Par Michel Morin |
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Cette illustration circule parmi les assemblées «du Message des temps de la fin» qui suivent les enseignements de William Branham.
L'illustration est celle d'un chandelier à 7 branches, lequel est jumelé à 7 phases «lunaires» assorties d'étoiles représentant chacune un personnage identifié en tant «qu'ange/messager» pour son «pseudo âge».
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#01) Introduction, pourquoi ai-je publié cet exposé? #02) L'appel des vainqueurs - la dernière trompette #03) Les messages ne sont pas adressés à l'Église, mais à «l'ange/messager» #04) Est-ce que la lettre écrite à «l'ange/messager» de l'Église de Sardes est adressée à Martin Luther? #05) Jean aurait reçu la vision du «Jour du Seigneur» sur l'île de Patmos vers les années 95-96
#06) Le message de la lettre, est adressé au conducteur de l'Église #07) Martin Luther ne savait pas qui était Jésus, ni qui était l'Esprit, le Seigneur, ni qui était son Dieu #08) Selon William Branham, un non-chrétien est un «citron» et ce «citron» peut être baptisé de l'Esprit...(?) #09) Que signifient les verbes «emplir» et «remplir»? Qu'est-ce qu'être «rempli du Saint-Esprit»? #10) William Branham affirme que Martin Luther était rempli du Saint-Esprit (l'Esprit de Dieu)
#11) Si Luther aurait été un ange comme l'affirme William Branham, il n'aurait pas rejeté le livre de l'Apocalypse #12) Résumé de la biographie de Martin Luther, Source Wikipédia #13) Est-ce que William Branham savait? #14) Martin Luther sur le Juifs de son époque #15) Avertissement: Pour ceux qui ont l'estomac solide, vous pouvez en lire encore sur Luther
#16) Comment Martin Luther inspira Hitler et l'Allemagne nazie : (Reproduction publication Internet) #17) La vie de Martin Luther sous la loupe. Ses écrits et les conséquences de l'héritage qu'il a laissé #18) Les affirmations de William Branham relèvent d'acrobaties irrationnelles délirantes #19) Voice of God Recordings Inc. Best-seller meilleur vendeur: Exposé des sept Âges de l'Église #20) Si seulement William Branham avait été conséquent #21)
William Branham ne pouvait pas interpréter le verset 12 dans Apocalypse 3 #22) D'où vient la date du début de l'âge en 1750? Pourquoi William Branham n'a jamais cité sa source? #23) William Branham savait parfaitement qui était Clarence Larkin
#24) Petit exercice...Remplaçons le mot «théologien» par le nom «Clarence Larkin» #25) Les propres mots de William Branham «en les lisant, ça m'éclaire beaucoup» #26) Clarence Larkin a popularisé la notion «d'âges» des l'Églises. Un terme inexistant dans l'Apocalypse #27)
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01)FF
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La raison pourquoi j'ai publié cet exposé, est que j'ai été littéralement
«poussé à le faire» et si ce n'aurait pas
été moi qui l'aurait fait, le Seigneur aurait choisit quelqu'un d'autre! C'est la déclaration de guerre du Seigneur, pas la mienne! C'est Sa Guerre, telle que prophétisée dans Apocalypse 12:7! Si vous croyez que le l'Esprit du Seigneur revient, commencez d'abord par l'identifier et reconnaissez qui sont ses
«véritables messagers!» Ce site Internet a été créé dans le but précis d'examiner soigneusement tous les critères requis selon la Parole de Dieu pour qu'une personne soit spirituellement qualifiée comme
«vainqueur» pour être un
«ange/messager» du Seigneur. Je suis persuadé que l'errance dans le
«désert» a maintenant assez duré, et qu'il est plus que temps de remettre les
pendules à l'heure! Si vous avez navigué chronologiquement dans ce site web, d'Éphèse jusqu'à maintenant, vous avez sans doute observé que j'ai réfuté toutes les affirmations et déclarations de William Branham en vous prouvant que
les personnages qu'il a choisis n'ont jamais pu se tenir dans la présence de Dieu, et que finalement c'est tout l'enseignement
«des 7 âges de l'Église» qui est non-scripturaire. Tout comme le démontre le passage d'Apocalypse 3: 4-5,
seuls les authentiques
«vainqueurs» sont dignes d'être revêtus des
«symboliques vêtements blancs» de la sainteté de Dieu. Or, il est scripturairement impossible qu'un vrai messager de Dieu ne fasse pas partie des véritables
«vainqueurs» et qu'il ne soit pas revêtu lui-même «de vêtements blancs». Lorsqu'on examine minutieusement les témoignages laissés par les «pseudo-messagers» choisis par William Branham, à part le personnage de Paul, aucun d'eux ne satisfait aux critères requis pour être trouvé digne d'être revêtu de la perfection et de la sainteté de Dieu. La majorité des personnages de William Branham ont
cherché à se «justifier» et
«s'auto-sanctifier» par les œuvres, tel qu'Irénée de Lyon, Martin de Tours, Colomba d'Iona, Martin Luther et John Wesley. Irénée de Lyon a tout misé sur
«la tradition» de l'Église de Rome, Martin de Tours s'est rangé du côté des trinitaires de Nicée et s'est fait l'avocat du monachisme ascétique, tout comme Colomba d'Iona a lui aussi vainement cherché son salut à travers le monachisme et l'ascétisme rigoureux, et Martin Luther a utilisé les Écritures pour se justifier dans tous ses raisonnements et se permettre de dire n'importe quoi. Quant à William Branham, ce dernier a tenté de faire croire à son auditoire, que n'importe qui croyant n'importe quoi, en autant qu'il est sincère et qu'il
«marche dans la lumière» de son époque, pouvait être «un vainqueur» né de nouveau, se tenant continuellement dans la présence du Seigneur, tel que requis par les principes élémentaires contenus dans la Nouvelle Alliance en Jésus-Christ. Maintenant, je déclare que c'est plutôt William Branham qui est le vrai responsable de la confusion qui a été publiée et partagée par des centaines de milliers de croyants, via l'enseignement des
«Sept Âges de l'Église», enseignement qui est réfuté et jugé.
J'aimerais vous souligner, que lorsqu'une personne est réellement
«dans la présence de Dieu»
en Esprit, c'est-à-dire que ce croyant est revêtu de vêtements blancs selon les Écritures, elle en est totalement consciente et son
témoignage est très pointu, sur ce sujet, car il sait exactement ce dont il parle. C'est une révélation divine qui lui confirme sa propre identité devant Dieu, et évidemment, il sait exactement qui est le Seigneur. Et il y a une communion active et constante, entre cette personne revêtue de vêtements blancs et le Seigneur. Et normalement, le témoignage de cette personne indique publiquement ce qu'elle est et ce qu'elle comprend du Royaume de Dieu.
Peu importe que vous soyez un moine, un prêtre ou un évêque Catholique du moyen âge, tel Irénée de Lyon, Martin de Tours ou Colomba d'Iona, ou encore un réformateur comme Martin Luther, si vous croyez par exemple que Jésus fait partie
«d'une Trinité d'un Dieu en 3
personnes» coexistant éternellement et de la même «essence» que votre Père Céleste, ou encore que Jésus est notre Dieu,
un
«Dieu Esprit» qui a juste changé de forme, c'est que vous n'avez rien compris et que vous ne savez même pas qui est le Seigneur. Quant à Martin Luther, cette page va vous renseigner sur ce personnage et vous allez comprendre, que lui non plus, n'a jamais été un «vainqueur» et ne s'est
«jamais tenu»
dans la présence de Dieu, tel que requis dans le livre prophétique d'Apocalypse 8:2
William Branham n'a jamais expliqué vraiment ce que signifiait l'expression «se tenir dans la présence de Dieu». Du moins, s'il l'a fait, il n'a jamais vraiment creusé le sujet. Cependant, en 1954, William M. Branham avait déclaré
dans une prédication intitulée
«Dieu amène son Église à la perfection», que ceux qui étaient nés de nouveau étaient restaurés à égalité avec Jésus, dans la présence de Dieu. Et sur ce point je suis tout à fait d'accord avec lui. Dans cette affirmation, il y avait là, tout le conseil de Dieu au complet! Ce qu'il a dit à ce moment-là entrouvrait la porte pour indiquer à son auditoire ce que l'Évangile du salut exigeait pour être reconnu digne «d'être un vrai vainqueur» et
«marcher en vêtements blancs». Mais malheureusement, c'est resté là, et ce principe ne fut plus appliqué dans ses enseignements!
La
citation de William Branham est ici
(survolez ce lien avec votre curseur)
Après avoir déclaré en 1954, que ceux qui étaient nés de nouveau étaient restaurés à égalité avec Jésus, je crois que ce fut probablement
la première et dernière fois que William Branham déclara cela. Mes recherches dans la base de données de ses prédications originales (en anglais) m'indiquent que les expressions
«co-equal with Jesus in His presence» ou
«equal with Jesus in His Presence » associées à la nouvelle naissance, ne furent jamais plus utilisées dans aucun de ses sermons par la suite. On pourra dire que l'Église est passée à un cheveu d'avoir un vrai Message de réveil! Mais le Seigneur l'a quand même laissé prêché jusqu'en 1965, jusqu'à ce qu'il soit «retiré de la circulation», après avoir semé la confusion dans l'esprit des croyants,
en associant des personnages qui n'ont jamais connu le Seigneur à des
«anges/messagers» se tenant devant Dieu jour et nuit.
William Branham aurait dû prêcher ce qu'il avait déclaré en 1954 à propos de la nouvelle naissance, et ce, durant tout son ministère de guérison!
Il aurait dû marteler cette vérité et envoyer promener la
«révélation
progressive» et «dispensationaliste» bricolée par des théologiens Trinitaires, tels que Darby, Scofield et Larkin. Au lieu de cela, William Branham a essayé de vous faire croire que n'importe qui pouvait être perçu comme un
«véritable vainqueur né de nouveau» aux yeux du Seigneur, en
«autant que la personne est sincère et marche dans la seule compréhension qu'elle a, dans son époque», de la «version du message
«évangélique» de son temps! Sauf que, le Seigneur n'a jamais fait de compromis avec les critères requis pour être baptisé dans son Alliance!
Dieu ne change pas sa pensée comme les hommes,, la pensée de Dieu n'est pas progressive, et ce qui est «ténèbres spirituels»
aujourd'hui, l'était tout autant hier, et le sera éternellement
Voyez-vous? C'est exactement ce que William Branham a oublié.... Cette page en particulier s'adresse au personnage de Martin Luther. Admiré
plus grand que nature et utilisé comme
modèle religieux par le milieu protestant, Martin Luther a été considéré comme un acteur clé et incontournable dans le mouvement réformiste qui s'est élevé contre l'Église catholique romaine, mais il n'en demeure pas
moins que tous les faits et éléments
historiques vérifiables que William M.
Branham a omis ou occultés dans son
interprétation sur la vie de Martin Luther, une fois qu'ils sont révélés,
changent notre perception lorsqu'ils
sont clairement soulignés et compris, et
l'on peut comprendre ensuite que son
enseignement biaisé sur le personnage de
Martin Luther est lourd de conséquence et que
l'enseignement des «7 âges de l'Église» n'a plus aucune crédibilité pour édifier
qui que ce soit. J'espère qu'une fois que les
«pendules seront remises à l'heure»,
tous ceux qui avaient donné un «chèque
en blanc» aux enseignements de William M. Branham,
vont enfin se réveiller et comprendre que la
résistance subversive de l'esprit
humain, qu'on nomme «l'adversaire», a
joué ses dernières cartes en se servant
de la notoriété de William M. Branham
avec son don de guérison en donnant à son auditoire l'enseignement des «7 âges de l'Église»
Un mot sur la source bibliographique et des références sur la vie et les œuvres de Martin Luther S'il est un personnage très controversé maintenant, c'est bien celui de Martin Luther. En ce moment, la documentation fiable sur la vie de Martin Luther se trouve dans l'édition de Weimar des œuvres de Luther, également connu sous le nom de Weimarer Ausgabe (WA). C'est seulement récemment qu'on s'est vraiment rendu compte de la nature réelle du personnage de Martin Luther, lorsque le
travail éditorial sur WA, lequel avait débuté en 1883, à l'occasion du 400e anniversaire de Luther, a été achevé en 2009, en 121 volumes avec environ 80,000 pages. Cette édition des travaux de Martin Luther est complète, et critique également tous ses écrits et ses déclarations verbales, en latin et en allemand. Au cours des 120 années, de nombreux éditeurs ont collaboré pour préparer le contenu. Le titre sur la colonne vertébrale des volumes est Luthers Werke.
Il a été entrepris sous la direction d'une commission nommée par le ministère prussien de l'éducation: un rôle de surveillance a été continué par la Heidelberger Akademie der Wissenschaften après la disparition du gouvernement de la Prusse.
Le WA est divisé en quatre séries:
Abt. 1 Schriften / Werke (écrits / œuvres), 72 volumes, dont 8 en deux parties (abréviation: WA)
Abt. 2 Tischreden (discussion de table), 6 volumes (abréviation: WA TR)
Abt. 3 Die deutsche Bibel (La Bible allemande), 15 volumes (abréviation: WA DB)
Abt. 4 Briefe / Briefwechsel (correspondance), 18 volumes (abréviation: WA BR)
Les index des sujets sont fournis pour chacune des séries, et le WA est également disponible en ligne. The WA est une édition complète de toutes les œuvres de Martin Luther. C'est la seule édition existante avec toutes les œuvres de Martin Luther; toutes les autres éditions sont en quelque sorte incomplètes. Les rédacteurs de l'édition ont inclus Rudolf Hermann et Gerhard Ebeling. Note: Lien Internet de la liste de tous les travaux répertoriés de Martin Luther (Anglais) Pour réaliser ce site Internet, j'ai
consulté et recoupé les archives officielles des
documents historiques, tant en français
et en anglais. Des références
proviennent de sources surprenantes, des thèses universitaires, incluant les
encyclopédies dont William M. Branham a
lui-même fait référence à quelques occasions, et même un site musulman qui
a
développé une expertise non négligeable
sur les doctrines de l'Église catholique
romaine. Actuellement, la plupart des archives historiques sont disponibles en
langue anglaise sur Internet, seulement en quelques clics, et des
centaines de chartes, graphiques et
illustrations deviennent accessibles
pour tout chercheur sérieux, ce qui
n'était pas le cas il y a 50 ans.
Néanmoins vous devez comprendre que tout
enseignant crédible et intègre qui se
respecte s'en tient aux faits véridiques
et vérifiables dans tout leur contexte,
qu'ils soient politiques, sociaux ou
religieux. Concernant les personnages que William Branham a choisis comme
«pseudo-anges/messagers», toute l'information biographique est accessible avec une crédibilité fiable et très documentée et surtout très critique pour les travaux qui n'offrent pas de références solides. Lorsqu'un historien se base
sur des fables, des légendes (hagiographies) et des
allégations pour interpréter l'histoire,
c'est tout son enseignement au complet
qui est visé et remis en question, peut
importe qu'il soit sincère ou non. Les
faits historiques vérifiés ne
s'inventent pas ni ne s'interprètent, car
ils parlent d'eux-mêmes. Cette étude
soulignera implacablement tous les
anachronismes rencontrés, les erreurs et
omissions historiques ainsi que les
aberrations par rapport au bon sens et
confrontera les doctrines théologiques
acceptées comme norme avec la vérité
dans une logique implacable. Que le Seigneur ajoute Sa bénédiction
à la lecture de cette publication! Vous pourrez à tout moment communiquer avec moi en m'écrivant à michel@lalumieredusoir.ca
Certains sites de références consultés (1)
https://www.biblestudytools.com/history/early-church-fathers/ante-nicene/ (2)
https://www.biblestudytools.com/history/early-church-fathers/post-nicene/
(3) http://www.newadvent.org/fathers/0103.htm
(4) Le «Traité Contre les hérésies» par Irénée de Lyon (5) Le texte intégral de l’Exposé de la prédication apostolique par Irénée de Lyon.
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02)
Sachez que pour être reconnu et choisi lors de
«l'appel des vainqueurs», en tant qu'«ange/messager» de Dieu, le vainqueur doit TOUJOURS être en mesure de se tenir dans la
présence de Dieu, quand il le veut, jour et nuit, complètement conscient de qui il est. En anglais j'aime bien l'expression «constant self-awareness in Jesus-Christ» ou si vous voulez: «la conscience perpétuelle de soi dans l'Alliance de Dieu en Jésus-Christ». C'est un
«état d'esprit» qui s'acquiert par la foi
et la révélation divine, dans lequel le «soi-même crucifié en Jésus» devient le centre d'attention de notre vie. La «conscience de soi en Jésus-Christ» génère toujours une guerre spirituelle, (en vous-même) et ceux qui persévèrent «se gardent eux-mêmes» dans l'Esprit, et l'esprit humain «adversaire» finit par être vaincu et ne le
«et ne le touche pas». La particularité de «l'Esprit de l'Alliance en
Jésus-Christ» est que vous avez vaincu toute culpabilité et condamnation dans votre
intérieur, une fois pour toutes, et que toute forme de pratique religieuse, ou comportements basés sur des règles morales
«pseudo-chrétiennes», visant à vous faire croire que cela va plaire à Dieu ou va «vous sanctifier» d'avantage, devient quelque chose que vous détestez. Autrement dit, quelqu'un réellement né de nouveau
«hait
toute forme de légalisme», ou «règles de comportement chrétien» enseignées pour «plaire à Dieu». C'est parce que voyez-vous,
l'Esprit de Dieu n'a pas besoin d'aide pour écrire Lui-même, Sa Loi, dans le cœur de ses enfants! Et je crois sincèrement que William Branham ne l'a jamais compris! Croyez-vous vraiment que les «personnages historiques» choisis par William Branham aient su qu'ils étaient les «vainqueurs» des 7 Églises? Beaucoup de ces personnages historiques ont laissé des écrits, et jamais aucun d'eux n'a laissé de témoignage qu'il ait été
«un ange/messager» d'une des 7 Églises. Pensez-y! Un Martin Luther qui rejette complètement tout le livre de l'Apocalypse car à ses yeux, l'Apocalypse de Jean n'est même pas un livre «inspiré» et digne de faire partie de la Bible!
Croyez-vous vraiment que le Seigneur aurait dicté à Jean, d'écrire une lettre à un des «anges/messagers» sachant d'avance que le récipiendaire ne recevrait jamais la lettre? Comment Martin Luther aurait-il pu lire une lettre personnelle, dictée par le Seigneur et transcrite par Jean, prophétisée 1400 ans
d'avance, alors que la lettre ne pouvait même pas l'atteindre? Tous ces personnages historiques, tels qu'Irénée de Lyon, Martin de Tours, Colomba d'Iona, Luther et Wesley sont des inventions sorties tout droit d'une imagination basée sur un ouvrage d'interprétation humaine des Écritures!
Jean a été ravi en Esprit «au
Jour du seigneur», lequel est le même «Jour du Seigneur» dont il est parlé dans 1 Thessaloniciens 5:2
et 2 Pierre 3:10 Comprenez, que le Jour du Seigneur ne s'est jamais «déroulé sur une période de 2000 ans!, comme veut nous le faire croire, l'enseignement des Sept Âges de l'Église! Le «Jour du Seigneur» est un appel pour
«des véritables vainqueurs»... 7 Trompettes vont les appeler simultanément!
Comment pouvez-vous imaginer un seul instant qu'un personnage historique comme Martin Luther, pourrait être
«un vainqueur» dans le même sens que les vainqueurs des 7 Églises? Comment William Branham pouvait-il imaginer simplement que Dieu devait renoncer à tous Ses propres critères pour qu'une personne comme Martin Luther
«naisse de nouveau» afin qu'il puisse VOIR (comprendre à sa manière) le Royaume de Dieu, en lui accordant plein d'exceptions et de passe-droits! Martin Luther, même après avoir quitté le catholicisme, est demeuré «tatoué spirituellement» avec des
enseignements(1a)
(1b) hérités de l'Église de Rome,
continuant à adorer la sainte Trinité (2) et
rendant un culte
à Marie (3) et aux saints de L'Église Catholique! Et William Branham il les a «excusés» parce que tous ces pauvres
«personnages» marchaient dans
«le peu de lumière» qu'ils avaient pour leur époque! Martin Luther
n'a jamais connu l'authentique nouvelle naissance, lui qui a écrit et publié durant «sa réforme»
que tuer un Juif n'était même pas un péché!
Et il faudrait lui donner le titre de «vainqueur»? William Branham a essayé de vous enseigner
«la restauration progressive» de
«la nouvelle naissance» ce qui est une aberration diabolique! Les Écritures sont claires et explicites, à compter du moment où une personne «nait de nouveau» la nouvelle naissance ne s'étire pas
«progressivement» sur plusieurs années! Tout comme une naissance naturelle, tant que le bébé à naitre est dans le sein de sa mère, on ne peut pas à proprement parler, de «naissance» mais plutôt de
«croissance» d'une potentielle naissance. Mais dès que l'enfant nait, il est
«né» une fois pour toutes! Après avoir analysé les enseignements de William Branham je peux vous affirmer que la table est mise afin de réfuter toute la
crédibilité de l'enseignement et la doctrine dispensationaliste
«des sept dispensations ou 7 âges de
l'Église». Selon son enseignement fondé sur le dispensationalisme, William Branham place les «7 âges» de l'Église à l'intérieur des «soixante-dix semaines de Daniel», au «centre de la soixante-dixième semaine», et son interprétation situe le début de l'Église des nations à la mort de Jésus après son ministère de 3½ ans, et accorde à la nation littérale d'Israël une «alliance» distincte que 2 prophètes Juifs publieront pendant une période de 3½ ans, soit la dernière moitié de la «soixante-dixième semaine».
Vous observerez que tout au long de ce site Internet, je réfute intensément le concept de la «révélation progressive»
de William Branham
sur laquelle repose l'enseignement des
Sept Âges de l'Église. Je désire surtout pointer du doigt l'absence totale de discernement spirituel de William Branham, sur la nature même «de l'esprit» qui animait ses personnages, qu'il a délibérément choisis de sa propre initiative comme «anges/messagers», pour les livrer à ses auditoires comme de «saints exemples» de «serviteurs/anges/messagers» dans la main du Seigneur, se tenant dans la présence de Dieu. Ici j'insiste pour vous rappeler que ce que le Seigneur affirmé, est non-négociable, en ce que le discernement de l'Esprit sait reconnaitre un arbre à ses fruits: Matthieu 12:33-37 .
« (33) Ou dites que l'arbre est bon et que son fruit est bon, ou dites que l'arbre est mauvais et que son fruit est mauvais ; car on connaît l'arbre par le fruit. (34) Races de vipères, comment pourriez-vous dire de bonnes choses, méchants comme vous l'êtes ? Car c'est de l'abondance du cœur que la bouche parle. (35) L'homme bon tire de bonnes choses de son bon trésor, et l'homme méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor. (36) Je vous le dis: au jour du jugement, les hommes rendront
compte de toute parole vaine qu'ils auront proférée. (37) Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné.»
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03) Selon plusieurs affirmations de William Branham, les lettres sont des messages du Seigneur, adressés personnellement aux «anges/messagers» de chaque Église. Les messages du Seigneur ne sont pas directement adressés à l'Église, mais à l'ange de l'Église. Sur ce point, je suis entièrement d'accord.
