il y avait
également d'autres sortes de
prophètes dont «l'inspiration» aux discours prometteurs
et subtils, lesquels par leurs
enseignements religieux ont berné
plusieurs personnes «sincères» dans
leur quête de la vérité.
Malheureusement, les disciples de
ces prédicateurs étaient trop «naïfs»
pour faire la part des choses, pour
vérifier la source des «mystères»
qui leur étaient «interprétés» et
comprendre qu'ils s'étaient
aveuglément réfugiés dans de fausses
sécurités, bâties sur des «héros»
qui n'en étaient pas, des mythes et
des légendes sans fondement créés
pour entretenir l'imposture
spirituelle. Regardez tous ces groupes de gens qui suivent aveuglément les enseignements de leurs ministres du culte, sans jamais se poser de question. Pourquoi n'osent-ils pas vérifier si ce que l'on leur enseigne est juste? Ils ont peur! La peur de «vérifier» un enseignement religieux auquel on a donné foi au début, dénote un manque de maturité spirituelle. Dans le cas du groupe du «message des temps de la fin», qui «oserait» sonder les enseignements d'un prophète sans «risquer» d'attirer sur lui la réprobation du Seigneur et de ses frères et sœurs?
Voici ce que dit
l'apôtre Paul sur son ministère:
«C'est lui
que nous annonçons, en avertissant
tout homme et en
instruisant tout homme en toute
sagesse, afin de rendre tout homme
parfait (homme parfait, ayant
atteint la
maturité spirituelle) en Christ.
C'est à cela que je travaille, en
combattant avec sa force qui agit
puissamment en moi.» Colossiens 1:28-29
«[…] jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l’état de l’homme adulte, à la mesure de la stature parfaite du Christ.»
Éphésiens 4 : 13.
« […] Mes frères, ne soyez pas des enfants pour ce qui est du jugement ; pour ce qui est du mal, soyez des enfants, mais pour ce qui est du jugement, soyez des adultes. »
1 Corinthiens 14 : 20.
Comment percevons-nous les choses et jugeons-nous les priorités dans nos vies ? Recherchons-nous toujours le Royaume de Dieu et sa justice, comme des adultes expérimentés et matures ou
bien nous conduisons-nous comme des enfants ? Paul nous conseille de garder la naïveté de l’enfance uniquement en ce qui concerne la malice, la méchanceté, le désir de nuire mais en ce qui concerne nos raisonnements, nos priorités, nos jugements, comportons-nous en hommes faits. Ne jouons pas avec la vie spirituelle.
Et, comme si nous n’avions pas compris, Paul rajoute :
«…parce que vous êtes devenus lents à comprendre. Alors que vous devriez, avec le temps, être des maîtres… »
Hébreux 5 : 11-12.
L’apôtre Paul voudrait nous faire comprendre les profondeurs de Christ, les mystères de la Parole de Dieu, mais il constate notre incapacité alors que nous
confessons «connaître» le Seigneur depuis longtemps. Nous devrions être des maîtres, capables d’éduquer, d’enseigner, d’entraîner, d’exhorter les autres mais nous nous conduisons comme des enfants dont la compréhension est lente et limitée.
Déjà, dans Matthieu 17 :17, Jésus s’est impatienté :
« […] jusqu’à quand vous supporterai-je ?… ».
Nous passons notre temps à prier le Seigneur
et Lui demander de nous instruire
pour faire ce que nous devrions faire….
D’autre part, notre jugement d’homme mature devrait nous permettre de discerner ce qui est
faux et ce qui est vrai. Il n'y a
que les enfants qui croient
n'importe quoi sans poser de
questions. Notre conscience, guidée par
l'Esprit de Dieu doit nous permettre de distinguer ce qui est de Dieu de ce qui ne l’est pas, dans le monde qui nous entoure.
Du moins, si nous sommes réellement
«en Jésus-Christ» et comprenons qui
nous sommes et qui Il est.
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S'il fut un temps
ou les croyants sincères, cherchant
véritablement Dieu, ont adhéré à des
enseignements, ou des
interprétations particulières des
Écritures, en donnant «carte
blanche» à des «prophètes» qui
eux-mêmes, ont «emprunté» et relayé
des enseignements de théologiens qui
les ont précédés, le temps est
peut-être arrivé que quelques-uns se
réveillent enfin et pose des
questions et demandent qu'on rende
des comptes.