Ensuite, puisque le message adressé à
«l'ange/messager» le place comme responsable de «son assemblée», en aucun cas
«le chandelier/Église» ne sera tenu responsable à la place de
«son messager». C'est pourquoi dans les lettres du Seigneur aux
«candidats-messagers» contiennent des avertissements ou des reproches, car c'est premièrement un «appel aux vainqueurs». Le Seigneur n'a jamais menacé aucune assemblée ou Église, de lui enlever son
«étoile»,
mais plutôt l'inverse,
c'est-à-dire que c'est «l'étoile/ange/messager» qui est menacé de se faire enlever son «chandelier/assemblée» En guise d'analogie, comprenez que lorsque «l'entraineur» d'une équipe de sport (par exemple, le coach d'un club de hockey) est jugé incompétent par le ou les propriétaires de l'équipe, parce que son équipe ne gagne jamais de victoires, est-ce
qu'on punit l'équipe? Non! On change le
«coach»! Autrement dit, on lui enlève l'équipe et on la donne à un autre. Et c'est exactement ce que peut faire le Seigneur avec n'importe quel «candidat» aspirant à «servir de modèle» pour enseigner et parfaire
«son assemblée». Si la «lampe/chandelier» représente «l'équipe» et que «l'étoile» représente
«l'entraineur» vous comprendrez que si le propriétaire (le Seigneur) dit à l'entraineur : «Souviens-toi donc d'où tu es tombé, repens-toi, et pratique tes premières
œuvres ; sinon, je viendrai à toi, et j'ôterai ton chandelier de sa place, à moins que tu ne te repentes.» cela signifie que le propriétaire peut enlever l'équipe à l'entraineur et la donner à un autre, qui lui sera plus compétent et mènera son équipe à la victoire. Cependant, nous verrons plus loin que William Branham a été forcé de
«de se contredire» et d'attribuer les messages adressés aux
«anges/messagers», directement aux Églises, car son interprétation des prophéties ne pouvait
accepter que les réprimandes
du Seigneur contenues dans la
«lettre au messager d'Éphèse s'adressent à Paul». De plus, contrairement à
son affirmation du 7 décembre 1960, son
changement d'interprétation lui permettait de se placer lui-même à l'abri des reproches adressés au messager de l'Église de Laodicée, car l'orientation de son enseignement des 7 âges de l'Église le plaçait directement à la fin des âges
«de la dispensation des nations» en tant que
«dernier messager de Laodicée»,
et bien que tout l'enseignement était faux, ce
«conflit d'intérêt» entre un
«messager-prophète» et les reproches adressés à l'ange/messager» de Laodicée, était insupportable ... Quiconque, ajoute/modifie ou retranche les paroles des prophéties du livre de l'Apocalypse, comme l'a fait William Branham, entraine des conséquences graves.
Qui se lèvera parmi les vainqueurs pour défendre William Branham? ....Personne! Les vrais vainqueurs précipiteront son enseignement dans l'étang de feu! «(...)
(286) La première chose dont je veux que vous vous souveniez, c’est que
ces messages sont adressés,
non pas à l’Église, mais à l’ange de l’Église. Retournons en arrière, à la première
Église: “A l’ange de l’assemblée qui est à Ephèse, écris…”. N’est-ce pas?
(287) Très bien! L’âge suivant, verset 8:
Et à l’ange de l’assemblée qui est à Smyrne, écris…
(288) Ensuite, verset 12:
Et à l’ange de l’assemblée qui est à Pergame, écris… D’accord?» Sermon: L'Âge de l’Église de Pergame (286 à 288) 60-1207
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Réfutation de l'enseignement des Sept Âges de l'Église
concernant le réformateur Martin Luther
en tant que pseudo messager de l'Église de Sardes
(années 1520 à 1750)
Par Michel Morin |
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Échelle de l'époque dans l'histoire, selon l'enseignement des 7 âges de l'Église
04) Note: Les liens sont soulignés en bleu (Les liens indiqués avec s'ouvrent dans une fenêtre extérieure)
Est-ce que la lettre écrite à
«l'ange/messager» de l'Église de Sardes, pourrait être adressée à un personnage comme Martin Luther? Dans un premier temps, avant de répondre à cette question, à savoir si la lettre écrite à l'ange de l'Église de Sardes s'adresse à Martin Luther, nous allons brosser le «profil spirituel général» que le Seigneur demande d'un
«ange/messager», selon les adresses du Seigneur à chaque «ange» de chaque Église et ensuite appliquer ce
«profil général» sur Martin Luther pour voir si la «foi de Luther» rencontre les critères requis
pour «se tenir» dans la présence de Dieu. Ensuite nous allons voir pourquoi la lettre dans ce passage, n'a jamais été adressée à Martin Luther ni directement à l'Église de Sardes, mais plutôt à son authentique «ange/messager», bien que l'enseignement de l'Exposé des Sept Âges de l'Église prétend le contraire, en interprétant les symboles bibliques à sa façon. La version des 7 âges de l'Église enseignée par William Branham circule depuis près de 60 ans, et malheureusement n'a réussi qu'à apporter chez des croyants sincères, une confusion sur l'identité réelle des «étoiles/anges/messagers» qui sont dans la main du Seigneur. Voyons ici le passage relatif à l'ange/messager de l'Église de Sardes, dans Apocalypse 3, versets 1 à 6.
Apocalypse 3:1-6 (Louis Segond 1910) «(1) Écris à l'ange de l'Église de Sardes: Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles: Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort.
(2) Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir ; car je n'ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu.
(3) Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi.
(4) Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes.
(5) Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs ; je n'effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges.
(6) Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises !»
Note: Les vêtements blancs ne sont pas pour «revêtir un vainqueur» après sa mort, mais c'est une condition symbolique de l'authentique nouvelle naissance, sur terre. C'est
«en Esprit» que le vainqueur marche dans la présence de Dieu
«en vêtements blancs». Ce symbole illustre la sainteté et la perfection divine conférée à Jésus lui-même. Ce blanc, est exactement le même blanc que l'apparence de Christ, car devant Dieu, il n'y a qu'un seul «blanc» et c'est le sien. Les prétendus
«anges/étoiles/messagers» choisis par William Branham n'ont jamais «marché en vêtements blancs» et aucun
d'eux ne s'est jamais qualifié car leur témoignage le prouve. Daniel 7:9 « Je regardai, pendant que l'on plaçait des trônes. Et l'ancien des jours s'assit. Son vêtement était blanc comme la neige, et les cheveux de sa tête étaient comme de la laine pure ; son trône était comme des flammes de feu, et les roues comme un feu ardent.» Matthieu 28:3 «Son aspect était comme l'éclair, et son vêtement blanc comme la neige.»
Dans chacune des lettres adressées aux
«anges/messagers» le Seigneur termine toujours sa lettre avec une promesse «à celui qui vaincra». En soulignant cet aspect, au conditionnel, dans chacune des lettres, cela indique tout simplement que chaque lettre est un
«appel aux vainqueurs» parmi les candidats qui discerneront le «Jour du Seigneur» dans lequel ils vivent et saisiront le sens de l'appel aux vainqueurs.
Ceux qui vaincront, hériteront titre de «messager» pour leur
Église. En aucun cas, l'appel aux vainqueurs est
«une restauration progressive» de la foi apostolique étalée sur 2 millénaires. L'appel cible 7 vainqueurs, simultanément. Car le retour du Seigneur, est avant tout, le retour
«de l'Esprit du Seigneur» dans toute Sa Perfection, toute Sa sainteté, tout Son Intégrité, toute Sa force dans Sa plénitude, tel qu'Il était aux jours de Paul.
«L'ange/messager vainqueur» se tient constamment devant Dieu. Les sept «anges/messagers» sont toujours
«vus réunis», «tous les 7, ensemble» devant Dieu L'ange/messager doit être avant tout,
le premier vainqueur de son Église Le vainqueur ne peut
vaincre le diable (Satan) que par la pensée perpétuelle du sang de l'agneau, et non pas à cause de son propre sang, même s'il doit mourir martyr. Le vainqueur est toujours
revêtu des vêtements blancs symboliques de la pureté et de la perfection de Dieu Le vainqueur lave toujours sa robe symbolique
«dans le sang de l'agneau Le vainqueur est restauré à égalité avec Jésus,
son frère ainé, (exactement conforme, rendu saint,
comme
son Père Céleste est saint), devant son Dieu. Le vainqueur combat
«l'accusateur» dans sa conscience humaine,
le précipite hors de ses pensées, et garde en lui la pensée de l'Alliance scellée dans le sang de Jésus.
Quand vous aurez compris ce que sont les caractéristiques spirituelles des vrais
«vainqueurs» des 7 Églises, vous comprendrez pourquoi les personnages choisis par William Branham, dans l'enseignement des 7 âges de l'Église, tels qu'Irénée de Lyon, Martin de Tours, Colomba d'Iona, Martin Luther et Jean Wesley, ne peuvent même pas se qualifier comme
«véritables vainqueurs», se tenant perpétuellement devant Dieu, revêtu du «vêtement blanc» symbolique lavé
«dans le sang de l'agneau».
Paul a témoigné dans Hébreux 10, verset 10, que par la volonté de Dieu, ceux qui sont appelés et qui croient, sont «sanctifiés»
(rendus saints, comme leur Père Céleste est saint) une fois pour toutes!
Une fois pour toutes, n'est pas 2-3 ou 4 fois, un an, ou 10 ans ou 100 ans! Autrement dit, ceux qui croient ne se repentent qu'une seule fois, pas jour après jour, pas 1000 fois comme sous la Loi de Moise! Vous vous rendez compte? La nouvelle naissance démarre exactement au fil d'arrivée, là où ceux qui obéissaient à la Loi espéraient se rendre! En d'autres mots, leur fil d'arrivée (sous la Loi) est notre ligne de départ! Nous sommes déjà saints et parfaits! Restaurés et faits égaux avec Jésus! C'est là que le fameux passage de Jésus «Soyez parfaits
comme votre Père Céleste est parfait» prend tout son sens! Puis
du verset 11 au verset 14, Paul affirme que le sacrifice de
Jésus a amené «à la perfection pour toujours» ceux qui étaient sanctifiés. Qui comprend ce que cela signifie? Romains 8:29 nous confirme que Jésus est le premier-né entre plusieurs «frères et sœurs» et que par son sang et son sacrifice, nous avons été restaurés à égalité avec lui dans la présence de Dieu! Même sainteté, même perfection que celle de Jésus! Restaurés à son image! Copie conforme dans la présence de Dieu! Comment voulez-vous expliquer ce mystère à un Trinitaire comme John Wesley? Cela me met littéralement en
colère de voir qu'on a berné l'Église pendant des décennies, des frères et sœurs qui cherchaient Dieu de tout leur cœur, avec un enseignement comme les Âges de l'Église! Mais maintenant, il y a des coupes de colère qui vont être versées!
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05)
Voici quelques raisons élémentaires pourquoi le personnage Martin Luther, choisi par William Branham, n'est pas
«l'ange/messager» de l'Église de Sardes. La principale raison c'est que le personnage a vécu il y a environ 500 ans, et que le
«Jour du Seigneur» n'est pas encore arrivé. L'apôtre Jean, fut transporté et ravi en esprit
, «au Jour du Seigneur», ce qui équivaut à
«un voyage dans le futur». C'est durant cette grande vision qu'il a reçu du Seigneur l'instruction d'écrire cette lettre et de l'adresser à l'ange de l'Église de Sardes, et ce message est un appel au vainqueur de l'Église de Sardes, au
«Jour du Seigneur». Les Écritures nous donnent quelques indices sur ce
«Jour», lequel est une courte période où les prophéties contenues dans le livre de l'Apocalypse se réalisent. Le passage de 2 Pierre 3:10 nous renseigne sur des événements majeurs qui surviendront, lesquels n'ont pas été
manifestés à ce jour et dont Jésus a fait mention lorsqu'il a parlé de ce grand jour, à la fin des temps.
Ensuite, si tout le contexte se situe
«au Jour du Seigneur» et s'adresse
«à celui qui vaincra», il faut voir le message du Seigneur comme
«un appel au vainqueur». Dans le cas de
Martin Luther, comme le personnage est déjà mort, nous convenons que pour cela s'adresse au bon
«candidat/messager», il faut que le destinataire de l'Église de Sardes soit vivant sur terre, au Jour du Seigneur. Au moment où le destinataire à qui s'adresse du Seigneur est appelé, il devient évident que le Seigneur s'adresse à quelqu'un qui n'a pas encore
«vaincu», sinon l'expression
«à celui qui vaincra» n'aurait aucun sens. Comme l'adresse du Seigneur est également une prophétie, l'adresse mentionne au verset 3, que ce
«candidat vainqueur» va
littéralement «voir le Seigneur venir comme un voleur»
s'il ne veille pas! Apocalypse 3:1-6 (Louis Segond 1910) «(3) Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. (4) Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes.
(5) Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs ; je n'effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges. (6) Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises !»
Ensuite, il est évident que lorsque le Seigneur s'adresse à ce
«candidat/messager» et qu'Il lui confirme
«qu'Il viendra comme un voleur s'il ne veille pas», ce qui signifie logiquement que si le messager
«veille» il va «en être témoin» de son vivant,
«de la venue» du
Seigneur, sinon le seul fait de savoir que le Seigneur
«va revenir dans un jour futur» n'est
rien de nouveau, car les épitres apostoliques le mentionnent depuis plus de 2000 ans. Finalement, ni Martin Luther, ni aucune personne parmi ses disciples, n'a laissé de témoignage sur le nom du Dieu du Seigneur, ni sur le nom de la ville du Dieu du Seigneur, ni du nom nouveau du Seigneur. Pourquoi? Parce que tout cela se passe
«au Jour du Seigneur» seulement! Que disent les Écritures au sujet
«du Jour du Seigneur»? Ce
«Jour du Seigneur viendra comme un voleur» et à ce que nous savons, Martin Luther n'a jamais vécu ce JOUR. Bien que chacune des adresses du Seigneur, faite aux 7
«anges/messagers» des 7 Églises,
soit personnelle
à «l'ange/messager», et contienne des détails et des instructions qui le concerne relativement à son entourage, son témoignage et ses œuvres, il n'en demeure pas moins que toutes les conditions requises pour être dûment qualifié comme «vainqueur» sont les mêmes pour tous les 7 messagers, et ces
conditions sont «non-négociables» du point de vue de la foi apostolique. C'est ici que je désire souligner les détails pertinents reliés aux critères de sélection des authentiques vainqueurs, les
«anges/messagers» des 7 Églises, lesquels sont répartis parmi les 7 adresses personnelles pour chaque
«ange/messager». Un détail élémentaire se trouve dans l'adresse à «l'ange/messager» de l'Église de Sardes, lequel illustre parfaitement la condition de toutes les Églises au
«Jour du Seigneur». Apocalypse 3, verset 4 «Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs»
Comme le démontre
le passage d'Apocalypse 3: 4-5, seuls les authentiques «vainqueurs»
sont dignes d'être revêtus des
«symboliques vêtements blancs» de la sainteté de Dieu. Les
«vêtements blancs» mentionnés dans l'adresse du Seigneur au messager de l'Église de Sardes, s'appliquent également à tous les autres messagers. Or, il est scripturairement impossible qu'un vrai messager de Dieu ne fasse pas partie des véritables
«vainqueurs» et qu'il ne soit pas revêtu lui-même
«de vêtements blancs». Le véritable vêtement blanc est une perfection divine conférée au croyant, par sa foi révélée du mystère de Dieu. Dès le départ, j'affirme que parmi ceux que William Branham a choisis
comme «ange/messager», qu'aucun personnage confessant le dogme Trinitaire d'un Dieu en trois personnes, de la même substance» et coexistant éternellement, ne peut être un vainqueur et être revêtu de vêtements blancs symboliques. Prétendre que des moines catholiques comme Martin de Tours ou Colomba d'Iona, complètement obsédés par la
«vie monastique» dans un
«ascétisme» des plus rigoureux, «s'auto-sanctifiant continuellement» dans un cadre délirant de privations, mortifications et de souffrances, sont dignes d'être revêtus «des vêtements blancs» des vainqueurs, relève carrément d'un manque flagrant de jugement spirituel. Les prophéties des chapitres 2 et 3 du livre de l'Apocalypse adressées aux vrais messagers des 7 Églises
révèlent les critères requis par le Seigneur, premièrement pour les
«messagers de 7 Églises» et ensuite lorsque ces derniers ont reçu et bien compris ce que signifie
«être un vainqueur», vont transmettre leur
«message» à leur Église. Si les vrais vainqueurs ont vaincu selon le Seigneur, c'est parce qu'ils ont «blanchi leurs vêtements blancs» dans le sang de l'agneau, nuit et jour, et non pas dans la
«rhétorique de la Tradition de Rome» ou d'un monachisme ascétique, ou obéissant à un enseignement théologique truffé de doctrines héritées du catholicisme romain, telles que : le Trinitarisme de Nicée, les sacrements, le culte à Marie, etc..! Apocalypse 7:14 «Je lui dis: Mon seigneur, tu le sais. Et il me dit: Ce sont ceux qui viennent de la grande tribulation ;
ils ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang de l'agneau.»
À lui seul, le passage d'Apocalypse 3, verset 4 réfute la prétention et l'affirmation de William Branham au sujet de Martin Luther. «Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes.» Martin Luther était un Trinitaire, et un Trinitaire «ne voit pas (ne comprend pas qui est son Dieu, ni son Seigneur) Un croyant ne peut être un Trinitaire et naitre de nouveau tout
en continuant à défendre sa théologie Trinitaire, comme l'a fait Martin Luther. Non seulement Martin Luther n'a jamais
«marché» en vêtements blancs, mais ni lui ni personne dans son entourage n'a jamais revêtu les
«vêtements blancs» des vainqueurs. Dans les Écritures,
«le vêtement blanc» est une illustration imagée de l'authentique nouvelle naissance. Le vêtement blanc, ou la robe blanche, sont des symboles associés à la perfection accordée au peuple
de Dieu, c'est-à-dire aux vrais vainqueurs, par la foi parfaite dans le sacrifice de Jésus, et celui qui a reçu symboliquement la
«robe blanche» ou le
«vêtement blanc»
est saint comme son Père Céleste est saint , et parfait comme son Père Céleste est parfait . J'affirme que ceux qui sont réellement des vainqueurs et sont revêtus de vêtements blancs, sont restaurés à égalité avec Jésus, devant Dieu. Rien de moins. Je dirais même que c'est la fondation de la foi, le départ, et non pas l'objectif à atteindre via un long processus de
«justification, sanctification et baptême du Saint-Esprit». Qui peut prétendre que le processus d'une naissance normale prend des siècles, toute une vie ou plusieurs années, lorsque la mère accouche de son bébé? Il est vrai que la «grossesse» prend quelques mois, mais quand vient le temps d'accoucher, cela ne prend pas une semaine ou même plusieurs jours!
Apocalypse 3, verset 4 «Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs» À la lumière du passage dans Apocalypse 3: 5-6
qui s'adresse directement à «l'ange/messager» de Sardes,
celui qui dit qu'il est le «premier et le dernier» et «celui qui était mort, et qui est revenu à la vie», s'introduit lui-même au verset 6
comme étant l'Esprit qui s'adresse aux 7 Églises, et c'est en passant par leur «ange/messager» réciproque, le vainqueur dans chaque Église, que le Seigneur s'adresse ainsi aux disciples de chaque Église.
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06)
« (6) Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises !» Le Seigneur s'adresse à celui qui est le responsable, un peu comme un professeur est sensé être la personne responsable, en
position d'autorité sur toute sa classe. Dans le naturel, si le professeur était trouvé incompétent par la direction de l'école, ce ne serait pas la classe qui serait réprimandée, mais le professeur, et nul doute qu'on donnerait sa classe à quelqu'un d'autre de plus compétent que lui. Sauf, qu'au verset 6 d'Apocalypse 3, l'Esprit (le Seigneur) lance un appel
«au vainqueur» de Sardes (notez:
«que celui», au singulier) et il est clair que les critères requis pour être
«trouvé digne» d'être un vainqueur,
s'appliquent également à tous les vainqueurs des 6
autres Églises, quels qu'ils soient. Voici une citation de William Branham, avec laquelle je suis entièrement d'accord, avant qu'il change sa version sur le sujet.
«(289) Le message est adressé au conducteur de l’Église.
Que Dieu vienne en aide à celui qui
s’éloignerait de ce message! Mais ce
message a été donné à un ange, et
l’ange était dans la main de Dieu et
sous Sa direction, donnant la
Lumière et la puissance qui venaient
de Lui, de Sa main droite. Ils sont
dans Sa main droite, c’est-à-dire
qu’ils ont l’autorité suprême tandis
qu’ils sont ici sur cette terre,
parce qu’ils sont les lampes qui
donnent Sa lumière à chaque âge de
l’Église. Vous voyez: «À l’ANGE de l’assemblée… écris…».
Ceci s’adresse à «l’étoile» de l’âge, qui est le responsable. L’ange de l’Église aura à rendre compte s’il ne prêche pas la Parole. C’est vrai! Cet ange devra rendre compte au jour du jugement.»
Sermon: ---
L'Âge de l’Église de Pergame (289) 60-1207
C'est ainsi que dans l'adresse à
«l'ange/messager» de Sardes, il est mentionné que ceux qui sont trouvés dignes d'être des vainqueurs, sont
«revêtus de vêtements blancs», et par conséquent, s'il y a un vainqueur dans l'Église de Sardes,
ce doit être premièrement son messager, et ce qui s'applique à «l'ange/messager» de l'Église de Sardes s'applique également à l'ange d'Éphèse et aux autres Églises. En d'autres mots, si le messager de Sardes doit être revêtu de vêtements blancs, tous les autres messagers, incluant celui de l'Église d'Éphèse, doivent être revêtus de
«vêtements blancs», et leurs témoignages s'exercent de leur vivant sur terre, et dans le cas de l'ange de l'Église d'Éphèse, il doit se repentir et vaincre. Et les Écritures sont catégoriques sur un point: les
«vêtements blancs» des vainqueurs ne s'obtiennent que
«s'ils sont lavés dans le sang de l'agneau».
Et c'est à partir d'ici que vous allez comprendre pourquoi tous les personnages choisis par William Branham, sauf Paul évidemment, n'ont jamais lavé leurs robes dans le sang
de l'agneau. Avec tout le respect que je peux adresser à William Branham, à cause de son zèle et du ministère de guérison qu'il a exercé, je ne peux m'empêcher de dire qu'il aurait dû savoir qu'Irénée de Lyon a tenté de laver sa robe dans la
«tradition apostolique» plutôt que dans le
«sang de l'agneau» et que ce genre de
«foi disqualifie quiconque prétend
se tenir devant Dieu». Quant à Martin de Tours et Colomba d'Iona, ces deux moines ont tenté de laver leurs robes dans le «monachisme ascétique»
(avec leur conception «du martyr non-sanglant») ce qui est littéralement un enseignement du salut par les
«œuvres de la chair», ce que William Branham savait parfaitement. Et finalement, William Branham a tenté d'élever Martin Luther et John Wesley au rang
«d'ange/messager» se tenant dans la
«présence de Dieu», eux qui ne savaient même pas qui était leur Dieu, car tous deux endossaient et enseignaient le dogme trinitaire de Nicée. William Branham était également au courant des écrits diffamatoires de Luther contre les Juifs et bien qu'il savait que
Martin Luther
avait conservé plusieurs enseignements de l'Église catholique, tel que le culte à Marie (mère de Dieu), il a quand même tenu à livrer ce personnage à son auditoire comme
«exemple» d'un
«ange de Dieu». Malgré toutes les informations que William Branham savait sur Martin Luther et John Wesley, lesquels ont essayé d'appliquer la
«justification et la sanctification» sur leur
crédo trinitaire
sans jamais comprendre qui était Jésus et qui était leur Dieu, Jamais, a-t-on perçu chez ces pseudo personnages, la moindre lueur d'authenticité de l'Évangile de grâce, qui élève le croyant qui place toute sa vie sous le sacrifice et le sang de Jésus, au même rang de sainteté et de perfection, que celui même de Jésus. Jamais a-t-on entendu chez ces personnages, qu'ils avaient acquis leurs robes blanches par une conscience perpétuelle dans le sang de la Nouvelle Alliance en Jésus-Christ, et que leur justice et perfection était au même niveau que celui de Jésus, autrement dit: restaurés à égalité avec Jésus, devant son Père et notre Père, devant son Dieu et notre Dieu Quand vous aurez compris qui était vraiment
Martin Luther, vous allez
comprendre que William Branham n'a pas témoigné honnêtement de ce que la
«victoire divine associée aux vrais vainqueurs» d'Apocalypse 3:5, exige et réclame, pour être trouvé digne
«d'être revêtu» de la pureté et la sainteté de Christ et que tous ses auditeurs ont été induits en erreur. Vous comprendrez que le personnage de Martin Luther n'a jamais été un vainqueur et qu'il n'a aucune part dans le livre de vie de l'Agneau. William Branham a livré à des gens sincères qui aiment Dieu, ce personnage historique comme un exemple, faisant de lui un
«ange/messager» se tenant dans la présence de Dieu, jour et nuit. Mais ce personnage ne rencontre pas un seul critère pour même penser qu'il
était en communion avec Dieu. Et c'est ce que nous allons voir. «(...)
(286) La première chose dont je veux que vous vous souveniez, c’est que
ces messages sont adressés,
non pas à l’Église, mais à l’ange de l’Église. Retournons en arrière, à la première
Église: “A l’ange de l’assemblée qui est à Ephèse, écris…”. N’est-ce pas?
(287) Très bien! L’âge suivant, verset 8:
Et à l’ange de l’assemblée qui est à Smyrne, écris…
(288) Ensuite, verset 12:
Et à l’ange de l’assemblée qui est à Pergame, écris… D’accord?» Sermon: L'Âge de l’Église de Pergame (286 à 288) 60-1207 Références: Magnificat de Martin Luther,
Le Magnificat de Martin Luther, Martin Luther speaks on Mary On the Trinity, By John Wesley, Sermon 55
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07)
Apocalypse 3:1-6 (Louis Segond 1910) «(1) Écris à l'ange de l'Église de Sardes: Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles: Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort.
(2) Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir ; car je n'ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu.
(3) Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi.
(4) Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes.
(5) Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs ; je n'effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges.
(6) Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises !»
À la lumière des Écritures ci-dessus (Apocalypse 3:1-6), celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles et qui a l'autorité d'effacer les noms
«du livre de vie» s'introduit lui-même au verset 6 comme étant l'Esprit qui s'adresse aux Églises en passant par leur
«ange/messager» réciproque. (6) Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises !» Sauf, qu'au verset 6, l'Esprit (le Seigneur) lance un appel
«au vainqueur» et il est clair que les critères requis pour être «trouvé digne» d'être un vainqueur, s'appliquent également à tous les vainqueurs des 6
autres Églises, quels qu'ils soient. C'est dans l'adresse à
«l'ange/messager» de Sardes qu'il est mentionné que ceux qui sont trouvés dignes d'être des vainqueurs, sont
«revêtus de vêtements blancs», et par conséquent, s'il y a un vainqueur dans l'Église de Sardes, ce doit être premièrement son messager. Et c'est là que vous allez comprendre pourquoi Martin Luther n'était pas un vainqueur, et pire, ne le pouvait même pas. Le symbole du «vêtement blanc» est très important et ici, je désire faire une petite mise au point. Les Écritures expliquent généralement les Écritures quand on sait trouver. Dans Apocalypse 7: 13-17, il est clairement mentionné que ceux qui sont revêtus de
«robes blanches»,
ont lavé leurs robes et les ont blanchies dans le sang de l'agneau Il n'est pas dit
«leur propre sang»
mais celui de l'agneau. L'expression «laver sa robe dans le sang de l'agneau» est une figure allégorique du domaine spirituel, tout comme je dirais «laver nos propres pensées dans le sang de Jésus». Le
«sang de l'agneau» est la pensée perpétuelle de la Nouvelle Alliance, une conscience libre
«jour et nuit», du sacrifice expiatoire de Jésus sur sa propre vie. Observez que je souligne l'expression
«jour et nuit» qui signifie continuellement». Et pourquoi
«jour et nuit»? Parce que pour être un véritable vainqueur aux yeux du Seigneur, il faut être
«dans Sa présence, jour et nuit». (i.e: continuellement dans l'Esprit de l'Alliance qui est dans le sang de Jésus). Si le Seigneur a utilisé l'expression
«jour et nuit» à quelques reprises, ce n'est pas en vain, et nous ferions
mieux d'aller voir dans les Écritures où se trouve un autre
«jour et nuit» pour mieux comprendre la portée de cette expression. Prenons Apocalypse 12, verset 10. «Et j'entendis dans le ciel une voix forte qui disait: Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l'autorité de son Christ ; car il a été précipité, l'accusateur de nos frères,
celui qui les accusait devant notre Dieu « jour et nuit.»
Voyez-vous, tant qu'un croyant est
«accusé devant Dieu» jour et nuit (continuellement) il ne peut pas
«être un vainqueur» et ne peut
pas se «tenir continuellement, jour et nuit» dans la présence de Dieu! Pourquoi? parce que la
«culpabilité» n'est pas admise dans la présence de Dieu, tout simplement! Il n'y a aucune
«justification» dans la culpabilité. Il n'y a aucune
«sanctification» dans la culpabilité. C'est pourquoi toute personne qui tente de plaire à Dieu en obéissant à une
«règle de conduite» ou des
«enseignements légalistes» sera constamment
«accusée» dans sa conscience, qui
«la met en garde» et
«l'avertit» constamment de ne jamais
«déroger» aux principes qui lui ont été enseignés». La
«présence de Dieu» est une
«pensée perpétuelle», une
«conscience continuelle» que le croyant garde en lui, une
sorte de «porte ouverte» sur la présence du Seigneur, que personne ne peut fermer! en toute assurance sans
«culpabilité», sans
«accusation». À partir du moment qu'un croyant cesse de réagir et se sentir coupable devant Dieu, lorsque l'accusateur (via sa conscience) le tourmente (tribulation), jour et nuit, il devient un vainqueur perpétuel
«jour et nuit» dans Sa présence! Sa conscience par laquelle
«l'ennemi» veut le culpabiliser s'appelle
«l'arbre de la connaissance du bien et du mal» C'est l'arbre de l'accusation et de la culpabilité, jour et nuit, devant Dieu. C'est
sur «son arbre intérieur» qu'il doit
«vaincre»! Et comment peut-on vaincre l'accusateur qui nous culpabilise jour et nuit devant Dieu? En se
«plaçant» continuellement sous l'Alliance du sang de l'agneau! Perpétuellement! Jour et nuit! En gardant la pensée de la Nouvelle Alliance Jour et Nuit dans le temple! Quand on sonde certaines Écritures, on se rend compte que le principe de
«pensez constamment, continuellement, perpétuellement, à toujours», était là bien avant la venue de Jésus. Dans 1 Chroniques 16:15, nous lisons: «Rappelez-vous à toujours son Alliance, Ses promesses pour mille générations» J'aime bien certaines versions anglaises qui
ont traduit ce passage avec l'expression: «Be you mindful always of His Covenant» qui signifie dans un sens plus ferme
«gardez à l'esprit continuellement,
jour et nuit, Son Alliance». Alors pourquoi Martin Luther ne pouvait-il pas se tenir , jour et nuit dans la présence de Dieu? Parce qu'il ne savait pas qui était Jésus, ni qui était l'Esprit, le Seigneur, ni qui était son Dieu. Martin Luther croyait à
«la sainte Trinité» de Dieu,
«un Dieu en 3 personnes, co-existantes et égales entre elles, et partageant la même essence» dans leur
«divinité». Cette
«compréhension» de la divinité chez Luther, lui fermait spirituellement
«la porte» à double-tour. Il ne pouvait accéder
«au Saint des Saints, dans la présence de Dieu». Comment aurait-il pu reconnaître, que par le sacrifice de Jésus et son sang versé, il avait été
restauré à parfaite égalité avec Jésus
devant Dieu, si Jésus est lui-même Dieu? Comprenez-vous? Le dogme de la Trinité est la
«marque sur le front» qui bloque l'esprit du «croyant», et l'empêche de
se rendre dans la présence de Dieu, jour et nuit. C'est le genre de croyant qui ne sait pas qui est son Dieu, ni qui est le Dieu du Seigneur ni qui est le Dieu de Jésus! La théologie Trinitaire prétend que la divinité est
«un mystère»! Pourquoi? Pourquoi? «Parce que 2 Chérubins gardent la porte fermée, jour et nuit»depuis Adam et ne laissent entrer que ceux dont le nom est inscrit dans le Livre de Vie de l'Agneau! Les Trinitaires ne peuvent jamais croire que Jésus est leur frère ainé, car ils ont fait de lui, une Personne Divine de la même essence que notre Dieu et Père Céleste. Ils ne savent pas que l'agneau du sacrifice, Jésus, est le premier-né entre plusieurs frères et sœurs
Et c'est la raison pourquoi William Branham ne s'est jamais aventuré pour tenter d'expliquer le passage d'Apocalypse 3:12», où celui qui vient bientôt, le Saint, le Véritable, parle du
«nom de son Dieu»,«du temple de son Dieu»,
«de la ville de son Dieu» ... Voilà la principale raison qui disqualifie
Martin Luther. Quant à Martin Luther lui-même, cette page va vous renseigner sur ce personnage qui n'a jamais été un «vainqueur» et qui ne s'est «jamais tenu» dans la présence de Dieu, tel que requis dans le livre prophétique d'Apocalypse 8:2
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08)
William Branham affirme qu'il existe une condition spirituelle très particulière, qui n'a jamais été mentionnée dans les Écritures. Il semblerait qu'on «ne reconnait pas toujours» un «arbre à ses fruits», si par exemple des «branches d'arbres d'origine différente, (provenant de mauvais arbres, ont été greffées». Cette assertion est non-scripturaire. En tentant
d'expliquer que des personnages comme Irénée de Lyon, Martin de Tours, Colomba d'Iona, Martin Luther ou John Wesley, pouvaient être remplis de l'Esprit, et être en même temps «des citrons greffés», William Branham a erré dans son interprétation des Écritures! Jésus n'a jamais parlé de greffe, de branches portant «de mauvais fruits» sur l'arbre de vie! C'est une pure invention de William Branham!
À ce compte là, William Branham pourrait être un citron, lui aussi! Les seuls et uniques bons fruits de l'Arbre de Vie, sont un témoignage d'une
«copie conforme» à Jésus, une restauration parfaite qui ramène le croyant au même niveau de perfection et de sainteté, que celle de Jésus, devant Dieu. Aucun «messager»
vainqueur, tel qu'exigé par le Seigneur dans le passage d'Apocalypse 3: 4-5,, ne peut être revêtu des «vêtements blancs», à moins d'avoir lavé
sa robe et l'avoir blanchie dans le sang de l'agneau et d'en être conscient
«jour et nuit» qui signifie continuellement», en opposition à l'accusation qui accapare les «croyants» «jour et nuit»
devant Dieu! Matthieu 7:17 «Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits.» Matthieu 7:18 «Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.» Matthieu 7:19 «Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu.»
Luc 3:9 «Déjà même la cognée est mise à la racine des arbres: tout arbre donc qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu.»Matthieu 12:33-37 «Ou dites que l'arbre est bon et que son fruit est bon, ou dites que l'arbre est mauvais et que son fruit est mauvais ; car on connaît l'arbre par le fruit. Races de vipères, comment pourriez-vous dire de bonnes choses, méchants comme vous
l'êtes ? Car c'est de l'abondance du cœur que la bouche parle. L'homme bon tire de bonnes choses de son bon trésor, et l'homme méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor. Je vous le dis: au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu'ils auront proférée. Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné.» Les «messagers» de 7 Églises étaient baptisés de l'Esprit, mais pas chrétiens! Ils étaient des citrons!
(30) C’est ce que j’essayais de dire hier soir: l’esprit peut être baptisé de cet Esprit, et que pourtant ce ne soit pas un chrétien. Vous voyez? Vous vivez de cette même Vie, mais les fruits que vous portez révèlent ce que vous êtes. Voyez? C’est vrai. Voyez? Ils peuvent accomplir tous les signes, prier pour les malades, guérir les malades, ouvrir des yeux, chasser des démons et – et faire toutes ces choses, en vivant de la même Vie qu’il y a là-dedans, mais c’est quand même un citron.
Voyez? C’est vrai. Aux fruits, on vous reconnaît, a dit Jésus. Alors, nous voyons donc...(...) » Prédication Essayer de rendre un service à Dieu, sans que ce soit la volonté - 65-1127B
Est-ce qu'un «vainqueur revêtu de vêtements blancs» peut aussi être un «citron»?
« (218) Le Saint-Esprit était en Luther, le Saint-Esprit était en Wesley; c’est la Parole de Dieu qui est ointe. Et le Saint-Esprit est revenu aux gens de l’âge et ils se sont mis à avoir la restauration des dons. En s’abandonnant à Dieu, voilà que le Saint-Esprit a parlé en langues à travers eux. Ils ont imposé les mains aux malades, et ceux-ci étaient guéris. Ils ont dansé dans l’Esprit. Voyez? C’était l’âge de la Réforme, pour remettre l’église en ordre. Et la dernière chose remise en ordre dans l’église, c’était de placer les dons dans l’église, comme Luther avait placé la justification, Wesley avait placé la sanctification, la
Pentecôte a placé les dons. Mais qu’est-ce qu’ils ont fait? La même erreur, comme la nature en montre le modèle dans la tige de blé: ils se sont érigés en dénomination (ce qui est contre Dieu, contraire à Dieu).» Prédication Essayer de rendre un service à Dieu, sans que ce soit la volonté - 65-1127B
Désolé, mais celui qui y comprend quelque chose, n'y voit absolument rien de scripturaire!
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09)
Peut importe comment vous analyser lune expression ou un mot, la signification exacte des termes ne donne pas d'autre interprétation légitime que celle qui a été définie dans le dictionnaire. Le mot «rempli» (en anglais est «filled» le passé du verbe «to fill»)
Emplir, verbe au présent, de «rendre plein», «occuper toute la capacité du volume» d'un contenant quelconque, en introduisant un «contenu prévu à cet usage». Emplir suggère l'action de «rendre plein» la première fois, tandis que remplir peut être utilisé pour «re-emplir à nouveau», ce qui a déjà été plein, mais qui lors du remplissage, ne l'était plus.
Empli, participe passé du verbe «emplir» signifie «qui est maintenant plein», ou «l'espace
prévu par le contenant est maintenant plein et on ne peut plus y ajouter». Empli signifie que l'action d'emplir a été exécutée.
Remplir, verbe au présent, est l'équivalent de «re-emplir», «action d'emplir de nouveau», «rendre plein ce qui ne l'est pas», comme dans: «ce contenant n'est pas plein, ou a été vidé, il faut le remplir», ou «remplir un vide», ou «occuper tout l'espace dans un contenant qui a été vidé». Par exemple, remplir peut illustrer remplir un sceau ou une bouteille, ou un réservoir.
Rempli, participe passé du verbe «remplir», ce qui veut dire que l'action «d'emplir à nouveau ou de remplir» est déjà exécutée, l'action est accomplie. «Rempli» est défini comme
le participe passé masculin du verbe remplir, et suggère un remplissage d'un contenant ou d'un réservoir quelconque prévu à l'origine pour être plein ou qui a déjà été plein mais qui a été vidé de son contenu.
J'ai fait observer précédemment que, le verbe «remplir» signifie «rendre plein à l'intérieur d'un contenant ou d'un réservoir» comparé à «oint» qui suppose «une onction à l'extérieur» ou «sur soi», autrement dit, on ne «rempli» rien avec une onction, et j'associerais mieux le mot «onction» à une «induction» qui agit de «l'extérieur» vers l'intérieur. Dans le sens du mot, le participe passé «rempli», signifie que l'Esprit de Dieu a déjà exécuté l'action de remplir «son temple» de Lui-même (de toute Sa Pensée), lequel était auparavant «vide» (non-régénéré). Le Saint-Esprit est la conscience constante et perpétuelle de la «Nouvelle Alliance» qui accorde la sainteté et la perfection divine, garantie par le sacrifice expiatoire de Jésus, lequel restaure le croyant
au même niveau de sainteté et de perfection, que celui de Jésus.
Le Saint-Esprit rend une personne «sainte». Par conséquent, être rempli de l'Esprit, a la même connotation que ce que Paul voulait dire dans le passage de
1 Corinthiens 6:17 «Mais celui qui s'attache au Seigneur est avec lui un seul Esprit c'est-à-dire que l'esprit du croyant est complètement «fusionné» avec l'Esprit de Dieu. Par conséquent, être rempli de l'Esprit fait référence à Jésus, lui-même, et au passage de Éphésiens 3:17-19 dans lequel Paul nous rappelle que nous devons
être rempli jusqu'à la plénitude de Dieu Comme l'a déclaré l'apôtre Jean, celui qui est né
de Dieu (nouvelle naissance) ne pèche pas et ne peut pécher,
car il se garde lui-même, (1 Jean 5:18). Certaines traductions anglaises du passage de 1 Jean 3:9, affiche que celui qui est né de Dieu, n'est
même pas capable de pécher (not able to sin),. Pensez-y! Il n'est «même pas capable» de pécher! Il sait qui il est, et il sait qui est son Esprit. Son témoignage ne dit pas n'importe quoi. L'apôtre Pierre nous dit que la nature de «celui/celle» qui est né(e) de nouveau est devenue «divine» pas «est
devenue «divine», et elle ne change pas, il est devenu un «copié/collé», une «image conforme» de Jésus, le premier-né
entre plusieurs frères et sœurs
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10)
Puisque Martin Luther est cité parmi les sept
«pseudo-messagers» des 7 Églises, toute déclaration ou affirmation de William Branham englobant la nature spirituelle commune aux sept
«anges/messagers» doit aussi s'appliquer dans le cas de Martin Luther. Autrement dit, si les
«7 messagers» sont remplis du Saint-Esprit, cela s'applique aussi à Martin Luther. Les prochains extraits proviennent de l'Exposé des sept âges de l'Église - sermon 65-0002 : Veuillez en tirer vous-même vos propres conclusions.
Sept âges_chapitre, Âge de Sardes, 7 page 238 «Or, Martin Luther était lui-même un Chrétien sensible, rempli de l’Esprit. Il était véritablement un homme de la Parole, non seulement parce qu’il l’étudiait avec une passion profonde, mais encore parce qu’il mit tout son cœur à la rendre accessible à tous, pour que tous puissent vivre par elle. Il traduisit le Nouveau Testament, et le donna au peuple (...)»
Citation chapitre 3 page 75: « (...) Dans cette main droite de puissance se trouvent sept étoiles, qui, d’après Apocalypse 1.20, sont
les sept messagers des Églises. Ceci signifie que la puissance et l’autorité mêmes de Dieu se trouvent derrière Ses messagers pour chaque âge. Ces derniers avancent dans le feu et dans la puissance du Saint-Esprit avec la Parole. Ils sont des étoiles, parce qu’ils
reflètent la lumière. La lumière qu’ils reflètent est Sa lumière à Lui. Ils n’ont pas de lumière par eux-mêmes.. » Citation chapitre 3 page 76 : "Ces sept messagers font connaître Dieu au peuple ... Ils parlent et agissent sur Son autorité, il se tient derrière eux avec toute la puissance de la Divinité
(...) Les voici donc, remplis du Saint-Esprit et de foi, enflammés du feu de Dieu, ils brandissent la Parole de vérité, et Lui se tient là pour les appuyer. - William Branham -
«(109) (...) Les sept étoiles dans Sa main, qui étaient Sept Esprits qui sont sortis devant
Dieu. Chacune avait un messager. Et nous avons continué et nous avons trouvé, par la Bible, ce que serait la nature de ce messager, quelle nature aurait ce messager. Et nous sommes allés trouver quel homme, dans l’histoire, avait cette nature. Et alors, une fois que nous avons trouvé l’homme qui, dans l’histoire, avait cette nature, voilà que nous avons vu que c’était lui le messager pour cet âge de l’église là. Alors, nous avons vu quel Esprit, et ce que cet homme a fait. Et nous avons vu qu’il était un saint rempli du Saint-Esprit, saint Irénée et tous les autres, et—et saint Colomba, et
tous ces hommes remplis de
l’Esprit. Et nous savons, par l’Écriture, que cette sorte d’Esprit là devait être sur cette sorte d’homme là, pour ce temps-là. Et c’est ça, donc ça ne peut pas être faux. Amen! Gloire à Dieu! Ça… » - William Branham -Prédication La soixante-dixième semaine de Daniel 61-0806
« (97) Donc, si c’est le Saint-Esprit de Christ qui est venu le jour de Pentecôte et qui a fait ces choses, c’est le Saint-Esprit de Christ qui est venu ici, ici, ici… jusqu’à la fin du monde. Le Saint-Esprit dont Paul fut rempli et qui lui fit faire les choses qu’il a faites est le même Saint-Esprit qui remplira celui-ci (Irénée), Martin, et tous les autres. Il les remplit complètement, et Il nous remplira complètement, vous et moi. C’est une bénédiction de
Pentecôte qui se transmet d’un âge de l’église à l’autre; c’est l’Alpha et l'Oméga, le Commencement et la Fin, le Tout en tout, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du Matin, la Rose de Saron, le Lis de la Vallée et tout le reste, Père, Fils, Saint-Esprit, Celui qui était, qui est et qui vient, l’Alpha, l’Oméga, le… » - William Branham - Prédication L'Age de l’Eglise de Sardes 60-1209
Quand on affirme comme l'a fait William Branham, que tous les 7 messagers étaient «remplis du Saint-Esprit, et que les gens croient que tout ce que vous dites, est «inspiré» de Dieu, là je crois qu'il y a un grave problème. Pourquoi? parce que je vais réfuter ce qu'a affirmé William Branham, au sujet de plusieurs «pseudo messagers» qui étaient supposément «remplis du Saint-Esprit», et je vais commencer ici, par m'occuper du cas de Martin Luther.