Aujourd'hui, la plupart des «archives
historiques» incluant les ouvrages
sur la «vie des pseudo-saints», sont actuellement
disponibles en quelques clics sur
Internet et des
centaines de graphiques et
d'illustrations deviennent accessibles
pour tout chercheur sérieux, ce qui
n'était pas le cas il y a 50 ans.
Aujourd'hui, tout peut être analysé et
vérifié. Des «contrepoids» historiques
existent et offrent beaucoup plus
d'options pour discerner «la légende de
la réalité». Autrefois, il fallait du
courage pour consulter les ouvrages dans
les bibliothèques et décortiquer les
informations utiles ou fiables, parmi
les travaux publiés par des historiens
ou par des théologiens approuvés par le
catholicisme. Dans les années
50-60, les gens ont fait confiance à
William Branham, et ont tout accepté
sans discuter ce qu'il enseignait, parce
que ce dernier avait un don de guérison
et était entouré d'expériences
surnaturelles. On se disait: Comment
pourrait-il se tromper, puisque Dieu est
avec lui? Mais ils oubliaient le passage
de Matthieu 7:22
«Plusieurs me diront en ce jour-là: Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n'avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ?
»
Voyez-vous, «en
ce jour-là», le Seigneur ne niera
pas qu'ils ont véritablement
prophétisé en son nom, ni chassé des
démons ou fait des miracles en son
nom. Il leur dira simplement,
«je ne vous
ai jamais connus»
«(23) Alors je leur dirai ouvertement: Je ne vous ai jamais connus,
(...)»
Vous
direz, oui mais William Branham n'a
jamais connu l'Internet! C'est vrai,
mais cela n'excuse pas William Branham d'avoir erré comme il l'a fait en
empruntant systématiquement des
théologies dispensationalistes et en
colportant les fables et les légendes sur les personnages des «saints catholiques», tels qu'Irénée de Lyon, Martin de Tours et
Columba d'Iona. Vous devez comprendre que tout
enseignant crédible et intègre qui se
respecte s'en tient aux faits véridiques
et vérifiables dans tout leur contexte,
qu'ils soient politiques, sociaux ou
religieux. Lorsqu'un historien se base
sur des fables, des légendes (hagiographies) et des
allégations pour interpréter l'histoire,
c'est tout son enseignement au complet
qui est visé et remis en question, peut
importe qu'il soit sincère ou non. Le
temps est est arrivé pour que les
pendules soient remises à l'heure.... Et
les pasteurs et enseignants du «Message»
sont 100% responsables d'avoir erré
comme ils l'ont fait et de ne pas avoir
vérifié les sources des enseignements de
William Branham. Je n'exige pas moins
que leur démission sans condition...
À ce jour, les enseignements de William Branham n'ont été réfutés que par des adversaires désirant seulement le dénigrer pour mieux consolider leur propre fondement doctrinal, tels les pasteurs des différentes dénominations religieuses du milieu évangélique ou baptiste. Il est vrai que les enseignements de William Branham dérangent passablement, lorsqu'il s'attaque au système dénominationnel des églises ou au dogme trinitaire de Nicée. De plus, William Branham en a impressionné beaucoup avec son ministère de guérison, et c'est sans aucun doute ce qui a attiré les croyants sincères, lesquels lui ont accordé toute leur confiance dans ses enseignements. Néanmoins ce n'est pas tant ses erreurs de date, ou ses allégations
erronées sur des faits historiques concernant les personnages qu'il a commentés, qui portent préjudice aux croyants qui suivent ses enseignements, mais plutôt ses allégations sur la nature spirituelle de ses personnages cités en exemple. Quand William Branham déclare que des personnages, tels qu'Irénée de Lyon, Martin de Tours,
Columba d'Iona, Martin Luther et John Wesley étaient aux yeux de Dieu, «des étoiles/anges/messagers» , c'est là que ses allégations font mal et portent préjudice aux authentiques enfants de Dieu. Considérez par exemple, qu'en plaçant des personnages historiques comme Martin de Tours ou
Columba d'Iona, au statut de «messager divin», rempli de l'Esprit et se tenant constamment «dans la
présence de Dieu», William Branham ramène la glorieuse et authentique nouvelle naissance à un «modèle artificiel de sainteté» fondé sur une vie consacrée au monachisme ascétique, n'ayant pour but que de faire du prosélytisme visant à propager l'orthodoxie religieuse qui a combattu pour asservir les peuples dans la doctrine Nicéenne et qui a rejeté entièrement la notion d'une sanctification complète du croyant par le sacrifice expiatoire de Jésus. Trouvez-moi un seul document ou preuve historique que les personnages (à part l'apôtre Paul) choisis par William Branham ont rejeté le dogme de la Trinité. Même avant Nicée, l'évêque Irénée de Lyon a professé son crédo trinitaire. Quant à Martin de Tours, il s'est publiquement rangé du côté
des Trinitaires de Nicée en devenant le disciple d'Hilaire de Poitiers. Le personnage de Martin de Tours n'a fait qu'inspirer l'église de Rome pour créer le monstre spirituel du réseau monastique, qui s'encra d'abord en France, puis migra dans tout l'empire romain et même au-delà en passant par l'Irlande. Et vous voudriez croire que ces personnages étaient des «saints» nés de nouveau? Les personnages de William Branham, n'ont jamais connu l'authentique nouvelle naissance, et n'ont été que des rouages au service du diable!