(29) « Maintenant abordons notre sujet sans tarder. Hier nous avons étudié la technique qu’utilisent les démons. Je réfléchissais aujourd’hui, alors que Dieu traitait avec moi. Vous ne savez pas ce que ça représente, d’avoir la liberté d’aller de l’avant. Or, je ne suis pas un enseignant. Je suis loin d’être un-un commentateur de la Bible. Et je suis… Mon instruction se limite à une septième année. Alors c’est… Et, avec ça, je suis sorti de l’école il y a environ vingt-cinq ans, alors il y a longtemps que je n’y suis plus. Je n’ai pas beaucoup d’instruction, mais tout ce que je sais, c’est ce que je reçois par inspiration. Et si cette inspiration ne concorde pas avec la Bible, alors elle est fausse. Voyez? Il faut que ce soit la Bible. Quelle que soit l’inspiration, il faut que ça vienne… Voici le fondement de Dieu. Aucun autre fondement n’a été posé que Ceci. Et ce qui correspond à Ceci; si ce que je disais était contraire à Ceci, alors que mes paroles soient un mensonge, parce que la Vérité, c’est Ceci. Voyez? » - William Branham -
Prédication Démonologie - Domaine religieux - 53-0609
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11)
Qu'arriverait-il si vous vouliez écrire une lettre à quelqu'un et que vous savez parfaitement que cette personne refusera carrément de recevoir votre courrier? Sachant qu'une telle personne pourrait être le destinataire de votre message, si elle avait une attitude différente, je doute que vous prendriez même la peine de lui écrire une lettre, même si votre lettre contient des instructions pour lui et sa famille à propos d'un héritage, car ce serait du temps perdu. Vu que l'enseignement des 7
«pseudo-âges» situe
«l'âge de Sardes»
à l'époque de Martin Luther, comprenez bien que si Martin Luther aurait été l'authentique destinataire de la lettre du Seigneur adressée au
«messager» de l'église de Sardes, sachez que ce dernier s'en fichait carrément et n'en
aurait jamais tenu compte, ni personne dans son entourage d'ailleurs. Dans les écrits de Luther, nous découvrons que ce personnage n'avait pas une très bonne opinion sur certains livres de la Bible, notamment le livre de l'Apocalypse. Voici ce que Luther a écrit:
«À mon avis, il (le livre de l'Apocalypse) ne porte sur lui aucune marque d'un caractère apostolique ou prophétique. . . Tout le monde peut se former son propre jugement de ce livre. Quant à moi, je me sens une aversion pour lui, et pour moi, c'est une raison suffisante pour le rejeter.» [Sämmtliche Werke, 63, pp 169-170: «Les faits sur Luther,« O'Hare, Tan Books, 1987, p. 203]
Vu que Martin Luther sa rejeté entièrement le livre de l'Apocalypse, (il avait ce livre en aversion) il a aussi rejeté toutes les adresses du Seigneur aux
«messagers des 7 Églises». Par conséquent cela prouve aussi que Martin Luther n'est qu'un pauvre personnage historique qui n'a absolument rien à voir avec les prophéties bibliques contenues dans le livre de l'Apocalypse destinées aux
«anges/messagers» des 7 Églises.
«Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre : Si quelqu'un y ajoute quelque chose, Dieu lui ajoutera les plaies écrites dans ce livre.
Et si quelqu'un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part du livre de vie, et hors de la ville sainte, et de ces choses qui sont écrites dans ce livre.» [Apocalypse 22: 18-19]
Si le Seigneur a pris la peine de mentionner l'avertissement écrit dans le passage d'Apocalypse 22: 18-19, c'est parce qu'il y a, comme Martin Luther l'a fait, des gens qui ont rejeté les prophéties du livre. Vu que Martin Luther, se fichait du livre d'Apocalypse au complet, il a par conséquent
«tout retranché» et le Seigneur n'a pas d'autre alternative que de retrancher sa part parmi les élus de Dieu. Et croyez-moi, c'est sans appel! Cela vous indique encore une fois combien ce personnage n'avait rien à voir avec les authentiques
«anges/messagers» de 7 Églises!
Évidemment, dans le contexte historique du
«christianisme», personne ne peut nier que Luther croyait être un vrai
chrétien. Par contre, même si le catholicisme de Rome s'est opposé à lui alors qu'il voulait seulement «pratiquer sa religion» (le juste vivra par la foi), cela ne peut même plus servir à justifier
«sa réforme», pas plus que la réputation d'Oskar Schindler peut être utilisée pour justifier le
«vrai nazisme» qui a sauvé de Juifs des camps d'extermination, ou la guerre pour justifier le meurtre, ou un «vrai faux trois dollars». Mais probablement le plus grand tort spirituel que tous les croyants de son époque ont souffert venait de l'attitude même de Luther, lequel préconisait ouvertement l'abandon de l'utilisation
«de la raison naturelle». Luther considérait son utilisation du raisonnement
théologique comme différente de la raison naturelle. Personne ne peut douter que le meilleur juge du vrai caractère de Luther n'est autre que Luther lui-même. Et donc à partir des propres paroles de Luther, vous allez le voir exactement pour ce qu'il était. Rappelez-vous qu'aucune des déclarations de Luther, n'a jamais été retirée par lui, et elles peuvent donc encore être considérées comme faisant partie de son «esprit religieux». «Un bon travail n'arrive pas à la suite de sa propre sagesse, mais tout doit se passer dans un état de stupeur. . . La raison doit être laissée pour compte car elle est l'ennemie de la foi ». [Trischreden, Weimer VI, 143, 25-35.]
«La raison est directement opposée à la foi, et l'on devrait laisser faire ; dans les croyants, elle doit être tuée et enterrée» [Erlangen, Vol. 44, p. 156-157. Pour plus de citations à ce sujet voir:
«Trois réformateurs», par Jacques Maritan, p. 34, cf. aussi Jean Janssen, L'Allemagne et la Réforme. (Trad. E. Paris, Plon, 1887-1911), Vol VII, p 427.]
«On devrait apprendre la philosophie comme on apprend la sorcellerie, c'est-à-dire pour détruire, comme on découvre des erreurs, afin de les réfuter» [Commentaire sur l'Épître aux Romains, Fol. (1516). Ficker, II, 198. Cf. Trois réformateurs, de Jacques Maritan, p. 31] Vous comprendrez qu'avec un tel raisonnement, il n'en fallait pas plus pour un dérapage complet de l'interprétation des Écritures! Ainsi nous retrouvons dans les écrits de Luther des déclarations (qu'il a enseignées d'ailleurs) complètement insensées. Par exemple, Luther affirme qu'un homme pouvait commettre la fornication et le meurtre1000 fois par jour et ne pas perdre sa JUSTIFICATION. Assurément il disait cela pour exprimer sa doctrine de la justification par la foi seule : cela importe peu combien une personne a péché, elle est toujours sauvée tant qu'elle croit (par la foi seule). Dans le même contexte, il a déclaré "Soyez un pécheur et péchez hardiment." L'authenticité de ces citations n'est pas contestée, mais admise ouvertement par les défenseurs de Luther.
Martin Luther, Lettre à Melanchthon, 1er Août, 1521 : «Si vous êtes un prédicateur de la grâce, alors prêchez une véritable et non une grâce
fictive, si la grâce est vraie, vous devez porter un vrai et non un péché fictif. Dieu ne sauve pas les gens qui ne sont que les pécheurs fictifs. Soyez un pécheur et péchez hardiment, mais croyez et réjouissez-vous dans le Christ encore plus hardiment, car il est victorieux sur le péché, la mort et le monde. Tant que nous sommes ici [dans ce monde] nous devons pécher. Cette vie n'est pas le lieu d'habitation de la justice, mais, comme le dit Pierre, nous attendons de nouveaux cieux et une nouvelle terre où la justice habitera. Il suffit que par les richesses de la gloire de Dieu, nous ayons appris à connaître l'Agneau qui enlève le péché du monde. Aucun péché ne nous séparera de l'Agneau,
même si nous nous
engageons à la fornication et assassinons des milliers de fois par jour. Pensez-vous que le prix d'achat qui a été payé pour le rachat de nos péchés par un si grand agneau est trop petit ? Priez avec audace - vous aussi vous êtes un pécheur puissant.»
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12)
Résumé de la biographie de Martin Luther Lien Internet
Martin Luther, né le 10 novembre 1483 à Eisleben, en Thuringe et mort le 18 février 1546 dans la même ville, est un frère augustin théologien, professeur d'université, initiateur du protestantisme et réformateur de l'Église dont les idées exercèrent une grande influence sur la Réforme protestante, qui changea le cours de la civilisation occidentale.
En 1501, à l'âge de dix-huit ans, il entre à l'université d'Erfurt, où il obtient un diplôme de bachelier en 1502 et une maîtrise en 1505. Il a alors l'intention d'étudier le droit, comme le souhaite son père, dans la même université mais il abandonne presque aussitôt, avec l'idée que le droit relève de l'incertitude. Luther se sent attiré par la théologie et la philosophie (...)
Il quitte l'université et entre dans une confrérie augustinienne (monastique) à Erfurt le 17 juillet 1505. Plus tard, il attribuera cette évolution à un événement : le 2 juillet 1505, il retournait à cheval à Erfurt après un congé dans sa famille. Pendant un orage, la foudre frappa près de lui. Par la suite, il avouera à son père sa peur de la mort et du jugement divin en s'écriant : «Au secours, sainte Anne, je vais devenir moine !» (ou « Sainte Anne, sauve-moi et je me ferai moine ! »). Il en vient à considérer son appel à l'aide comme une promesse qu'il ne pourra briser.
Membre de l'ordre mendiant «des Augustins», Martin essaie au couvent des Augustins d'Erfurt de rechercher dans l'ascèse (mortifications, jeûnes, veilles) la promesse de son salut tout en restant persuadé qu'il n'y parviendra jamais. En même temps, il continue à étudier la théologie et bientôt commence à l'enseigner : ordonné prêtre en 1507, il est désigné pour enseigner la philosophie au couvent d'Erfurt. Docteur en théologie en 1512, il occupe par la suite la chaire d'enseignement biblique à l'université de Wittemberg, ville où il est, à partir de 1514, prédicateur de l'Église. Enseignement, prédication et recherche personnelle sont désormais ses trois activités principales.
Certains font remonter les idées réformatrices de Luther à un séjour qu'il a fait à Rome en 1510-1511 pour les affaires de son ordre
monastique. Ce n'est apparemment pas le cas, et les abus ecclésiastiques de l'époque ne semblent pas l'émouvoir outre mesure. Plus importants sont son obsession du salut et ses travaux sur les épîtres de Paul. Il ressent en lui de multiples tendances vers le mal, et toutes les pratiques que lui offre l'Église, messes, confessions, jeûnes, etc. ne lui permettent pas de se libérer de ce sentiment de culpabilité. C'est sa compréhension nouvelle de l'épître de Paul aux Romains qui lui procure le soulagement. Il écrira : « Alors je commençai à comprendre que la « justice de Dieu » est celle par laquelle le juste vit du don de Dieu, à savoir de la foi, et que la signification (de la lettre de Paul aux Romains au chapitre 1, 17)
était celle-ci : par l'Évangile nous est révélée la justice de Dieu..., par laquelle le Dieu miséricordieux nous justifie par la foi... Alors je me sentis un homme né de nouveau et entré, les portes grandes ouvertes, dans le paradis même.» Le conflit avec la papauté éclate en 1517, à propos de l'indulgence décrétée par le pape Jules II et continuée sous le pape Léon X pour financer la construction de la basilique Saint-Pierre, indulgence soutenue dans le Saint-Empire par l'archevêque-électeur de Mayence Albert de Brandebourg. Le 31 octobre, Luther écrit à l'archevêque pour lui demander de ne pas cautionner cette indulgence et joint à sa lettre les 95 thèses qui auraient principalement été inspirées par les abus du moine dominicain
Johann Tetzel. Le même jour, il aurait placardé sur les portes de l'église de la Toussaint de Wittemberg ses 95 thèses condamnant violemment le commerce des indulgences pratiqué par l’Église catholique, et plus durement encore les pratiques du haut clergé — principalement de la papauté. Ces 95 Thèses, également appelées Thèses de Wittemberg, sont imprimées à la fin de l'année. Il s'insurge contre l'instauration de dogmes tels que celui du Purgatoire. Dès lors, cette controverse entre théologiens (donc universitaires) devient une affaire publique et politique. Luther est dénoncé à Rome par l'archevêque Albrecht.
En juillet 1519, il met en cause l'infaillibilité des conciles. Le pape Léon X lui ordonne de se rétracter par la bulle pontificale Exsurge Domine, mais Luther la brûle en public et rompt avec l'Église catholique, en 1521. Un an plus tard commence contre lui un long procès qui aboutira à son excommunication. Face à Martin Luther, Rome choisit l'affrontement. Le procès menant à son excommunication, loin d'affirmer le catholicisme, ne fait qu'accélérer le processus de la Réforme. Luther est mis au ban de l'Empire, ce qui signifie que n'importe qui peut le mettre à mort impunément. Mais il dispose cependant, outre d'un soutien populaire assez large, de divers appuis politiques.
Alors qu'il traverse la forêt de Thuringe le 4 mai 1521 à l'époque où il réside au château d'Altenstein, Frédéric III le met à l'abri dans le château de la Wartbourg, près d'Eisenach. Luther y demeure jusqu'au 6 mars 1522 et c'est là qu'il commence sa traduction de la Bible, d'abord celle du Nouveau Testament.
Les détracteurs de Martin Luther lui ont souvent fait grief de ce soutien des princes en lui reprochant d'avoir instauré une religion qui n'est pas celle du peuple. Ils lui reprochent surtout son comportement pendant la guerre des Paysans allemands (1524-1525), révolte provoquée par la misère mais liée aussi à la question religieuse et à des préoccupations proches des siennes ; plusieurs chefs du mouvement sont anabaptistes). En avril 1525, en des termes très durs, Luther se prononce pour une répression impitoyable de la révolte.
Il y aura en tout plus de 100,000 morts
Bien que spontanément conservateur, et ne voulant pas qu'on se réclame du nom de luthérien mais de celui de chrétien, Luther fait évoluer la nouvelle Église dans un sens qui l’éloigne de plus en plus des traditions romaines. Il prononce la suppression des sacrements non « évangéliques » (seuls sont conservés le baptême et l’eucharistie, bien que la pratique de la confession subsiste dans de nombreux endroits), la suppression - pour des raisons tant théologiques que morales - des vœux monastiques et du célibat des prêtres, l'élection des pasteurs par des communautés locales, l'allemand comme langue liturgique (1526) etc. Ce sera en 1534 que Martin Luther achèvera l'écriture de sa Bible. Au début,
Luther n'a que peu d'égard pour les Livres d'Esther, l'Épître aux Hébreux, l'Épître de Jacques, l'Épître de Jude, et le Livre de l'Apocalypse. Il appelle l'Épître de Jacques « une épître de paille » ; il trouve que ces livres se réfèrent peu au Christ et à Son œuvre salutaire. Il a également des paroles dures à l'égard du Livre de l'Apocalypse, disant qu'il ne peut «en aucune manière ressentir que le Saint Esprit avait pu produire ce livre» Il met en doute l'apostolicité des épîtres aux Hébreux, de Jacques, de Jude, et de
l'Apocalypse rappelant que leur canonicité n'était pas universellement acceptée dans la première Église. Les sorciers La chasse aux sorcières et sorciers exista dans les régions tant protestantes que catholiques romaines de l'Europe centrale, pendant et après la Réforme. Luther se fondait sur les mots de la Bible (Exode 22:17) « tu n'accepteras pas de laisser vivre une sorcière ». Luther alla jusqu'à en parler dans certains de ses sermons (celui du 6 mai 1526 WA 16, 551f., et aussi WA 3, 1179f, WA 29, 520f). Dans celui du 25 août 1538, il dit : «vous ne devez pas avoir de pitié pour les sorcières, quant à moi je les brûlerais»
(WA 22, 782 ff.). Il estimait que la sorcellerie était un péché allant à l'encontre du deuxième commandement. Luther et les Juifs Luther a longtemps prêché une attitude humaine et tolérante envers les Juifs, «mais uniquement dans la mesure où ils accepteraient de reconnaître Jésus-Christ. En soi, le judaïsme est un crime à éradiquer et, si les Juifs ne se sont pas massivement convertis au christianisme, c'est parce qu'il leur a été mal enseigné.»
Devant l'échec de ses tentatives en ce sens, Luther adopte vers la fin de son existence une attitude de plus en plus antisémite. En 1543, trois ans avant sa mort, il publie Des Juifs et de leurs mensonges, pamphlet d'une extrême violence où il prône des solutions telles que brûler les synagogues, abattre les maisons des Juifs, détruire leurs écrits, confisquer leur argent et tuer les rabbins qui enseigneraient le judaïsme. Ce type de position contribuera au maintien d'un fort antijudaïsme en Allemagne, qui servira de prétexte à l'antisémitisme sous le Troisième Reich, époque où le pamphlet de Luther deviendra un best-seller. Au sujet de ce texte,
on a pu écrire : « Là, vous avez déjà l'ensemble du programme nazi »
Quelques mois plus tard, dans un ouvrage «Vom Schem Hamphoras und das Geschlecht Christi» (Du nom de Hamphoras et de la lignée du Christ), Luther assimile les Juifs au diable. Dans son traité, Luther écrit que les Juifs sont un «peuple de débauche, c'est-à-dire pas des gens de Dieu, et que leurs fanfaronnades sur leur lignage, la circoncision et leurs lois doivent être considérées comme une cochonnerie». «Ils sont remplis d'excréments du diable… dans lesquels ils se vautrent comme des pourceaux. » Quant à la synagogue, c'est une « putain incorrigible et une souillure du diable... ». On ne doit montrer à
leur égard aucune pitié ni aucune bonté, ne leur procurer aucune protection légale, et ces « vers venimeux et vénéneux » doivent être punis de travaux forcés ou expulsés une fois pour toutes. Il semble aussi recommander leur meurtre et écrit : «Nous sommes fautifs de ne pas les tuer» (Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Des_Juifs_et_de_leurs_mensonges
Note: Lien Internet de la liste de tous les travaux répertoriés de Martin Luther (Anglais)
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13)
Je me suis posé la question, à savoir si William Branham avait réellement lu toute la biographie de Luther. Dans sa prédication sur le premier sceau en 1963, il mentionne clairement que Luther haïssait les Juifs et qu'Hitler et les Nazis n'avaient qu'exécuté ce que Luther avait proclamé et écrit. Il me semble que là, cela aurait du sonner quelques cloches dans son esprit.... et que la vie de ce personnage n'avait rien d'un «homme rempli de l'Esprit» comme William Branham l'a répété de nombreuses fois. Comprenez que personne ne peut prétendre qu'il est né de nouveau, né de l'Esprit de Dieu ou
«rempli de l'Esprit» et inciter au meurtre et au crime. Car celui qui est
«rempli du Saint Esprit» est premièrement
«né de l'Esprit» et
celui qui est né de l'Esprit ne pèche pas,.
Et sachez que pour naitre de nouveau, vous devez être complètement
«mort» au «vieil homme» et
«ressuscité en Jésus Christ». Le critère de base requis pour être
«un vainqueur»
selon les 7 lettres adressées aux 7 messagers des 7 Églises, est qu'il faut
«être né de nouveau». Celui qui est né de Dieu est un
«vainqueur» et son esprit
est un seul Esprit avec le Seigneur.
Martin Luther n'était pas un vainqueur, et n'a jamais enseigné à quiconque
«comment être un vainqueur» Jésus l'a affirmé explicitement, c'est du cœur que sortent les paroles de haine et d'incitation au meurtre.
Matthieu 12:34 « Races de vipères, comment pourriez-vous dire de bonnes choses, méchants comme vous l'êtes ? Car c'est de l'abondance du cœur que la bouche parle.»
Matthieu 15:18 « Mais ce qui sort de la bouche vient du cœur, et c'est ce qui souille l'homme.»
Matthieu 15:19 « Car c'est du cœur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies.»
Marc 7:21 « Car c'est du dedans, c'est du cœur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres,»
Luc 6:45 « L'homme bon tire de bonnes choses du bon trésor de son cœur, et le méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor ; car c'est de l'abondance du cœur que la bouche parle.»
Si Martin Luther serait vivant aujourd'hui, il serait jugé et condamné à la prison pour incitation à la haine raciale! Vous vous rendez compte! Ses écrits ont inspiré Hitler et les Nazis à tuer 6,000,000 de Juifs! Et la seule excuse que William Branham a trouvée, était que Martin Luther n'était pas un prophète comme lui! Aberrant comme commentaire! C'est comme si William Branham avait dit que
«l'ange/messager»
qui se tient perpétuellement dans la présence de Dieu, peut dire et faire n'importe quoi, pour la simple raison qu'il n'est pas un
«prophète», (comme lui?, et puisque tout était permis
«dans la pseudo-justification» de Luther, cela renforce le passage que
«Jésus-Christ est le même, hier, aujourd'hui et éternellement» !!!
« (218) Alors que Martin Luther a fait la proclamation que «tous les Juifs devraient être chassés et leurs propriétés brûlées, parce que c’étaient des antichrists». Voyez? Martin Luther lui-même a fait cette déclaration dans ses écrits. Or, Hitler n’a fait qu’accomplir
ce que Martin Luther avait dit Pourquoi Martin Luther a-t-il dit ça? Parce que c’était un réformateur, et non pas un prophète. (219) Dieu, qui : «Mon prophète a béni Israël, il a dit : «Quiconque te bénira sera béni, et quiconque te maudira sera maudit. (...)» Le Premier Sceau (215-220) 63-0318
P. 179 «Il y avait une époque où Adolf Hitler était l’absolu de l’Allemagne. Quoi qu’il dise... Quand il disait : “Sautez!”, ils sautaient;
quand il disait : “Tuez!”, ils tuaient. Des millions de Juifs... il faisait un signe de la tête. Vous voyez ce qui est arrivé à cette sorte d’absolu. Cela ressemblait à de la puissance, mais c’était contraire à la Parole.» - L'absolu [62-1230M]
--- (244) Les Juifs! Et Hitler les détestait, Eichmann aussi, Staline aussi, et le reste du monde. Voyez? Mais ils sont restés fidèles à ce qu’ils croyaient. Et ils les ont tués, parce qu’ils étaient Juifs.
(245) Saviez-vous que Martin Luther aussi avait un peu cette idée-là? C’est vrai. Il a dit : “Tous les Juifs devraient être chassés. Ils sont antichrists.” Voyez? Mais il était simplement d’une autre dispensation, et il ne le voyait pas, il ne voyait pas la Parole.
- Le Cinquième Sceau 63-0322 (P. 21)
Note: Dans 63-0322 (P. 21) Évidemment, si l'on suit le raisonnement de William Branham, tout ce qu'a dit Luther sur les Juifs est pardonnable et 100% excusable, parce que Luther n'était pas un prophète comme William Branham, et par conséquent, comme Luther n'était pas né au bon moment dans la
«bonne dispensation», il ne pouvait
«pas voir la Parole»... Donc, logiquement, Hitler est tout aussi pardonnable, parce que lui non plus, n'était pas
«prophète» et
«ne voyait pas la Parole»....
Puisque Luther
«ne voyait pas la Parole» et dans le sermon 65-0002 : l'Âge de l’Église d’Éphèse, «il était rempli de l'Esprit» William Branham n'est pas cohérent et n'a aucune crédibilité! Prétendre, comme l'a insinué William Branham, que Martin Luther était
«rempli du Saint-Esprit» relève d'acrobaties irrationnelles.
Quiconque essaie de défendre William Branham sur ce point dénote un raisonnement insensé! Si Martin Luther était
«rempli du Saint-Esprit», cela contredit Hébreux 13: 8
«Jésus Christ est toujours le même, hier, aujourd'hui et toujours», parce que Dieu
«aurait une politique de tolérance spirituelle» très variable au fil du temps, et même si cet homme n'a jamais
réussi à remplir tous les critères pour atteindre la Nouvelle Naissance authentique, il méritait quand même d'être rempli de l'Esprit.
Les œuvres de Luther, son témoignage, bref tout ce qu'il a laissé comme héritage spirituel, prouve hors de tout doute, que cet homme n'a jamais vraiment rencontré le Seigneur. Et William Branham tente de vous faire croire qu'un pauvre type comme Martin Luther était un
«ange/messager» dont «l'esprit» se tenait dans la présence de Dieu! Cet homme
était animé de démons! Voyez comment le «serpent» a tenté de séduire des milliers de gens! Ce personnage à lui seul, contredit tout ce que William Branham a pu tenter de vous faire croire sur les
«pseudo messagers» des sept
«pseudo âges de l'Église» Et les prochains chapitres vont le prouver. Matthieu 12:37 Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné.
Sept âges, Âge de Sardes, chapitre 7 page 238 «Or, Martin Luther était lui-même un Chrétien sensible, rempli de l’Esprit. Il était véritablement un homme de la Parole, non seulement parce qu’il l’étudiait avec une passion profonde, mais encore parce qu’il mit tout son cœur à la rendre accessible à tous, pour que tous puissent vivre par elle. Il traduisit le Nouveau Testament, et le donna au peuple (...)»
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14)
Ses mots ont été utilisés par l'Allemagne nazie pour tuer 6,000,000 Juifs Des Juifs et de leurs mensonges
Dans Des Juifs et de leurs mensonges, Luther recommande que les Juifs soient privés d'argent, de droits civils, d'enseignement religieux et d'éducation, et qu'on les force à travailler la terre, ou bien qu'on les expulse d'Allemagne et éventuellement qu'on les tue.
« Je m'étais résolu à ne plus écrire sur les Juifs ni contre eux. Mais comme j'ai appris que ces gens misérables et maudits n'arrêtent pas de nous leurrer, nous les chrétiens, j'ai publié ce petit livre, de façon que je puisse me trouver parmi ceux qui s'opposent à leurs activités empoisonnées et pour mettre les chrétiens en garde contre eux. »
Luther déclare dans ses remarques préliminaires, qu'il a écrit en réponse à un pamphlet, inconnu des historiens, écrit par un ou des Juifs non identifiés, que lui a fait parvenir le comte Wolfgang Schlick de Falkenau :
« Cher monsieur et bon ami, j'ai reçu un traité dans lequel un Juif s'engage dans un dialogue avec un Chrétien. Il ose pervertir les passages des Écritures saintes que nous citons en témoignage de notre foi, concernant notre Seigneur Jésus Christ et sa mère Marie, et les interpréter de façon tout à fait différente. Avec ces arguments, il pense qu'il peut détruire la base de notre foi. »
Il mentionne les Juifs comme « une portée de vipères et enfants du diable »
(de Matthieu 12:34), « misérables, aveugles et stupides », « des imbéciles vraiment stupides », « des voleurs et des larrons », « des fripons paresseux », « des meurtriers permanents »,
et « de la vermine »
et les apparente à de la « gangrène ».
Puis il continue en recommandant que les synagogues et les écoles juives soient brûlées, leurs maisons rasées, leurs écrits confisqués, leurs rabbins interdits d'exercer, leurs déplacements restreints, qu'ils aient l'interdiction de prêter de l'argent et qu'ils soient obligés de gagner leur vie en cultivant la terre. Luther conseille : « Si nous voulons laver nos mains du blasphème des Juifs et non participer à leurs affaires coupables, nous devons nous séparer d'eux. Ils doivent être expulsés de notre pays » et «
nous devons les chasser comme des chiens enragés
».
Et pour conclure, Luther note :
« Il n'y a pas d'autre explication pour ceci que celle de Moïse citée précédemment, à savoir, que Dieu a frappé les Juifs de « folie, de cécité et de confusion d'esprit ». Aussi nous sommes nous-mêmes coupables si nous ne vengeons pas tout ce sang innocent de notre Seigneur et des chrétiens qu'ils ont répandu pendant les trois cents ans après la destruction de Jérusalem, et le sang des enfants qu'ils ont répandu depuis lors (qui brille encore de leurs yeux et de leur peau).
Nous sommes fautifs de ne pas les tuer. Au contraire, nous leur permettons de vivre librement dans notre milieu, en dépit de tous leurs meurtres, leurs imprécations, leurs blasphèmes, leurs mensonges et diffamations; nous protégeons et défendons leurs synagogues, leurs maisons, leurs vies et leurs biens. De cette façon, nous les rendons paresseux et tranquilles et nous les encourageons à nous plumer hardiment de notre argent et de nos biens, ainsi qu'à se moquer et à se railler de nous, avec comme but de nous vaincre, de nous tuer pour un tel péché et de prendre tous nos biens (comme ils le prient et souhaitent tous les jours). Maintenant, dites-moi s'ils n'ont pas toutes les raisons d'être les ennemis de nous, les maudits Goyim, et de nous maudire et de faire tout leur possible pour obtenir notre ruine finale, complète et éternelle ! » — Martin Luther, Von den Jüden und iren Lügen.
Source et références:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Des_Juifs_et_de_leurs_mensonges
Matthieu 15:19 « Car c'est du cœur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies.»
Matthieu 12: 36-37: «(36) Je vous le dis: au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu'ils auront proférée. (37) Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné.»
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15)
De nos jours, les gens
«du Message des temps de la fin» répètent tellement souvent que Luther est «un saint» et un «modèle pour son temps» et
«rempli de l'Esprit-Saint» comme a tenté de faire croire William Branham, que plusieurs sont abasourdis lorsque quelqu'un ose dire
quelque chose de négatif à propos de Luther. Voyons un peu la rhétorique et le genre de choses que Luther écrivait:
Est-ce que ses paroles (ci-dessous) étaient inspirées? Sûrement pas! William Branham, tu es jugé pour des paroles qui ont induit ton auditoire en erreur! Ce que tu as dit est complètement faux! Sept âges, Âge de Sardes, chapitre 7 page 238 «Or, Martin Luther était lui-même un Chrétien sensible,
rempli de l’Esprit. Il était véritablement un homme de la Parole, non seulement parce qu’il l’étudiait avec une passion profonde, mais encore parce qu’il mit tout son cœur à la rendre accessible à tous, pour que tous puissent vivre par elle. Il traduisit le Nouveau Testament, et le donna au peuple (...)»
Matthieu 15:19 « Car c'est du cœur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies.»
Matthieu 12: 36-37: «(36) Je vous le dis: au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu'ils auront proférée. (37) Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné.» Note: autrement dit, le passage de Matthieu 12, 36-37, s'ajoute également à ce que lorsque quelqu'un est «justifié» par la foi dans le sacrifice expiatoire de Jésus,
la promesse d'un «témoignage par des paroles dignes d'une personne régénérée»
est indissociable de la Justice de Dieu, car la justice de Dieu et la sainteté de Dieu s'opèrent en même temps par un
«seul acte de justice» ou une seule
«offrande» du sacrifice de Jésus, sinon l'Évangile n'aurait plus aucun sens. C'est effectivement ce que William Branham a complètement occulté pour présenter à son auditoire, un
«Chrétien sensible, un Martin Luther, rempli de l'Esprit» La responsabilité de William Branham d'avoir ainsi erré et induit en erreur son auditoire est indéfendable. C'est pour cette raison, que William Branham n'a aucune crédibilité pour être lui-même
«un
prophète» ou un
«messager» dans la présence de Dieu!
Luc 1: 74-75: «(74) De le servir sans crainte, (75) En marchant devant lui dans la sainteté et dans la justice tous les jours de notre vie.» «Dieu n'est pas mieux qu'une canaille» [A Brief Synopsis of Martin Luther: Weimar, Vol. 1, Pg. 487. Cf. Table Talk, No. 963]
«Le Christ a tout d'abord commis l'adultère avec les femmes du puits dont saint Jean nous a parlé. Tout le monde ne disait-il pas de Lui: "Qu'a-t-Il fait avec elle?" Deuxièmement, avec Marie-Madeleine, et troisièmement avec les femmes adultères qu'Il a renvoyées si légèrement. | |
Ainsi, même le Christ qui était si juste, devait avoir été coupable de fornication avant de mourir.» - Martin Luther [Luther, In His Own Words Oct 2017: Trishreden,
Weimer Edition, Vol. 2, Page 107] |
«J'ai plus confiance en ma femme et mes élèves que dans le Christ» [The 38 Most Ridiculous Things Martin Luther Ever Wrote Table Talk, 2397b]
«Peu importe comment s'est comporté le Christ - ce qu'Il a enseigné, c'est tout ce qui compte» [Luther: It does not matter how Christ behaved: Erlangen Vol. 29, Pg. 126] «Il est plus important de se garder des bonnes
œuvres que du péché.» [A Brief Synopsis of Martin Luther: Trischreden, Wittenberg Edition, Vol. VI., p. 160] «Les bonnes œuvres sont mauvaises et sont un péché comme le reste.» [Luther, réformateur ou pervertisseur? Denifle's Luther et Lutheranisme, Étude Faite d'après les sources. Translation by J. Paquier (Paris, A. Picard, 1912-13), Vol. III, page 47] «Il n'y a pas de scandale plus grand, plus dangereux, plus venimeux qu'une bonne vie extérieure, qui se manifeste par de bonnes œuvres et un mode de vie pieux. C'est le grand portail, la grand-route qui mène à la damnation.»
[A Brief Synopsis of Martin Luther: Denifle's Luther et Lutheranisme, Étude Faite d'après les sources. Translation by J. Paquier (Paris, A. Picard, 1912-13), Vol. II, page 128]
Évidemment, dans le contexte historique du
«christianisme», personne ne peut nier que Luther croyait être un
vrai chrétien. Par contre, même si le catholicisme de Rome s'est opposé à lui alors qu'il voulait seulement
«pratiquer sa religion» (le juste vivra par la foi), cela ne peut même plus servir à justifier
«sa réforme», pas plus que la réputation d'Oskar Schindler peut être utilisée pour justifier le
«vrai nazisme» qui a sauvé de Juifs des camps d'extermination, ou la guerre pour justifier le meurtre, ou un
«vrai faux trois dollars». Mais probablement le plus grand tort spirituel que tous les croyants de son époque ont souffert venait de l'attitude même de Luther, lequel préconisait ouvertement l'abandon de l'utilisation
«de la raison naturelle». Luther considérait son
utilisation du raisonnement théologique comme différente de la raison naturelle, c'est-à-dire, due raisonnement scientifique. Personne ne peut douter que le meilleur juge du vrai caractère de Luther n'est autre que Luther lui-même. Et donc à partir des propres paroles de Luther, vous allez le voir exactement pour ce qu'il était. Rappelez-vous qu'aucune des déclarations de Luther, n'a jamais été retirée par lui, et elles peuvent donc encore être considérées comme faisant partie de son «esprit religieux». «Un bon travail n'arrive pas à la suite de sa propre sagesse, mais tout doit se passer dans un état de stupeur. . . La raison doit être laissée pour compte car elle est l'ennemie de la foi ».
- Martin Luther - [Trischreden, Weimer VI, 143, 25-35.] «La raison est directement opposée à la foi, et l'on devrait laisser faire ; dans les croyants, elle doit être tuée et enterrée» - Martin Luther -[Erlangen, Vol. 44, p. 156-157. Pour plus de citations à ce sujet voir: «Trois réformateurs", par Jacques Maritan, p. 34, cf. aussi Jean Janssen, L'Allemagne et la Réforme. (Trad. E. Paris, Plon, 1887-1911), Vol VII, p 427.] «On devrait apprendre la philosophie comme on apprend la sorcellerie, c'est-à-dire pour détruire, comme on découvre des erreurs, afin de les réfuter» Martin Luther - [Commentaire sur l'Épître aux Romains, Fol. (1516). Ficker, II, 198. Cf. Trois réformateurs, de Jacques Maritan, p. 31]
Vous comprendrez qu'avec un tel raisonnement, il n'en fallait pas plus pour un dérapage complet de l'interprétation des Écritures! Ainsi nous retrouvons dans les écrits de Luther des déclarations (qu'il a enseignées d'ailleurs) complètement insensées. Par exemple, Luther affirme qu'un homme pouvait commettre la fornication et le meurtre1000 fois par jour et ne pas perdre sa JUSTIFICATION. Assurément il disait cela pour exprimer sa doctrine de la justification par la foi seule : cela importe peu combien une personne a péché, elle est toujours sauvée tant qu'elle croit (par la foi seule). Dans le même contexte, il a déclaré
«Soyez un pécheur et péchez hardiment.» L'authenticité de ces citations n'est pas contestée, mais admise ouvertement par les défenseurs protestantes de Luther.
Martin Luther, Lettre à Melanchthon, 1er Août, 1521 : «Sois un pécheur, et que tes péchés soient forts, (péchez hardiment) mais que ta confiance en Christ soit plus forte et réjouis-toi en Christ qui est le vainqueur du péché, de la mort et du monde. Nous commettrons des péchés pendant que nous sommes ici, car cette vie n'est pas un lieu où la justice réside [...]
Aucun péché ne peut nous séparer de Lui, même si nous devions tuer ou commettre l'adultère des milliers de fois chaque jour.» ['Let Your Sins Be Strong, from 'The Wittenberg Project;' 'The Wartburg Segment', translated by Erika Flores, from Dr. Martin Luther's Saemmtliche Schriften, Letter No. 99, 1 Aug. 1521. -- Cf. also [Denifle's Luther et Lutheranisme, Étude Faite d'apres les sources.
Traduction par J. Paquier (Paris, A. Picard, 1912-13), VOl. II, pg. 404))] «Ne demande rien à ta conscience; et si elle parle, ne l'écoutez pas; si elle insiste, étouffe-la, amuse-toi; si nécessaire, commettez un bon grand péché, afin de la chasser. La conscience est la voix de Satan, et il faut toujours faire exactement le contraire de ce que Satan souhaite.»
[Luther, réformateur ou pervertisseur? J. Dollinger, La Réforme et les résultats qu'elle a produits. (Trans. E. Perrot, Paris, Gaume, 1848-49), Vol III, page 248]
«Tuer un paysan n'est pas un meurtre; cela aide à éteindre l'incendie. Qu'il n'y ait pas de demi-mesures! Écrasez-les! Coupez leurs gorges! Transfixez-les. Cherchez partout!
Tuer un paysan, c'est détruire un chien enragé!» - «Si l'on dit que je suis très dur et impitoyable, que la miséricorde soit damnée. Que quiconque en soit capable poignarde, étrangle et tue les paysans comme des chiens enragés»
[Luther, October 31, ARSH 2017 | Barnhardt: Erlangen, Vol 24, Pg. 294]
«Comme les conducteurs d'ânes, qui doivent rosser incessamment les ânes avec des bâtons et des fouets, sinon ils n'obéiront pas, ainsi le souverain doit faire de même avec le peuple; le souverain doit conduire, battre, étrangler, pendre, brûler, décapiter et torturer, afin de se faire craindre et de garder le peuple soumis.»
[Some (38) errors or heresies of Martin Luther - SCATURREX: Erlangen, Vol 15, Pg. 276] «Les paysans ne valent pas mieux que la paille. Ils n'entendront pas le mot et ils sont insensés; par conséquent,
ils doivent être obligés d'entendre le craquement du fouet et le sifflement des balles et c'est seulement ce qu'ils méritent.»
[Luther, October 31, ARSH 2017 | Barnhardt: Erlangen, Vol 24, Pg. 294]
«Si le mari ne veut pas, il y en a un autre qui l'est; si la femme ne veut pas, que la servante vienne.»
[Martin Luther on the sanctity and the dignity of marriage (26)] «La parole et l'œuvre de Dieu sont claires, c'est-à-dire que les femmes sont faites pour être épouses ou prostituées.»
[Martin Luther on the sanctity and the dignity of marriage (29) (on Married life)]
«Quel mal pourrait-il faire si un homme racontait un bon mensonge vigoureux dans une noble cause et pour le bien des Églises chrétiennes?»
[Martin Luther on the quality of Edifying speech (31): Lenz: Briefwechsel, Vol. 1. Pg. 373] «Ce que j'enseigne et écris reste vrai même si le monde entier tombait en morceaux dessus»
[A Brief Synopsis of Martin Luther: Weimar, Vol. 18, Pg. 401] Petit rappel:
William Branham affirme qu'on
«ne reconnait pas toujours» un
«arbre à ses fruits», si des
«branches d'arbres d'origine différente, ont été greffées» . Cette assertion est non-scripturaire. En tentant d'expliquer que des personnages comme Wesley ou Martin Luther, pouvaient être remplis de
l'Esprit, et être en même temps «des citrons greffés», William Branham a erré dans son interprétation des Écritures! Jésus n'a jamais parlé de greffe, de branches portant «de mauvais fruits» sur l'arbre de vie! C'est une pure invention de William Branham!
Matthieu 7:17 «Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits.»
Matthieu 7:18 «Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.»
Matthieu 7:19 «Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu.»
Luc 3:9 «Déjà même la cognée est mise à la racine des arbres: tout arbre donc qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu.»
Matthieu 12:33-37 «Ou dites que l'arbre est bon et que son fruit est bon, ou dites que l'arbre est mauvais et que son fruit est mauvais ; car on connaît l'arbre par le fruit. Races de vipères, comment pourriez-vous dire de bonnes choses, méchants comme vous l'êtes ? Car c'est de l'abondance du cœur que la bouche parle. L'homme bon tire de bonnes choses de son bon trésor, et l'homme méchant tire de mauvaises choses de son
mauvais trésor. Je vous le dis: au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu'ils auront proférée. Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné.»
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16) Source: Comment Luther inspira Hitler
L'antisémitisme féroce de Martin Luther au XVIe siècle a contribué à créer le climat dans lequel les nazis ont tué 6 millions de Juifs, selon le récent livre de René Süss intitulé Le Testament théologique de Luther (1). La haine de Luther contre les juifs n'était pas une petite erreur, mais plutôt un élément clé de son idéologie religieuse réactionnaire. Aujourd'hui, beaucoup de gens le considèrent encore comme l'un des plus grands héros allemands et chrétiens de tous les temps.
Martin Luther Luther est devenu célèbre à cause de sa lutte contre l'Église catholique pendant la Réforme. Il était particulièrement scandalisé par le commerce des "indulgences", qui permettaient aux riches de se débarrasser de leurs péchés et de s'acheter une place au Ciel. Il dénonça également la célébration des saints, le culte des reliques, le célibat des prêtres et la hiérarchie papale. Les principaux livres d'histoire écrits par des chrétiens le présentent encore comme quelqu'un qui a combattu pour l'émancipation et l'autonomie des individus, et contre la corruption de l'Eglise catholique et son exploitation des pauvres. Puisqu'il a traduit la Bible
en allemand et posé les bases du nationalisme allemand, il est encore aujourd'hui loué comme un symbole de l'unité allemande.
Un homme très respectueux de l'ordre La recherche menée par René Süss et d'autres critiques de Luther montre que cette image positive du réformateur religieux est tout à fait inexacte. Luther a repris des éléments importants de l'idéologie extrêmement conservatrice de l'Eglise catholique et les a même amplifiés. Il haïssait violemment ceux qui se trouvaient au bas de l'échelle sociale ou déviaient des normes dominantes: «Aux paysans, la paille et l'avoine. Ils ne veulent pas céder: le bâton et le fusil, point de miséricorde. Si on ne fait siffler
l'arquebuse, ils seront cent fois plus méchants» (Lettre de Luther à Rühl, 1524). Ses écrits forment une vaste collection de diatribes contre les juifs, les femmes, les non-croyants, les paysans (a) et les handicapés (b), mais aussi contre tous ceux qui refusaient de plier devant la tyrannie de la noblesse et de la royauté. Les sujets des princes et des rois n'avaient, selon Luther, aucun droit à résister à l'autorité de l'État, parce que ce pouvoir leur avait «été donné par Dieu». «Mieux vaut que des tyrans commettent cent injustices contre le peuple, plutôt que le peuple en commette une seule contre eux», affirmait Luther.
«Aussi mauvaise soit leur administration, Dieu préférera tolérer son existence, que de permettre à la foule de se révolter, aussi légitimes que soient les motifs de cette révolte. Un monarque doit rester monarque, même s'il s'agit d'un despote. Il sera nécessaire qu'il décapite seulement quelques individus, car ses sujets sont là pour lui permettre de régner (2).» Luther a ainsi troqué une doctrine religieuse autoritaire, le catholicisme romain, contre une autre : le luthéranisme. En raison de ses idées autoritaires, sa version du protestantisme est devenue populaire chez les bourgeois et les fonctionnaires, particulièrement en Allemagne. Les
Néerlandais, eux, préférèrent adopter les doctrines d'un autre réformateur protestant : Jean Calvin.
Dirigés par le théologien Thomas Münzer, un collègue de Luther, les pauvres et les paysans paupérisés se soulevèrent en 1524 contre un gouvernement qui les exploitait sans pitié. Luther se rangea alors sans réserve du côté des gouvernants. Il invita les seigneurs à frapper durement les rebelles (c). «Celui qui en a l'occasion peut égorger, exterminer, soit publiquement, soit en secret, le rebelle qu'il rencontre, et bien se persuader que rien n'est plus pernicieux, plus diabolique qu'une révolte. Il en est de lui comme d'un chien enragé ; si tu ne l'abats pas, il te tuera et tous ceux de ton pays avec toi. (...) C'est pourquoi, chers
seigneurs, déchaînez-nous, sauvez-nous, aidez-nous, exterminez, égorgez, et que celui qui en a le pouvoir agisse.» (Manifeste de Luther, 1524) (3). Luther voulait aussi que l'on persécute et tue les "sorcières" et les handicapés car, selon lui, ces gens-là étaient "possédés par le diable". Quant aux femmes, à ses yeux, elles n'étaient que des machines à procréer et mettre bas, dont la seule fonction était de produire des enfants au nom de Dieu et de mourir en donnant naissance à leur bébé, si nécessaire.
Un pamphlétaire antijuif Les tirades les plus folles de Luther sont, cependant, réservées aux juifs. Même à l'époque, alors que l'antisémitisme religieux était considéré comme «normal» et que l'on traitait les juifs comme des sous-hommes, de nombreuses personnes remarquèrent sa haine complètement délirante contre les juifs. Luther «est un maître dans l'art de la déformation, de la calomnie, de la diffamation et de l'exagération», écrivit Erasme; un philosophe contemporain de Luther qui était également antisémite (1). Dans Les juifs et leurs
mensonges, un des pamphlets antisémites les plus répugnants de toute l'histoire de l'humanité, Luther ne fait qu'insulter les juifs: «assassins de prophètes», «diables incarnés», «séducteurs du peuple», «nid de vipères», «usuriers», «étrangleurs», «ventres mous», «racaille puante» et «levain moisi». «Que quiconque qui entend un juif prononcer le nom de Dieu, qu'il le dénonce aux
magistrats, ou qu'il lui lance des boulettes d'excréments de porc et le chasse comme un chien» (dans Les juifs et leurs mensonges).