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L’hagiographie
est l'écriture de la «vie et / ou de l'œuvre
des saints (catholiques)» et cette forme littéraire n'a qu'un seul et unique but: «promouvoir et attiser le culte des saints» de l'Église catholique de Rome. Parce que voyez-vous, les «saints» de l'Église de Rome ont un «soi-disant» pouvoir «d'intercéder» pour les vivants qui leur rendent un culte.... Contrairement à une «biographie» seuls les «côtés positifs» dans la vie du «soi-disant saint» sont exploités et présentés de manière à «placer» les actions et les œuvres du «saint» au-dessus de tout ce qui lui est contemporain. Le texte hagiographique
se place toujours hors d'atteinte de toutes critiques, car il est destiné à être lu, soit lors de la
prière chrétienne (catholique) de la nuit (lectures)
soit en public dans le cadre de la prédication
(catholique), on lui donne souvent le nom de légende (du latin legenda). Dans l'encyclopédie Wikipedia, il est mentionné que le glissement
de sens de l'hagiographie, opéré au terme légende, désigne un « récit à caractère merveilleux où
les faits historiques sont transformés par
l'imagination populaire ou par l'invention
poétique » et résulte de la nécessité
devant laquelle se sont trouvés beaucoup
d'hagiographes médiévaux de fournir
la matière destinée à alimenter le culte
de saints personnages dont ils ignoraient à peu près tout. Dans le cas de
Columba d'Iona, son hagiographie fut écrite plus de 100 ans après sa mort par un moine-abbé nommé Adamnán qui ne l'avait jamais connu.Le genre littéraire
hagiographique, s'est développé dès les
débuts du christianisme. De très nombreux
récits de martyres chrétiens des trois premiers
siècles nous sont parvenus, en grec, en
latin et dans plusieurs langues orientales.
Dans cette abondante littérature hagiographique, la majorité des textes se soucient peu de
vraisemblance historique. Le culte des
martyrs a été légitimé par le soi-disant «édit de Milan
en 313», d'où la popularité de ce genre littéraire pour «élever certains personnages» au rang de «saints» intercesseurs. Rappelons-nous qu'en 313, une politique de tolérance envers le «christianisme de l'époque» qu'on réfère à «l'édit
de Milan», fut promulgué par l'empereur d'occident
Constantin Ier (et par l'empereur d'Orient
Licinius, avant que Constantin élimine ce
rival). Contrairement à ce que beaucoup croient, cette politique de tolérance religieuse visait tous les cultes religieux sans exception, païens ou «chrétiens». Néanmoins ce qui a été retenu par l'Église de Rome, c'est que cette «politique impériale de tolérance religieuse» instaura une liberté de culte pour
les «chrétiens», et pour les historiens, cette tolérance religieuse n'avait pour but que de résoudre
«les problèmes relatifs à la sécurité et
au bien public». Donc, pour revenir sur le sujet, gardons en mémoire que les textes hagiographiques
utilisent «des récits stéréotypés» et un fonds de lieux communs qui enlève
toute personnalité, voire toute épaisseur
historique, à celui dont elles font l'éloge.
Dans le monde latin, on peut citer parmi les textes les plus anciens, «la Vie de saint Martin» .
Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Hagiographie/
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Par rapport à une biographie, l'hagiographie
est un genre littéraire qui veut mettre
en avant le caractère de sainteté du personnage
dont on raconte la vie. L'écrivain, l'hagiographe n'a pas d'abord une démarche
d'historien, surtout lorsque le genre
hagiographique s'est déployé. Aussi les hagiographies anciennes sont parsemées
de passages merveilleux à l'historicité
douteuse. Au sens plus large,
l'hagiographie désigne l'étude de la littérature
hagiographique et du culte des saints. Cette
approche scientifique est parfois appelée
hagiologie. D'une manière plus polémique,
on parle aussi d'hagiographie pour désigner
un écrit (une biographie) trop favorable
à son objet, c'est-à-dire manquant de recul
et/ou ne laissant guère de place à la critique. Après
l'hagiographie monastique qui célèbre à
travers des saints l'idéal de la communauté
(ascèse, travail manuel, hospitalité, prière)
pour promouvoir ce type de sainteté, se
développe l'hagiographie épiscopale en lien
avec l'établissement des évêchés (hagiographie
s'appuyant sur le modèle des évêques fondateurs
et évangélisateurs — voire martyrs) et l'hagiographie
royale et dynastique. De plus, des typologies
de saints existaient au Moyen Âge, ce qui
a conduit les hagiographes à se conformer
à ces modèles et à faire de nombreux emprunts
à des récits antérieurs. La typologie est
à l'origine de ce que l'on appelle l'allégorie
médiévale et est considérée comme une méthode
d'interprétation de la Bible. L'hagiographie
est ainsi un récit fortement stéréotypé
dont la fonction pastorale est de servir
à l'instruction et l'édification religieuse,
mais qui peut avoir aussi une fonction normative,
politique et de propagande religieuse.
Au Moyen Âge, l'hagiographie dominicaine
et franciscaine invente alors des modèles
de vie de saints sous la forme
d'exemplum
à prêcher, leurs textes
ayant une fonction homilétique mais aussi
récréative avec de nombreuses anecdotes
mises au service d'une catéchèse destinée
aux fidèles. La littérature hagiographique,
d'abord destinée aux communautés religieuses,
s'est diffusée dans le monde laïc où elle
a servi progressivement d'auxiliaire au
clergé local pour favoriser le culte des
saints proposé à la piété populaire.
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Dans
le langage théologique de l'Église catholique,
un exemplum (latin: au pluriel exempla)
est une forme de récit bref qui vise à donner
un modèle de comportement ou de morale.
L'exemplum est directement relié au genre
littéraire hagiographique. Il s’agit à la
fois d’une fonction rhétorique (qui a été
codifiée entre autres par Quintilien qui
fut un pédagogue latin du Ier siècle apr.
J.-C.) et d’un type particulier de récit
qui vise à persuader l’auditoire ou le lecteur.
Son contenu est très varié, de même que
ses emplois : dans les sermons, les
ouvrages moraux ou théologiques, les discours
juridiques… Ses deux principales formes
sont l’exemplum rhétorique, porteur d’une
morale et d’un modèle de comportement
que l’on pourrait qualifier de civique,
et l’exemplum homilétique, qui véhicule
une morale religieuse et est principalement
employé par les prédicateurs à partir du
XIIIe siècle.
L’un des principaux sens du mot exemplum
au Moyen Âge est celui d’exemple à suivre,
de modèle de comportement. L’exemplum
médiéval et le renouveau de la prédication.
La prédication connaît un profond renouvellement
dès la fin du XIIe siècle, et surtout
au XIIIe siècle. Dans ce contexte,
l’exemplum sort de sa fonction strictement
persuasive pour revêtir l’aspect d’une illustrative
story (récit qui illustre), donnant une
leçon salutaire à un auditoire en étant
inséré dans un discours religieux, et
se retrouve chargé d’une plus grande
valeur morale. Les sources des exempla sont
très diverses, allant de la Bible aux légendes,
en passant par les vies de saints, les chroniques,
les textes patristiques et les fables. Au
XIIIe siècle, il est courant que le
prédicateur tire certains exempla de sa
propre expérience. Leur vraisemblance est
exprimée, pour la plupart d’entre eux, par
leur inscription dans un espace défini,
proche et que les fidèles assistant au sermon
du prédicateur sont capables d’appréhender.
Méprisés pendant des années car dépourvus
de recherche littéraire, ces ouvrages ne
sont pas des objets de consommation littéraire,
mais bien des outils de travail pour les
prédicateurs. Pour le public, il n’est pas
non plus question de voir dans ces recueils
un genre littéraire, car les exempla ne
font sens qu’une fois insérés dans le sermon
du prédicateur : lui seul lui donne
en effet sa valeur de discours convaincant
et salutaire, l’exemplum n’ayant pas de
valeur littéraire autonome.
Dans le cas de l'hagiographie de Martin
de Tours, il est évident que son auteur (Sulpice Sévère) en a
fait un héros plus grand que nature. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Exemplum Il en fut de même pour le personnage de
Columba d'Iona, dont l'hagiographie par Adamnán fut rédigée plus de 100 ans après sa mort.
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