Dans le même texte, il écrit que les Juifs sont «un peuple malveillant, têtu (). Ce sont des vaniteux et des bouffons prétentieux. (…) Ils se louent eux-mêmes, méprisant et maudissant tout le monde dans leurs synagogues, leurs prières et leurs enseignements (…). Ce sont de vrais menteurs et des chiens assoiffés de sang qui ont foulé et falsifié sans cesse toute la Sainte Ecriture avec leurs gloses inventées.»
Le livre de René Süss Selon Luther, les juifs sont «aveugles», «maudits», «vindicatifs», «avides», «blasphémateurs», «jaloux», «possédés» et «incorrigibles». Leur synagogues sont des «nids d'esprits immondes». Ils «nous» dominent, empoisonnent «nos» puits, «enlèvent» nos enfants, les saignent pour récupérer leur sang et fabriquer du pain azyme (matza). Ils sont le «malheur» de «notre» terre (4). Luther a recours à tous les mythes et stéréotypes antisémites imaginables, excepté naturellement l'antisémitisme racial, qui fut développé seulement
au XIXe siècle.
Luther fut l'un des premiers à déclarer qu'il fallait se débarrasser des juifs en les tuant tous. Avec lui naît l'idéologie de la «solution finale» de la «question juive», l'objectif ignoble d'un monde sans juifs. Pendant des siècles, les dirigeants et les idéologues chrétiens avaient affirmé que la religion juive était devenue superflue et devait donc disparaître. En effet, avec la naissance du Christ, censé être le Fils de Dieu, la promesse de la venue du Messie s'était, selon les chrétiens, accomplie. Et puisque les juifs n'avaient pas accepté le Messie et qu'ils étaient même
censés l'avoir crucifié, ils étaient rejetés et condamnés par Dieu. Celui-ci avait puni les juifs en les exilant pour toujours. Il ne considérerait plus les juifs comme son peuple élu, et les avait remplacés par les chrétiens.
«Par conséquent, dans tous les cas, débarrassons-nous-en!!», telle était l'essence des propositions de Luther aux autorités de son époque. En effet, selon lui, «nous commettons une faute en ne les tuant pas». Luther incita les gouvernants à commencer à persécuter sérieusement les juifs. «Pendant ce temps, nos princes et nos dirigeants sont assis là et ronflent la bouche ouverte; ils permettent aux juifs de prendre, voler, et puiser dans leurs sacs d'argent et leurs trésors tout ce qu'ils veulent. C'est-à-dire qu'ils laissent
les juifs, au travers de l'usure, les dépecer et les tondre, eux et leurs sujets et les incitent à mendier l'argent qu'ils possèdent pourtant eux-mêmes. Les juifs, qui sont des exilés, devraient ne rien posséder; tout ce qu'ils possèdent devrait être notre propriété. Ils ne travaillent pas et ne gagnent rien pour nous, nous ne leur donnons ni ne leur offrons rien, et pourtant ils se sont approprié notre argent et nos marchandises et ils sont nos maîtres dans notre propre pays et dans leur exil. Lorsqu'un voleur dérobe dix florins, il est condamné à la pendaison; s'il détrousse quelqu'un sur une route, il doit renoncer à sa tête. Mais quand un juif vole et dérobe dix tonnes d'or
par le biais de son usure, il bénéficie de plus d'estime que Dieu lui-même», se plaint Luther. Parfois ses diatribes antisémites sur les questions économiques et sociales semblent même dépasser son antisémitisme religieux traditionnel. «Ils nous laissent travailler à la sueur de notre front pour gagner de l'argent et acquérir des biens tout en se reposant à côté de leur poêle, en fainéantant, et en rôtissant des poires. Ils se gavent, se baffrent, et vivent dans le luxe et la facilité grâce aux marchandises que nous avons durement gagnées. Grâce à leur maudite usure, ils nous tiennent prisonniers, nous et nos biens. De plus, ils nous raillent
et se moquent de nous parce que nous travaillons et que nous les laissons jouer le rôle de châtelains paresseux à nos frais et dans notre propre pays.» (in Les juifs et leurs mensonges) Le fait de décrire les gouvernants comme des opprimés permit à Luther de les accuser de se laisser dominer par les juifs. En réalité, à l'époque, les juifs étaient réprimés, bannis et chassés de beaucoup de pays.
Le «deuxième personnage le plus important de l'histoire nationale» - selon la télévision allemande
«Même si Luther n'est pas coupable des crimes nazis, il n'est pas pour autant innocent de sa coresponsabilité dans l'essor et l'histoire criminelle de cette forme d'antisémitisme. On doit au moins indiquer que Luther a grandement contribué à ce que l'on passe de l'expulsion à la liquidation des juifs", écrit René Süss. Ce que Hitler a fait, Luther l'avait conseillé, excepté les chambres à gaz. Luther est un pionnier de la Shoah. C'est la conclusion inévitable qu'il faut tirer des écrits de Luther. Dans Les juifs et leurs mensonges Luther développe le plan d'un pogrom en sept points (d) qui furent strictement suivis par les nazis, à partir de la Nuit
de cristal, le 9 novembre, 1938: «mettre le feu à leurs synagogues et leurs écoles. Ce qui ne veut pas brûler doit être recouvert et enfoui, de manière à ce que personne ne puisse plus en voir une pierre et une ruine». Il faut aussi «détruire et raser leurs maisons (…), arracher tous leurs livres de prière et tous les textes talmudiques, dans lesquels sont enseignés des idolâtries, des mensonges, des malédictions et des blasphèmes, leur retirer tout sauf-conduit pour se promener dans les rues, les contraindre à des travaux humiliants, enfin les expulser du pays, une fois que l'on s'est assuré qu'ils ne peuvent pas être
utiles au gouvernement avec leur argent». Il faut également tuer les rabbins qui continueront à enseigner leur religion, interdire «l'usure» aux juifs, leur prendre leur argent et leurs bijoux, et imposer le travail obligatoire aux juifs jeunes et costauds. Et si les gouvernants ne veulent pas prendre toutes ces mesures, ils doivent au moins expulser les juifs vers Jérusalem. Il est donc clair que Luther a incité les dirigeants de son époque à persécuter davantage les juifs.
Les nazis n'eurent pas besoin d'amplifier la démonisation des juifs, il leur a suffi de reprendre avec reconnaissance les arguments du réformateur protestant. En 1923, Hitler fit l'éloge de Luther, et l'appela le plus grand génie allemand, car il «a vu le Juif comme nous, aujourd'hui, nous commençons à le voir (1). Quelques jours après la Nuit de Cristal, l'évêque de Thüringen écrivit que Luther, qui était né le 10 novembre 1483, n'aurait pu souhaiter un plus beau cadeau d'anniversaire. Pendant la Seconde Guerre mondiale, de nombreux chefs religieux se référèrent à Luther pour justifier la politique d'extermination
des Juifs. Et durant les procès de Nuremberg après la guerre, Jules Streicher, rédacteur en chef du magazine antisémite Der Stürmer, se défendit en déclarant que même un «génie» comme Luther détestait les juifs, et que tout le monde appréciait Luther, ses amis comme ses ennemis. «Il serait aujourd'hui dans le box des accusés à ma place, si les procureurs ici présents l'avaient poursuivi pour avoir écrit Les juifs et leurs mensonges», affirma Streicher.
Luther est encore populaire de nos jours. En 2003, le réformateur protestant obtint la seconde place lors d'une émission sur les personnages les plus importants de l'histoire de l'Allemagne. Et le film Luther le présente comme un «héros allemand qui a mis fin au Moyen Age». Même le SPD (parti social-démocrate) et les Verts font l'éloge de Luther comme un libérateur et un symbole de l'Etat-nation allemand (5). La Fédération luthérienne mondiale (f) a pris ses distances avec l'anti-sémitisme de Luther depuis les années 80, mais elle refuse de reconnaître la coresponsabilité de Luther dans la persécution des juifs par les nazis. «Luther n'a pas voulu une Nuit
de Cristal», a déclaré en substance le professeur luthérien néerlandais Boendermaker en réaction à l'étude de René Süss. Mais c'est pourtant un pogrom contre les juifs que proposait le réformateur protestant. La PKN, une Eglise protestante récemment créée aux Pays-Bas, regroupe 2,3 millions de membres, parmi lesquels les luthériens. Elle devra discuter de l'antisémitisme luthérien de façon détaillée. Puisqu'elle appartient à la Fédération luthérienne mondiale, la PKN veut aussi soutenir «la tradition luthérienne» au sein du protestantisme néerlandais. La question est de savoir si cette nouvelle Eglise prendra ses distances avec la «tradition luthérienne» antisémite.
1. Luthers theologisch testament, René Süss, 2006. 2. Article "Maarten Luther" sur le Wikipedia néerlandais. 3. "Luther Against the Peasants", Steven Kreis, sur le site
The History Guide. 4. "On the Jews and their Lies", Martin Luther. Sur le site Humanitas International. 5. "Martin Luther, ein Vorbild?",
Michael Kraus. Sur le site Projektwerkstatt.
Lire également: Martin Luther inspira-t-il Adolf Hitler? Martin Luther comme inspirateur du génocide Nazi Luther était-il antisémite? Vidéo Youtube: Martin Luther et les bases du Nazisme «L'antisémitisme féroce de Martin Luther au XVIe siècle a contribué à créer le climat dans lequel les nazis ont tué 6 millions de Juifs, selon le récent livre de René Süss intitulé Le Testament théologique de Luther. La haine de Luther contre les juifs n'était pas une petite erreur, mais plutôt un élément clé de son idéologie religieuse réactionnaire. Aujourd'hui, beaucoup de gens le considèrent encore comme l'un des plus grands héros allemands et chrétiens de tous les temps.»
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17)
De toute évidence, William Branham n'a pas réussi à approfondir les paroles et les actes de Luther. Non seulement l'enseignement des
«sept âges de l'Église» est faux, mais William Branham n'aurait jamais pu trouver pire candidat historique pour en faire un «ange/messager», un
«vainqueur» se tenant la Présence de Dieu. William Branham a emprunté le travail de Clarence Larkin (1918) et a essayé de faire correspondre certains noms de personnages historiques aux enseignements de Larkin. Ces enseignements sont si faux! Comment un tel mensonge pourrait-il être enseigné? Jamais un personnage comme Martin Luther mérite vraiment d'être qualifié
«d'ange/messager» devant Dieu et «dans la main de Dieu»
Ce personnage a clamé des abominations, des blasphèmes et a légué à l'Allemagne un héritage basé sur la haine des Juifs.
Les propres mots de Martin Luther ... il ne s'est jamais repenti.
Jésus nous a demandé de regarder: «ce qui sort de la bouche d'un homme»
«Ce qui entre dans la bouche de quelqu'un ne les souille pas, mais ce qui sort de leur bouche, c'est ce qui les souille».
Matthieu 15:11
Maintenant ce que l'apôtre Jean a dit
au sujet de ceux qui étaient réellement nés de nouveau? (Dieu ne
change jamais Son Esprit, ni Ses règles)
1 Jean 3: 9 «
Toute personne ayant été né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que sa
semence de Dieu demeure en lui, et il ne peut pas continuer à pécher, parce
qu'il est né de Dieu. »Note:
d' autres traductions de la Bible disent: «
Personne qui est né de Dieu continuera à pécher ", quiconque né de Dieu
refuse de pratiquer le péché, il ne peut pas continuer à pécher"
En 1543, trois ans avant sa mort, Martin Luther publie «Des Juifs et de leurs mensonges», pamphlet d'une extrême violence où il prône des solutions telles que brûler les synagogues, abattre les maisons des Juifs, détruire leurs écrits, confisquer leur argent et tuer les rabbins qui enseigneraient le judaïsme.
Condamné par quasiment tous les courants luthériens, ces écrits et son influence sur l'antisémitisme ont contribué à son image controversée.
Mon commentaire: Qui veut défendre Martin Luther? Qui osera prouver qu'il était rempli de
l'Esprit de Dieu?
Dans son traité, Luther écrit que les Juifs sont un «peuple de débauche», et il les associe à des démons, et que leurs prétentions à propos de leur descendance, la circoncision et leurs lois, doivent être considérées comme une cochonnerie.
«Ils sont remplis d'excréments du diable… dans lesquels ils se vautrent comme des pourceaux.»
Quant à la synagogue, c'est une « putain incorrigible et une souillure du diable... ».
« On ne doit montrer à leur égard aucune pitié ni aucune bonté, ne leur procurer aucune protection légale, et ces « vers venimeux et vénéneux » doivent être punis de travaux forcés ou expulsés une fois pour toutes.»
Luther écrit
: «Nous sommes fautifs de ne pas les tuer».
Luther recommande un plan en huit points pour se débarrasser des Juifs, soit par leur «conversion», soit par leur expulsion. Lorsque les Nazis prirent le pouvoir en 1933, ils appliquèrent presque à la lettre toutes les paroles de Luther. Durant le règne d'Hitler, tous les orateurs Nazis n'avaient en bouche que les paroles de Luther! «Mon conseil, comme je l'ai dit plus tôt, est: Premièrement, que leurs synagogues soient brûlées, et que tous ceux qui sont capables de se débarrasser du soufre et de la poix; ce serait bien si quelqu'un pouvait aussi jeter un peu
de feu »
«Deuxièmement, que tous leurs livres - leurs livres de prières, leurs écrits talmudiques, aussi toute la Bible - leur soient enlevés, ne leur laissant pas une seule feuille, et qu'ils soient conservés pour ceux qui peuvent être convertis ...»
«Troisièmement, qu'il leur soit interdit, sous peine de mort, de louer Dieu, de rendre grâce, de prier et d'enseigner publiquement parmi nous et dans notre pays ...»
«Quatrièmement, qu'il leur soit interdit de prononcer le nom de Dieu dans notre entendement car nous ne pouvons pas l'écouter ou le tolérer avec bonne conscience ... Celui qui entend ce nom d'un Juif doit informer les autorités, ou bien jeter sème le fumier
sur lui quand il le voit et le chasse »
«Brûlez leurs synagogues. Interdisez-leur tout ce que j'ai mentionné ci-dessus. Forcez-les à travailler et à les traiter avec toute sorte de sévérité, comme Moïse dans le désert en a tué trois mille ... Si cela ne sert à rien, nous devons les chasser comme des chiens enragés, afin que nous ne participions pas à leur abominable blasphème et de tous leurs vices, et pour que nous ne méritions pas la colère de Dieu et soyons damnés avec eux. J'ai fait mon devoir. Laissez tout le monde voir comment il fait le sien. Je suis excusé. » (Référez-vous à propos des Juifs et de leurs mensonges, cité par O'Hare, dans" The Facts About Luther, TAN Books, 1987, p.290).
«Si je devais baptiser un Juif, je l'emmènerais sur le pont de l'Elbe, lui suspendrais une pierre autour du cou et je le repousserais avec les mots que je te baptise au nom d'Abraham» (réf. Grisar, "Luther" , Volume V, page 413).
«Les juifs méritent d'être pendus à la potence sept fois plus haut que les voleurs ordinaires»
(réf Weimar, volume 53, page 502).
« Tout d'abord, mettre le feu à leurs synagogues ou écoles et enterrer ou couvrir de saleté tout ce qui ne brûlera pas, de façon que personne ne puisse jamais revoir une de leurs pierres ou leur cendre… »
« En second, je conseille que leurs maisons soient rasées et détruites. »
« En trois, je conseille que tous leurs livres de prières et écrits talmudiques, qui servent à apprendre une telle idolâtrie, leurs mensonges, leurs malédictions et leurs blasphèmes, leur soient retirés… »
« En quatre, je conseille que leurs rabbins aient l'interdiction d'enseigner sous peine de perdre la vie... »
« En cinq, je conseille que les sauf-conduits sur les grands chemins soient abolis complètement pour les Juifs... » « En six, je conseille que l'usure leur soit interdite, et que toutes les liquidités et trésors d'or et d'argent leur soient confisqués…de tel argent ne doit pas être utilisé…de la [manière] suivante… Si un Juif se convertit sincèrement, on doit lui remettre [une certaine somme]... »
« En sept, je recommande que l'on mette un fléau, une hache, une houe, une pelle, une quenouille ou un fuseau entre les mains des jeunes et forts Juifs ou Juives et qu'on les laisse gagner leur pain à la sueur de leur front. Car ce n'est pas juste qu'ils doivent nous laisser trimer à la sueur de nos faces, nous les damnés Goyim, tandis qu'eux, le peuple élu, passent leur temps à fainéanter devant leur poêle, faisant bombance et pétant, et en plus de tout cela, faisant des fanfaronnades blasphématoires de leur seigneurie contre les chrétiens, à l'aide de notre sueur. Non, nous devons expulser ces fripons paresseux par le fond de leur pantalon. » « Si nous voulons laver nos mains du blasphème des Juifs et ne pas partager leur culpabilité, nous devons nous séparer d'eux. Ils doivent être conduits hors de notre pays » et « nous devons les conduire comme des chiens enragés. »
Plusieurs mois après la publication de Des Juifs et de leurs
mensonges, Luther écrit un ouvrage en Allemand «Vom Schem Hamphoras und das Geschlecht
Christi» (Du nom de Hamphoras et de la lignée du Christ), dans lequel
il assimile les Juifs avec le Diable : «Ici à Wittenburg, dans notre église paroissiale, il y a une
truie sculptée dans la pierre, sous laquelle sont étendus des jeunes
cochons et des Juifs qui sont en train de téter, et derrière la
truie se tient un rabbin qui soulève la patte droite de la truie, se
dresse derrière la truie, se penche et regarde avec grand effort le
Talmud sous la truie, comme s'il voulait lire et voir quelque chose
de très difficile et d'exceptionnel ; il n'y a aucun doute, ils ont
reçu leur Chem Hamphoras de cet endroit. » « Quand Judas s'est pendu et que ses intestins ont jailli et,
comme cela se produit dans de telles circonstances, que sa vessie
aussi éclata, les Juifs étaient prêts à recueillir l'eau et les
autres choses précieuses, et puis ils s'en sont gavé et en ont bu
avidement entre eux, et ils étaient alors dotés d'une telle finesse
de vue qu'ils ont pu percevoir des commentaires dans les Saintes
Écritures que ni Matthieu ni Isaïe eux-mêmes… n'auraient été
capables de détecter, ou peut-être regardaient-ils dans le cul de
leur Dieu Shed, et ont trouvé ces choses écrites dans ce trou
fumant.» « Le Diable s'est calmé et a de nouveau rempli sa panse ; ceci
est une véritable bénédiction pour les Juifs et ceux qui désirent
être Juifs, à embrasser, à s'engraisser, à déglutir et à adorer ; et
puis le Diable à son tour dévore et boit goulûment ce que ces bons
élèves dégorgent et éjectent par le haut et par le bas.» « Le diable avec son groin angélique, dévore ce qui est secrété
des ouvertures orales et anales des Juifs ; ceci est en effet son
plat favori, dont il se gave comme une truie derrière la haie.» Note: Selon les paroles de Martin Luther, plusieurs historiens reconnaissent que Luther est responsable d'avoir inspiré Adolf Hitler et l'Allemagne nazie et d'avoir donné un chèque en blanc aux Nazis qui ont tué 6,000,000 de Juifs
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18)Voici quelques citations, extraites des prédications de William Branham. À elles-seules, ces affirmations sont la preuve indéniable que William Branham n'a jamais sondé la vie et les actes de Martin Luther! Par ses affirmations sans fondement, William Branham détruit lui-même la doctrine des Sept Âges de l'Église. Cette doctrine est finie, elle ne s'en sortira jamais! .... Cette «réunion» est définitivement terminée!
Sept âges_chapitre, Âge de Sardes, 7 page 238 «Or, Martin Luther était lui-même un Chrétien sensible, rempli de l’Esprit. Il était véritablement un homme de la Parole, non seulement parce qu’il l’étudiait avec une passion profonde, mais encore parce qu’il mit tout son cœur à la rendre accessible à tous, pour que tous puissent vivre par elle.» «Ces sept messagers font connaître Dieu au peuple ... Ils parlent et agissent sur Son autorité, il se tient derrière eux
avec toute la puissance de la Divinité (...) Les voici donc, remplis du Saint-Esprit et de foi, enflammés du feu de Dieu, ils brandissent la Parole de vérité, et Lui se tient là pour les appuyer.» William Branham - 65-0002 - l'Âge de l'Église d'Éphèse -
«(218) Le Saint-Esprit était en Luther» Prédication: Essayer de rendre un service à Dieu sans que ce soit la volonté de Dieu - 65-1127B
«Le même Saint-Esprit qui a rempli Paul du Saint-Esprit et les choses qu'il a faites, remplira celui-ci, Irénée, du Saint-Esprit, Il remplira Martin du Saint-Esprit, Il remplira tous les autres du Saint-Esprit» - William Branham Prédication L'Âge de l'Église de Sardes [60-1209]
« (109) Les sept étoiles dans Sa main, qui étaient Sept Esprits qui sont sortis devant Dieu. Chacune avait un messager. (...) Et nous avons vu qu’il était un saint rempli du Saint-Esprit, saint Irénée et tous les autres, et—et saint Colomba,
et tous ces hommes remplis de l’Esprit.»
- William Branham. Prédication La soixante-dixième semaine de Daniel (109) [61-0806] « (125) Souvenez-vous, je crois que Martin Luther avait le Saint-Esprit. Absolument.» - William Branham Prédication: Pourquoi je suis contre la religion organisée [62-1111E] «(11) Voyez, c’est la même chose. Martin Luther a eu un véritable réveil. Du vivant de Martin Luther, il a gardé la chose en ligne. Savez-vous que Martin Luther avait parlé en langues? Oui, oui, assurément. Il avait accompli de grands signes et de grands prodiges.
» Prédication Du Baume en Galaad -61-0218
Note: William Branham a volontairement tenté de réhabiliter Martin Luther en minimisant le rôle de Luther et l'impact des écrits et paroles de Luther. En mentionnant que Luther aurait juste dit de «chasser» les juifs, et non de «les tuer» , il n'a pas été franc avec la réalité de ce personnage et il n'a pas été conséquent avec les Écritures : Matthieu 12:33-37 .
« (33) Ou dites que l'arbre est bon et que son fruit est bon, ou dites que l'arbre est mauvais et que son fruit est mauvais ; car on connaît l'arbre par le fruit. (34) Races de vipères, comment pourriez-vous dire de bonnes choses, méchants comme vous l'êtes ? Car c'est de l'abondance du cœur que la bouche parle. (35) L'homme bon tire de bonnes choses de son bon trésor, et l'homme méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor. (36) Je vous le dis: au jour du jugement, les hommes rendront
compte de toute parole vaine qu'ils auront proférée. (37) Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu seras condamné.»
Comment voulez-vous qu'un personnage comme Martin Luther, soit «rempli de l'Esprit» et soit digne de se tenir devant Dieu? Jamais Dieu ne peut justifier un homme, quel qu'il soit, le
«garder constamment sous le sang de la Nouvelle-Alliance» et lui permettre de dire des abominations comme l'a fait Martin Luther! Est-ce qu'un arbre comme Luther qui portait de mauvais fruits était un
bon arbre? Affirmer que Martin Luther était un homme de Dieu est une aberration et une pure invention! William Branham en a fait un
«ange/étoile/messager» se tenant devant Dieu, un saint homme! Savait-il au moins, que ceux qui sont nés de Dieu, ne^pèchent pas, et que l'Esprit les garde! Sachez que pour être reconnu et choisi lors de
«l'appel des vainqueurs», en tant qu'«ange/étoile/messager» de Dieu, le vainqueur doit TOUJOURS être en mesure de se tenir dans la
présence de Dieu, quand il le veut, jour et nuit, complètement conscient de qui il est. En anglais j'aime bien l'expression «constant self-awareness in Jesus-Christ» ou si vous voulez: «la conscience perpétuelle de soi dans l'Alliance de Dieu en Jésus-Christ». C'est un «état d'esprit» qui s'acquiert par la foi
et la révélation divine, dans lequel le «soi-même crucifié en Jésus» devient le centre d'attention de notre vie. La
«conscience de soi en Jésus-Christ» génère toujours une guerre spirituelle, (en vous-même) et ceux qui persévèrent
«se gardent eux-mêmes» dans l'Esprit, et l'esprit humain «adversaire» finit par être vaincu et ne le
«et ne le touche pas». La particularité de
«l'Esprit de l'Alliance en
Jésus-Christ» est que vous avez vaincu toute culpabilité et condamnation dans votre
intérieur, une fois pour toutes, et que toute forme de pratique religieuse, ou comportements basés sur des règles morales «pseudo-chrétiennes», visant à vous faire croire que cela va plaire à Dieu ou va
«vous sanctifier» d'avantage, devient quelque chose que vous détestez. Autrement dit, quelqu'un réellement né de nouveau
«hait
toute forme de légalisme», ou
«règles de comportement chrétien» enseignées pour
«plaire à Dieu».
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19)
Ce texte n'est qu'un survol sur l'origine de la société de «les enregistrements de la Voix de Dieu»
Remontons le temps et observons la façon dont les enregistrements des «prédications de William Branham» chez Voice of God Recordings ont été financés. (VoGR) est une organisation américaine à but non lucratif basée à Jeffersonville, Indiana.
Les directeurs de VoGR à partir de 2014 sont Joseph Branham (président), Billy Paul Branham (trésorier) et Paul Brewer. Joseph Branham a fait le tour du monde en disant que 100% des mots de son père sont corrects. Comme preuve de cela, leurs publications pour les jeunes comprennent un «Saviez-vous?», section qui cible et endoctrine les jeunes avec des déclarations choc de William Branham. Au 30 juin 2012, l'actif total de VoGR s'élevait à près de 110 millions de dollars américains. La majorité de ces actifs ont ensuite été transférés à la Fondation Jehovah-Jireh, Inc. Joseph Branham est également le président de cette organisation à but non lucratif.
Source: http://seekyethetruth.com/img/document/vogr990.pdf Fait intéressant, alors que les actifs de Voice of God Recordings Inc. augmentent de plusieurs millions de dollars, la Fondation Jéhovah Jireh augmente également de plusieurs millions de dollars. Pour l'année civile 2014, Jéhovah Jireh a déclaré un revenu de 4,6 millions de dollars. Alors que Jéhovah Jireh a «fait don» de 5,5 millions de dollars à VoGR, cette «filiale» a également augmenté de 2,2 millions de dollars.
Lorsque vous combinez l'actif total de Voice of God Recordings et de la Fondation Jéhovah Jireh, il s'élève à 112,3 millions de dollars (112,365,382 $). Ce nombre ne reflète que les deux sociétés de Jeffersonville et n'inclut pas les actifs dans les autres sociétés liées. Puisque la Fondation Jéhovah Jireh a été créée dans le seul but de financer les enregistrements Voice of God (et dans le but de transférer 100 millions de dollars en dehors des rapports de VOGR), plusieurs sont d'avis que les chiffres doivent être additionnés pour tous les enregistrements de Voice of God Recordings. La valeur nette estimée de William Branham en 1965 D'abord, en 1962, William Branham se plaignait de ne pas avoir assez d'argent pour couvrir les frais de ses réunions.
Sarah Branham a publié que son père, William Branham, avait le contrôle des fonds de 3,113,676 $ au moment de son décès, en plus des actions.
On a calculé qu'en 2013, la somme de 3,100,000 USD de 1965, équivaudrait à presque $23,000,000 (23 millions) USD en dollars équivalents de 2013. Cette fortune placerait William Branham parmi les 150,000 personnes les plus riches du monde aujourd'hui, ou bien parmi les premiers 0,005% des personnes les plus riches du monde.
L'organisation Voice of God Recordings, qui est contrôlée par les fils de William Branham est dédiée à diffuser «le message de William Branham», a déclaré des actifs de $109,834,481 dans sa déclaration de revenus américaine, au 30 juin 2011. En d'autre mots, il n'y a pas de doute, les prédications de William Branham sont devenues un très «grosse affaire» qui brasse beaucoup d'argent. Donc, il semble bien que Voice of Recordings Inc. offre la «Lumière" aux gens du «Message du Temps de la Fin», et évidemment, personne n'oserait remettre en question la publication de «l'Exposition des Sept Âges de l'Église» par William Marrion Branham, sans risquer d'être étiqueté
par les gens du «Message» comme étant «un incroyant» ou un «hérétique» devant Dieu coupable de «blasphème» contre le Saint-Esprit. Vous vous doutez probablement que l'un des «meilleurs vendeurs» de Voice of Recordings Inc. est justement «l'Exposition des sept âges de l'Église par William Marrion Branham» .
Mais j'ai l'entière liberté de tout remettre en question. William Branham n'avait pas le don d'infaillibilité.
Et sachez-le bien, par la force du Seigneur, je n'aurai de repos que lorsque ce «faux Message des temps de la fin» sera complètement détruit. «Ces Juifs (Béréens) avaient des sentiments plus nobles que ceux de Thessalonique ; ils reçurent la parole avec beaucoup d'empressement, et ils examinaient chaque jour les Écritures, pour voir si ce qu'on leur disait était exact.» Actes 17:11 Question: Si l'enseignement des sept Âges de l'Église n'existait pas, quel serait le bénéfice spirituel d'apprendre sur Irénée de Lyon, Martin de Tours, Colomba d'Iona, Martin Luther ou John Wesley? Bien sur, plusieurs croient que c'est
édifiant de connaître l'histoire du christianisme! Mais ce qui est embêtant avec l'enseignement de William Branham, c'est qu'il tente de nous faire croire que la foi, autrement dit
«la Lumière» de Dieu, a été complètement obscurcie après l'âge apostolique et que Dieu a progressivement restauré
«Sa lumière» en utilisant 7 hommes différents ou
«messagers» aussi appelés
«anges», qui ont
«contribué» par leur témoignage, à restituer à l'Église ce qui avait été perdu. Tout cela peut sembler logique à partir d'un certain point de vue. En principe, il faut observer que si l'on prend un pseudo messager, comme Martin Luther, qui occupe la cinquième place dans l'évolution de la restauration progressive, sa vie et ses actes, et les écrits qu'il a laissés derrière
lui et qui peuvent encore être consultés
aujourd'hui, devraient à tout le moins s'avérer
«supérieurs» à ceux du messager qui l'a précédé, et ainsi de suite.
Par conséquent, la vie de Martin Luther devrait être un témoignage de justice et d'intégrité supérieur à celui de l'époque précédente, celui de Colomba d'Iona. Mais quand on comprend qui était vraiment Martin Luther, on voit bien que cette
«interprétation humaine» des sept messagers de l'Église ne tient pas. Martin Luther était-il vraiment rempli
«du Saint-Esprit» comme l'a déclaré William Branham? Certainement pas. Parce que si Martin Luther était vraiment rempli du Saint-Esprit, alors vous avez un sérieux problème, ou bien vous ne comprenez pas ce que le terme
«remplir» veut dire.
Cependant, force est de constater que la plupart des croyants et des ministres du
«Message» n'ont pas étudié la vie de leurs «messagers» en dehors des sermons de William Branham. Prenons le pseudo-âge de l'Église de Sardes .. L'esprit de Luther était d'une obscurité spirituelle complète. William Branham l'a élevé au rang d'un «ange»! Martin Luther a partagé toutes ses pensées, et il a écrit beaucoup de livres pour en témoigner. Tous ses disciples ont également partagé ses pensées et les pensées de Martin Luther et son cœur étaient
"UN". Ses pensées étaient diaboliques! Laissez-moi vous rappeler ce que William Branham a affirmé:
65-0002 L'âge de l'Église d'Éphèse Citation E-35 «Il est avec les sept étoiles dans sa main droite, la main droite ou le bras signifie le pouvoir et l'autorité de Dieu.» Psaumes 44: 3, ... «Dans cette main droite du pouvoir sont sept étoiles, qui , selon Apocalypse 1:20, sont les sept messagers de l'Église. Cela signifie que la puissance et l'autorité mêmes de Dieu sont derrière ses messagers pour chaque âge. Ils sortent dans le feu et la puissance du Saint-Esprit avec la Parole. Ce sont des étoiles parce qu'elles reflètent la Lumière. La lumière qu'ils reflètent est Sa Lumière. .. »
E-36
«Ces sept messagers font connaître Dieu au peuple. ... Ils parlent et agissent sur Son autorité. Il se tient derrière eux avec toute la puissance de Dieu. ... Ils sont donc là, pleins du Saint-Esprit et de la foi, en feu avec le feu de Dieu, soutenant la Parole de vérité, et là, il est là pour les soutenir.» Qui osera défendre Martin Luther?
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20)
William Branham a tenté de nous montrer qu'un homme comme Martin Luther était un exemple et un modèle de son époque. Selon William Branham, ce
«réformateur» comme il l'appelle, aurait agit sous «l'inspiration» de l'esprit de Dieu, mais «sa justification» n'avait absolument rien en commun avec celle de Dieu. On n'est pas «régénéré ou né de nouveau parce qu'on croit avoir compris un passage de l'Évangile. Martin Luther a certainement quitté l'autorité papale, mais a gardé avec lui le dogme Trinitaire de Nicée, le culte à Marie et pas mal d'autres reliques de l'Église de Rome. Pourtant, s'il est un passage que William Branham n'a cessé de répéter, c'était bien celui
d'Hébreux 13:8 William Branham utilisait ce passage pour nous faire comprendre que Dieu
ne change pas d'idée comme un hommeA après qu'Il a parlé, et qu'Il ne change pas sa façon de faireB ni ne
fait d'exception à ses propres règlesC pour qu'un croyant
«se tienne dans sa présence». En d'autres mots, Dieu
«n'évolue pas» dans sa pensée, et Sa Lumière n'a jamais eu besoin de
«restauration»! Si seulement William Branham avait été
conséquent dans ce qu'il prêchait! Ainsi, je suis entièrement d'accord avec ce qu'il avait dit
avec son «Thus said the Lord» dans une prédication du 8 janvier 1961, lorsqu'il déclara « Le trinitarisme est du diable!» Et puisque Dieu ne change jamais d'idée, hier, aujourd'hui et éternellement, je vois mal comment William Branham a pu croire que des
personnages trinitaires comme Irénée de Lyon, Martin de Tours, Colomba d'Iona, Martin Luther et John Wesley pouvaient
«être nés de nouveau» et «voir le royaume de Dieu» comme Jésus l'avait affirmé. La doctrine qui enseigne «la révélation progressive» tente de nous faire croire que Dieu peut
«varier Sa Lumière» comme nous le faisons avec un gradateur... et que Dieu a
«restauré» graduellement Sa Lumière au cours des siècles, ce qui permet à des personnages enseignant des hérésies de se
«qualifier» en tant «qu'anges/messagers» parce qu'ils
«ont marché» dans «le peu de lumière» qu'ils avaient! Quelle aberration! Dieu n'a qu'une seule Lumière, et Sa Lumière ne change jamais. Ce qui est
«du diable» aujourd'hui, l'était hier et le sera toujours!
Ce qui est faux aujourd'hui, l'était tout autant hier et le sera éternellement. Dieu a caché son identité dans son Alliance dans la perfection divine conférée par le sacrifice expiatoire de Jésus, et pour les trinitaires, la divinité est un mystère inexplicable car ils ne peuvent pas concevoir que l'homme peut être restauré à égalité avec Jésus. Aucun adorateur trinitaire «ne peut comprendre (voir)» le «Royaume de Dieu» et par
conséquent aucun trinitaire n'est réellement
«né de nouveau dans le sens biblique». Ils ne comprennent pas qui est leur Père céleste, ni qui est Jésus et l'Esprit qui habitait en Jésus. Ceux qui sont réellement nés de nouveau savent parfaitement qui est leur Dieu et qui est le Dieu de leur Seigneur. Ceux qui sont nés de nouveau savent qu'ils ont été restaurés spirituellement à l'égalité spirituelle de Jésus, une fois pour toutes. Ils sont perpétuellement conscients qu'ils sont
«saints» de la même sainteté que celle de Jésus, à cause de l'excellence de son sacrifice et de son sang versé à la croix. Ils savent qu'ils sont faits
«égaux» avec Jésus, lequel devient l'équivalent de
«leur frère ainé» devant leur Père céleste.
Malgré que William Branham a bien tenté de nous faire croire que Martin Luther était «un saint homme justifié par la foi» et rempli de l'Esprit, sachez que la vie ce personnage nous enseigne qu'il n'était qu'un
«catholique délinquant», n'ayant que de
«justification» que sa propre liberté d'être inspiré par le diable.
«La Trinité est
un mystère irrationnel» devant toutes les contradictions entre les décisions des conciles et entre les versets monothéistes, les chrétiens se trouvaient acculés à faire appel à la raison pour essayer d’expliquer cet impossible
«mystère» qui est inimaginable et
faire saisir aux ouailles les cas des
trois qui font un et le un qui fait
trois. Les chrétiens n’ayant pas réussi à solutionner ce problème se sont restreints à clamer que la Trinité est un mystère parmi d’autres et
dont l’entité reste inexplicable pour la logique des hommes.
Mieux encore, certains d’entre eux reconnaissent
l’opposition entre le christianisme et la raison.
«Saint» augustin a dit :
« je suis croyant car cela ne concorde pas avec l’intelligence.» (...) a avoué : « toute tentative de faire du christianisme une religion rationnelle ne peut aboutir qu’à sa ruine.» Il est mentionné dans le livre (l’enseignement chrétien) : « la Sainte Trinité est une énigme au vrai sens du mot. La raison ne peut concevoir un Dieu triple, mais c’est ce que la révélation nous a appris.» De son côté, (...) a écrit : « c’est là un mystère vague parmi tant d’autres concernant la nature divine, son entité ne peut être expliquée par le biais de l’entendement.»
Le père (...) a écrit : « les convictions chrétiennes sont au-dessus de la compréhension humaine.» (...) Le moine (...) a confessé que la compréhension de la Trinité relève de l’impossible, il a conclu que cette pénétration n’a aucune importance et a écrit dans son livre «le secret de l’éternité » : « celui qui tente de percer le secret de la Trinité dans son ensemble ressemble à celui qui essaie de mettre toutes les eaux des océans dans sa main.» Derrière tous ces voiles se dissimule la réalité, à savoir que la Trinité est une conviction qu’il n’est pas possible à l’intelligence humaine de comprendre, non parce que
cette dernière est faible mais parce que la conception de la Trinité est en contradiction formelle avec les choses les plus naturelles et les connaissances humaines les plus simples.» Source: http://knowingallah.com/fr/articles/la-trinite-est-un-mystere-irrationnel
Bibliographie et références 1 - John Wesley, sa vie et son œuvre, par Mathieu Lelièvre, ed.1883, Lettre de John Wesley à Mme. anne Cutler, 15 avril 1790, page 514. 2- https://fr.wikipedia.org/wiki/Trinit%C3%A9_(christianisme)
« La Trinité (ou Sainte Trinité) est le Dieu unique en trois personnes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit, égaux, participant d'une même essence divine et pourtant fondamentalement distincts. 3 - Pour la théologie trinitaire, les trois personnes, ou hypostases, qui constituent le Dieu unique sous forme de Trinité sont divines. Cette essence qui leur est commune est désignée par le terme de consubstantialité. Le mot « hypostase », c'est-à-dire « base », « fondement », d'où « matière », « substance », a été employé au concile de Nicée. https://fr.wikipedia.org/wiki/Trinit%C3%A9_(christianisme) 1-
Apocalypse chapitre quatre #3 (le trône de miséricorde et de jugement) par. 174, 61-0108, http://www.branham.fr/read_prop.php?id=206 Shocking beliefs of John Wesley: https://ntjufen.wordpress.com/frank_viola-croyances-choquantes-de-c-s-lewis/croyances-choquantes-de-john-wesley/ . John Wesley on infant baptism : http://www.ministrymatters.com/all/entry/6217/john-wesley-on-infant-baptism
http://www.umc.org/what-we-believe/by-water-and-the-spirit-a-united-methodist-understanding-of-baptism A) Nombres 23:19 : «Dieu n'est pas un homme pour mentir, ni le fils d'un homme pour revenir sur sa décision. Ce qu'il a dit, ne le fera-t-il pas? Ce qu'il a déclaré, ne l'accomplira-t-il pas? » B) 2 Timothée 2:13 : « si nous sommes infidèles, il demeure fidèle, car il ne peut se renier lui-même» C) 1 Samuel 15:29 : « Celui qui est la force d'Israël ne ment pas et n'éprouve pas de regrets, car il n'est pas un homme pour avoir des regrets.»
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21)
Bien que cette page soit dédiée à Martin Luther, j'en profite néanmoins pour vous entretenir sur la foi trinitaire de Luther. La majorité des personnages choisis par William Branham étaient trinitaires. Ce détail est très important, car cette
«adhésion» au dogme de la
«sainte Trinité» disqualifie tous ceux qui professaient ce dogme sur la divinité. La raison est bien simple: un trinitaire, ne peut simplement pas atteindre l'authentique nouvelle naissance, et par conséquent, il ne peut
«voir» et
«comprendre» le royaume de Dieu. En aucun cas, un trinitaire ne peut être digne de revêtir les symboliques
«vêtements blancs» et être reconnu comme un
«vainqueur». Le trinitarisme est la marque «dans le
front», la marque de la bête. Comment les pseudo
«anges/messagers» choisis par William Branham pourraient être restaurés à égalité avec Jésus, si Jésus est un Dieu? Impossible. Dans tous ses enseignements relatifs aux
«pseudo 7 âges de l'Église» et particulièrement sur celui de l'Église de Philadelphie, William Branham a volontairement occulté le verset 12 dans Apocalypse 3. Si vous consultez sa prédication sur l'Église de Philadelphie, (1960) ou l'Exposé des Sept Âges de l'Église (1965), vous remarquerez qu'il n'a jamais osé commenter le verset 12, pour expliquer pourquoi
«celui qui vient bientôt» parle de son Dieu.
Pourquoi? Parce qu'il n'aurait jamais pu l'expliquer! Dans sa compréhension de la divinité, William Branham ne pouvait simplement pas comprendre comment «Christ» pouvait parler de
«son Dieu» alors qu'il est sensé être lui-même
«Dieu». Nous verrons plus loin qu'en associant
«la porte ouverte» au
ministère de John Wesley, suggérant que la compréhension de
«la divinité» était le rejet de la
«Trinité» à partir de l'époque de Wesley, William Branham s'est fourvoyé historiquement et scripturairement et a livré un enseignement confus et impossible à défendre.
Si vous regardez bien dans Apocalypse 3, versets 7 à 13, dans cette adresse à l'ange de Philadelphie, celui qui parle et qui a demandé à Jean d'écrire, s'introduit Lui-même. Il s'introduit comme étant le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre et qui ferme, celui qui place une porte ouverte que personne ne peut fermer, celui qui vient bientôt, celui qui connait le nom de son Dieu et le nom de la ville de son Dieu, et il a un nom nouveau, et finalement il dit
«qu'il est l'Esprit»
qui s'adresse aux Églises.
Ainsi, l'Esprit qui s'adresse aux Églises, et qui vient bientôt, parle de son Dieu, du temple de son Dieu, du nom de son Dieu, de la ville de son Dieu. Surprenant
n'est-ce pas? Cette lettre adressée à l'ange de l'Église de Philadelphie démolit complètement à elle-seule, non seulement tous les enseignements sur
«la sainte Trinité» mais également la conception même de la divinité de William Branham, qui donne à Dieu 3 manifestations. Voyons un peu ce que croyait William Branham.
«(69) Écoutez. Tout ce que Dieu était, Il l’a déversé en Christ. Croyez-vous cela? «En Lui habitait corporellement la plénitude de la Divinité.» Croyez-vous cela? En effet, Il était, Il était, Il était Dieu. Il était, Il était le Fils de Dieu, mais cependant Il était Dieu. Dieu a changé de forme d’un Esprit, et Il a dressé Sa tente, et a commencé... Il est devenu nous. Il est devenu nous afin que nous, par Sa grâce, devenions Lui. Amen. Frère, les gens saisissent certainement cela. Voyez-vous?»
Prédication «N’ayez pas peur, c’est moi» 61-0414, Source: http://www.branham.fr/read_prop.php?id=1538
Lorsque William Branham tente d'explique la divinité, il semble dire que de sa nature
«d'Esprit», Dieu a seulement changé de forme, et a pris la forme humaine
«en Jésus». Sauf, que ça ne colle pas du tout avec les Écritures. Pourquoi? parce que l'Esprit d'Apocalypse 3, au verset 12, celui qui dit qu'il est l'Esprit qui parle aux Églises, parle de son Dieu. Et sans aucun doute, William Branham n'aurait pas pu expliquer ce que Paul voulait dire dans Ephésiens 1:17 et 23 «afin que le Dieu de notre Seigneur Jésus Christ, (...)»
Regardons ce passage:
1 Timothée 6:15-16
« (...) que manifestera en son temps le bienheureux et seul souverain, le Roi des rois, et le
* Seigneur des seigneurs, qui seul possède l'immortalité, qui habite une
lumière inaccessible, que nul homme n'a vu ni ne peut voir, à qui appartiennent l'honneur et la puissance éternelle. Amen ! »
* (le Seigneur des seigneurs habite une Lumière inaccessible et «incréée»)
Notre Dieu et Père Céleste est le «Seigneur des seigneurs». Cette affirmation suppose une hiérarchie de «seigneurs» puisque notre Dieu et Père, est le Seigneur des seigneurs, sinon l'expression «Seigneur des seigneurs» ou «Roi des rois» n'aurait aucun
sens. Il faut donc reconnaitre que tous «les seigneurs» et tous «les rois» sont subordonnés à un seul et unique Seigneur et Roi. Si vous pensez que Paul avait en tête des «seigneurs et des rois terrestres, oubliez-cela. Paul avait plutôt en tête les «hiérarchies célestes, et les «dieux/seigneurs» de Psaumes 82:6 «J'avais dit: Vous êtes des dieux, Vous êtes tous des fils du Très Haut». Rappelez-vous que c'est le passage dont Jésus lui-même a fait allusion dans : Jean 10:34 «Jésus leur répondit: N'est-il pas écrit dans votre loi: J'ai dit: Vous êtes des dieux?» (des rois et des
seigneurs?) Maintenant, j'aimerais bien sortir quelques-uns d'entre vous, de votre «zone de confort» spirituelle... voici quelques questions que les théologiens défenseurs de «la même substance - la consubstantialité» haïssent, car leur interprétation ne trouve pas de réponse.
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: Dites-moi qui est le «Seigneur» dans ce passage, et ensuite qui est «le Dieu du Seigneur» ?
Ephésiens 1:17 et 23 «afin que le Dieu de notre Seigneur Jésus Christ, le Père de gloire, vous donne un esprit de sagesse et de révélation, dans sa connaissance, »
Note: Il y en a qui me diront que l'expression «le Dieu de notre Seigneur» est une mauvaise traduction. Sauf qu'en En anglais, le même passage dit exactement la même chose. Voici d'ailleurs le passage en diverses versions:
New International Version
«I keep asking that the God of our Lord Jesus Christ, the glorious Father, may give you the Spirit of wisdom and revelation, so that you may know him better.»
English Standard Version
«that the God of our Lord Jesus Christ, the Father of glory, may give you the Spirit of wisdom and of revelation in the knowledge of him,»
New American Standard Bible
«that the God of our Lord Jesus Christ, the Father of glory, may give to you a spirit of wisdom and of revelation in the knowledge of Him.»
King James Bible
«That the God of our Lord Jesus Christ, the Father of glory, may give unto you the spirit of wisdom and revelation in the knowledge of him:»
Est-ce que le Père de gloire, le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, serait le «Seigneur des seigneurs» mentionné dans 1 Timothée 6:15?
Maintenant voyons selon les Écritures, qui est le Dieu et Père du Seigneur... Dans le livre de l'Apocalypse, tous s'entendent que l'Esprit (celui qui remplit tout en tous) est le personnage spirituel qui s'adresse aux sept Églises, vu qu'il s'est
présenté lui-même comme tel et qu'il est écrit expressément 7 fois entre les chapitres 2 et 3: «Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises» Retenez-bien que celui qui parle est «l'Esprit»
Ensuite, nous observons que l'Esprit se présente en tant que Fils comme il l'exprime Lui-même dans Apocalypse 2:18 : «Voici ce que dit le Fils de Dieu,
celui qui a les yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l'airain ardent» Ensuite, l'Esprit, celui qui se présente lui-même comme «Fils de Dieu» parle de son Père, lorsqu'il dit dans Apocalypse 3:21 «Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j'ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône.» Ensuite, pour finir je désire compléter avec un autre indice pour vraiment identifier celui qui s'est présenté comme «Esprit», «Fils» et a aussi mentionné qu'il avait un Père, avec ce passage: Apocalypse 22:12 «Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son œuvre.» Maintenant, si vous n'avez pas pu répondre aux questions 1 et 2 posées ci-dessus, comment pourrez-vous répondre aux questions suivantes?
Si celui qui s'est présenté lui-même comme le «Fils de Dieu» et «l'Esprit» qui parle aux 7 Églises, qui «vient bientôt» et ensuite qui parle de «son Père»
alors de QUI parle-t-il exactement, quand il parle «de son Dieu»?
Apocalypse 3:12 «Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus ; j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d'auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau.»
Évidemment, si celui qui parle aux 7 Églises était Dieu, il serait complètement illogique de penser que ce «Dieu» a son «Dieu» ou un
«Seigneur» au-dessus de Lui. Le passage suivant dans Ésaïe 45:6 confirme que notre Dieu et Père habite une
Lumière inaccessible que nul ne peut voir ni n'a jamais vu, et que hors de sa Lumière, il n'y a pas d'autre Dieu. «C'est afin que l'on sache, du soleil levant au soleil couchant, Que hors moi il n'y a point de Dieu: Je suis l'Éternel, et il n'y en a point d'autre.» Celui qui s'est présenté en tant que «l'Esprit qui parle aux Églises», qui s'est présenté comme étant «le Fils de Dieu», qui a mentionné qu'il avait «un Père» , qui a affirmé qu'il «venait bientôt» et qui finalement nous parle de «son Dieu», ne peut pas
être de la «même essence» que notre Dieu, car notre Père n'a pas de Dieu hors de Lui (hors de sa Lumière incréée). Et si Jésus serait une personne divine, de la même essence que son Père, il n'aurait jamais prononcé ces paroles:
Jean 20:17 «Jésus lui dit: (Marie-Madeleine) Ne me touche pas ; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Dieu et votre Dieu.» vers mon Père et votre Père,
Rappelons-nous que les Écritures disent que Jésus était «rempli de la plénitude de l'Esprit»... LA PLÉNITUDE! Ensuite nous observons que Paul parle aussi de plénitude de l'Esprit....
Lisons ce passage d'Éphésiens 1:23: (...) qui est son corps (l'Église), la plénitude de celui qui remplit tout en tous. » (dans l'expression «la plénitude de celui», ici le terme «celui» fait allusion au Seigneur, titre donné à l'Esprit, titre du Fils, que son Dieu lui a donné. ) À mon avis, il n'y a pas plusieurs sortes de plénitude, mais une seule, comme il y a aussi «un seul Esprit»
Question 5: D'après Ephésiens 3:19 « (...) et connaître l'amour de Christ, qui surpasse toute connaissance, en sorte que vous soyez remplis jusqu'à toute la plénitude
de Dieu.» Paul nous dit que nous sommes appelés à être rempli de la même plénitude de l'Esprit, que la plénitude de Jésus. Croyez-vous vraiment que nous devenons alors de «la même essence» que celle de notre Dieu? Si nous sommes remplis de la plénitude du Fils, ne comprenez-vous pas pourquoi il est dit: «Celui qui a le Fils, a la Vie»?
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22)
Lorsqu'on prend connaissance de l'ouvrage de Clarence Larkin,
«Dispensational Truth» publié en 1918, et qu'on cherche son «Exposé sur les 7 âges de l'Église», nous voyons que les dates qu'il a suggérées pour les 7 périodes allouées à chaque «âge» ont été reprises par William Branham. Par contre William Branham n'a jamais cité sa source d'information, puisque la méthodologie bibliographique est absente dans son livre «Exposé des 7 Âges de l'Église» publié en 1965. William Branham a seulement cherché des personnages historiques reliés au «christianisme» qui pouvaient s'intercaler dans des périodes d'années chevauchant 2 âges
successifs. En cherchant dans la base de données de toutes les prédications de William Branham, je n'ai trouvé seulement trois références où William Branham a mentionné le nom de Clarence Larkin. Mais comme vous le constaterez, William Branham n'a jamais
mentionné qu'il avait «utilisé» les dates proposées par Clarence Larkin. Si vous survolez avec votre curseur les 3 références ci-dessous, vous verrez
apparaitre les citations de William Branham sur Larkin.
- Seventy Weeks Of Daniel P:26 [61-0806]
Soixante-dix semaines de Daniel)
- Gabriel's Instruct To Daniel P:22 [61-0730M] Instructions de Gabriel à Daniel)
- Feast Of The Trumpets P:16 [64-0719M] (La fête des trompettes)
Références: Liens Internet, prédications en français:
(1) [61-0806],
(2) [61-0730M],
(3) [64-0719M]
Question: Au fait qui avait décidé en premier lieu de fixer la date du début de «l'âge» de Sardes en 1520 et la fin en 1750?
Réponse: En 1918, un théologien baptiste nommé Clarence Larkin, décida de sa propre initiative de placer le soi-disant âge de Sardes entre les années 1520 et 1750. Ce fut publié en 1918. Larkin n'osa jamais nommer quelque personnage historique en tant que «messager» pour les soi-disant âges qu'il avait suggérés. Mais William Branham prit les dates de Larkin, fouilla dans l'histoire et assigna des personnages historiques ayant eu
«une
certaine renommée du point de vue religieux» aux dates de Larkin!
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23)
William Branham savait que Clarence Larkin était un prédicateur/théologien Baptiste, parce que lui-même fréquenta les églises Baptiste et que les travaux de Larkin étaient très répandus dans le milieu baptiste-évangélique.
Dans son ouvrage publié en 1918, intitulé «Dispensational Truth» au chapitre 22,
«Les sept Églises», Clarence Larkin avait choisit de sa propre initiative des dates pour le début et la fin de chaque âge. Non seulement William Branham savait que la théologie de Larkin n'était pas
«inspirée» mais il savait également que Clarence Larkin défendait le concept de la
«sainte Trinité» et dans une prédication du 8 janvier 1961, il déclara (indirectement) que tous ceux qui avaient comme fondement théologique «la sainte Trinité» pour adorer Dieu, était
«inspirés par le diable» Citation:« Le trinitarisme est du diable!»
La position
«théologique» de William Branham, relative aux théologiens de son époque, ne faisait aucun doute. Et pourtant, il s'est
«inspiré» de leurs travaux fondés sur le dispensationalisme pour enseigner, sachant parfaitement à qui il avait affaire. Puisque tout l'enseignement de
«l'Exposé des 7 Âges de l'Église» repose essentiellement sur les dates délibérément choisies par Clarence Larkin, ce qui a amené William Branham à choisir des personnages en fonction de ces dates, afin de les aligner avec les
«époques» de Larkin, c'est à se demander si Clarence Larkin est le
«maître» ou «enseignant» de William Branham!
Prenez le temps de
survoler les liens ci-dessous avec votre curseur, simplement en le plaçant sur chaque lien souligné en bleu. [65-1206],
[63-0728],
[63-0412E] ,
[64-1221] , [65-0425]
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24)
Citation prise dans le sermon «Événements modernes rendus clairs par la prophétie» [65-1206] « (p. 68) Dans Hébreux 1.1 : Dieu, autrefois, a écrit la Bible par le moyen qu’Il avait Lui-même choisi. Il ne L’a jamais écrite par des théologiens, Clarence Larkin, et Il ne L’interprète pas non plus par des théologiens. Clarence Larkin. Jamais il n’y a eu un temps où–où les théologiens Clarence Larkin aient a eu une interprétation de la Parole de Dieu.» Citations prises dans le sermon "Christ est le mystère de Dieu révélé [63-0728]
« (p 296) Ainsi donc, il n’y a pas d’écoles, pas de théologiens Clarence Larkin, ni d’enseignants de la Bible dans n’importe quelle école qui connaissent quelque chose à ce sujet. Ils ne peuvent Clarence Larkin ne peut rien connaître à ce sujet. Il leur lui est
impossible de connaître quoi que ce soit à ce sujet. Dieu a caché aux véritables docteurs élus et à tous les autres le sens pour pouvoir reconnaître cela.» «(p. 301) Aveugles, conducteurs d’aveugles!» Remarquez, Dieu seul tient cette clé. Aucun théologien Clarence Larkin ne peut vous le dire, ce n’est pas connu. Cela leur lui est caché. Ils n’en savent rien. Il n'en sait rien» «(p.327) Mais le théologien Clarence Larkin dira : «Attendez, maintenant, juste une minute. Je vais voir si Untel, si le pasteur Moody a dit, ou...»
Citation prise dans le sermon "Dieu se cachant Lui-même dans la simplicité" [63-0412E] «(p.179) Mais les théologiens Clarence Larkin s’étaient s'était représenté tout cela à leur sa manière, et ils L’ont L'a manqué à des centaines de kilomètres.»
Citations prises dans le sermon "Pourquoi il fallait que ça soit les bergers" [64-1221] «(p.21) Maintenant, souvenez-vous, le Messie était déjà dans la ville, né dans la ville, dans une étable; juste à côté de grandes cathédrales où le souverain sacrificateur... et les grands
sacrificateurs, les théologiens, Clarence Larkin, les sages, les gens instruits, eux tous étaient là attendant le Messie."
(p. 112) Eh bien, la Parole de Dieu ne vient pas à un théologien; Clarence Larkin; il n’y a pas... C’est lui qui L’embrouille. Dire que... n’existe pas... Vous dites: « Eh bien, ce gars est un théologien. Clarence Larkin» Cela ne fait que l’éloigner davantage de la Parole, plus que toute autre chose que je connaisse. Voyez? La Parole du Seigneur Dieu, le Dieu immuable, ne change jamais.»
«(p. 184) Et personne, à cause d’un diplôme de théologie ou d’un quelconque diplôme de docteur, n’a le droit de se tenir derrière la chaire pour proclamer le Message de Jésus-Christ avant d’avoir premièrement rencontré
Dieu face à face dans la colonne de Feu. Il n’a pas le droit de se dire messager; en effet, tous les théologiens Clarence Larkin du monde ne pourraient vous en dissuader.» « (p. 226) C’est ce que le Grand Prophète-Berger a
dit: «Vous devez naître de nouveau.» Il a dit à un théologien Clarence Larkin: «Tu dois naître de nouveau.» [64-1221]
1965 - Citation prise dans le sermon "Le lieu d’adoration que Dieu a donné" [65-0425] « (p. 109) J'ai dit:" La Parole ne vient pas à un théologien; Clarence Larkin; La théologie le
fait. » La Parole vient ... Vous voyez, j'ai dit:« La théologie vient à un théologien. Clarence Larkin.»
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25)
Citation: Soixante-dix semaines de Daniel [61-0806]
«(51) Et je suis très reconnaissant à M. Smith, de l’église adventiste, pour son point de vue. Je suis très reconnaissant au Dr Larkin, de son point de vue . Je suis reconnaissant à tous ces gens très érudits, pour leurs points de vue sur le sujet. Et de les lire, ça m’éclaire beaucoup, je trouve des choses qui ont l’air justes. Mais, pour exploiter le point de vue que je—j’ai pensé que j’aimerais exposer,
j’ai fait une recherche sur le “temps”, dans l’encyclopédie, pour savoir ce que c’est que le “temps”.»
- William Branham.
Citation: Les instructions de Gabriel à Daniel [61-0730M] «(33) Et alors, je— j’ai lu le livre du Dr Larkins , le livre du Dr Smith, les notes du Dr Scofield, les commentaires émis par différents hommes un peu partout, et, en prenant tout cela, je n’arrive quand même pas à faire concorder la chose. Voyez? Alors, cette semaine, j’ai l’intention de, je suis allé au Kentucky à la bibliothèque, pour me documenter sur l’astronomie ancienne, les calendriers et la chronologie, et j’ai ramassé autant de livres anciens que j’ai pu, dans les bibliothèques et tout, »
- William Branham.
(Auteur de Dispensational Truth - Le plan et le dessein de Dieu dans les âges) Clarence Larkin est né le 28 octobre 1850 et est décédé le 24 janvier 1924 à l'âge de 73 ans. Clarence Larkin avait 71 ans, lors
du décès de Cyrus Scofield (Bible annotée Scofield). William M. Branham avait 14 ans lors du décès de Larkin.
Larkin était un pasteur chrétien évangélique baptiste américain, enseignant de la Bible, et écrivain.
Bref, même sans formation universitaire en théologie, il fut reconnu
comme un théologien et l'influence de ses travaux est indéniable. Ses livres et ses cartes ont exercé un grand impact sur la culture évangélique conservatrice dans le XXe siècle. Ses cartes et tableaux étaient élaborés dans le but de fournir aux lecteurs une stratégie visuelle permettant de cartographier l'action de Dieu dans l'histoire de l'humanité et d'interpréter les prophéties bibliques complexes.
Sa biographie indique que lorsqu'il s'est converti, il adhéra à l'Église
Épiscopale. Cependant en 1882, à l'âge de 32 ans, il devint un
membre de l'Église Baptiste et fut ordonné pasteur baptiste deux ans plus tard. Ses recherches sur les Écritures bibliques, et la lecture de quelques livres qui
lui sont tombés entre les mains, l'ont conduit à adopter bon nombre des principes de la théologie pré-millénariste qui était populaire dans les milieux protestants conservateurs de
son époque.
À cette époque, il a commencé à créer de grandes cartes murales, qu'il utilisait dans ses prédications et qu'il intitulait
« Vérité prophétique ». Ce nouveau style de prédication l'a rendu
très populaire et lui a permis de prêcher à plusieurs endroits sur invitation. Et en même temps, il
publia plusieurs tableaux prophétiques, qui ont été largement diffusés et ont contribué à la rédaction des articles pour les écoles du dimanche
des églises évangéliques.
En 1918, il a publié
Dispensational Truth
(God's Plan and Purpose in the Ages). Ce livre proposait un plan
de révélation progressive et le dessein de Dieu au cours des âges,
et contenait des dizaines de cartes et des centaines de pages d'éléments descriptifs.
Larkin consacra trois ans à concevoir et
dessiner les graphiques et à préparer les textes. Son livre
devint une véritable défense du dispensationalisme pré-millénariste, s'appuyant notamment sur les grands thèmes présents dans les œuvres d'interprétation majeures de l'époque, comme
celles de Cyrus Scofield, William Eugene Blackstone et John Nelson Darby. Comme Cyrus Ingerson Scofield, il a également distingué sept dispensations, la
dispensation courante étant la « dispensation de la grâce » ou
« la dispensation de l'Eglise » ou
« la dispense ecclésiastique ». Au cours des cinq dernières années de sa vie, la hausse de demande pour ses livres l'obligé à abandonner le pastorat, pour consacrer tout son temps à l'écriture.
Les principales publications du Dr Larkin étaient: Dispensational Truth (Le plan et le dessein de Dieu dans les âges) Rightly Dividing the Word (Dispense correctement la parole) The Book of Daniel (Le livre de Daniel) Spirit World (Le monde spirituel) Second Coming of Christ (Seconde venue de Christ) A Medicine Chest for Christian Practitioners, un manuel de
formation pour l'évangélisation.
Source: Wikipédia - Catégories : Écrivain religieux - (docteur en théologie)
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La doctrine des «7 âges de l'Église» repose essentiellement sur des enregistrements audio Citation WMB des prédications de William Branham,
Citation
WMB entre 1960 et 1965, lesquelles ont été transcrites et traduites (en Français et autres langues) pour servir de références aux disciples «du Message des Temps de la fin». Selon les enseignements véhiculés par le groupe du
«Message», le ministère de prédication de William Branham a apporté «le véritable Message de l'heure», lequel est sensé s'adresser aux véritables croyants, l'Épouse de Christ.
Citation WMB.
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Question: Au fait qui avait décidé en premier lieu de fixer les dates de 1520 à 1750?
Réponse: En 1918, un théologien baptiste nommé Clarence Larkin, décida de sa propre initiative de placer le soi-disant âge de Sardes entre les années 1520 et 1750. Ce fut publié en 1918. Larkin n'osa jamais nommer quelque personnage historique en tant que «messager» pour les soi-disant âges qu'il avait suggérés. Par contre, Larkin mentionna Martin Luther dans son exposé sur l'Église de Sardes et William Branham emprunta le même
personnage. Ainsi, pour la majorité des «pseudo âges», William Branham prit les dates de Larkin, fouilla dans l'histoire et assigna des personnages historiques ayant eu «une
certaine renommée du point de vue religieux» aux dates de Larkin! Comme mentionné précédemment, exceptionnellement, pour «l'âge de Sardes», William Branham emprunta le même personnage suggéré par Larkin, Martin Luther.
Traduction française Clarence Larkin: Chapitre 22. Les sept Églises Référence: https://www.blueletterbible.org/study/larkin/dt/22.cfm Référence: http://www.preservedwords.com/disptruth/chap22-pv.htm Extraits Sept périodes d'Église clairement définies dans l'histoire de l'Église V. Le message à l'église de Sardes. Rev. 3: 1-6.
Extrait: «L'Église de Sardes a été appelée une «Église morte» bien qu'elle ait un nom à vivre. Autrement dit, il s'agissait d'une «Église formaliste», une église consacrée au culte «formel» ou «ritualiste». Elle avait la «forme de la piété sans la puissance». La signification du mot «Sardes» est «l'évasion», ou ceux qui «sortent» et c'est donc un excellent type de l'Église de la
Période de la Réformation.
Par la Réforme, nous entendons cette période de l'histoire de l'Église chrétienne où Martin Luther et un certain nombre d'autres réformateurs ont protesté contre les faux enseignements, la tyrannie et les revendications de l'Église papale.
Cette période débuta vers 1500 avant J.-C. L'état des affaires dans le royaume dominé par l'Église papale devint intolérable et connut une crise quand Martin Luther, le 31 octobre 1517, appela ses 95 thèses à la porte de l'église de Wittenberg, en Allemagne. À partir de cette date, la Réforme s'installe. Mais c'était plus une lutte pour la liberté politique qu'un mouvement purement chrétien ou religieux.
Elle avait l'avantage d'encourager et d'aider la circulation des Saintes Écritures, qui jusqu'alors avait été un livre scellé, la renaissance de la doctrine de la «justification par la foi» et un retour aux modes de culte plus simples; mais la multiplication des sectes n'a mené qu'à d'âpres controverses et querelless, qui, tout en jetant beaucoup de lumière sur la Parole de Dieu, interféraient grandement avec l'état spirituel de l'Église, jusqu'à ce qu'on puisse dire sincèrement: «Qu'elle avait un nom qui donnait l'impression d'être vivante mais qu'elle était morte. »Tandis que les réformateurs balayaient beaucoup d'ordures ritualistes et doctrinales, ils ne parvenaient pas à récupérer la promesse du Second Avènement. Ils se sont tournés vers Dieu à partir des idoles, mais pas pour
«attendre son Fils des cieux». La "Période de Sardes" s'étend de A. 1520 à environ A.D. 1750.» (Clarence Larkin: Dispensational Truth 22. Les sept églises)
* Texte original en Anglais: Clarence Larkin : Chapter 22. The Seven Churches Seven Church Periods clearly defined in Church History. IV. The Message to the Church at Sardis. Rev. 3:1-6.
The Church at Sardis was called a "Dead Church" though it had a name to live. That is, it was a "Formalistic Church," a church given over to "formal" or "ritualistic" worship. It had the "Form of Godliness without the power." The meaning of the word "Sardis" is the "escaping one," or those who "come out" and so it is an excellent type of the Church of the
Reformation Period.
By the Reformation we mean that period in the history of the Christian Church when Martin Luther and a number of other reformers protested against the false teaching, tyranny and claims of the Papal Church.
This Period began about A.D. 1500. The condition of affairs in the realm dominated by the Papal Church became intolerable, and came to a crisis when Martin Luther on October 31, 1517 A.D., nailed his 95 Theses on the church door at Wittenberg, Germany. From that date the Reformation set in. But it was more a struggle for political liberty, than a purely Christian or religious movement.
It had the advantage of encouraging and aiding the circulation of the Holy Scriptures, that had hitherto been a sealed book, the revival of the Doctrine of "Justification by Faith," and a reversion to more simple modes of worship; but the multiplication of sects only led to bitter controversial contentions, that, while they threw much light on the Word of God, interfered greatly with the spiritual state of the Church, until it could truthfully be said, "That she had a name to live and was dead."
While the reformers swept away much ritualistic and doctrinal rubbish they failed to recover the promise of the Second Advent. They turned to God from idols, but not to "wait for His Son from the Heavens." The "Sardis Period" extended from A.D. 1520 to about A.D. 1750.» (Clarence Larkin : Dispensational Truth 1918, Chapter 22. The Seven Churches)
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Référence sur http://www.preservedwords.com/disptruth/chap22-pv.htm
Graphique dessiné par Clarence Larkin, 1918 Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
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Puisque
William M. Branham a choisi Martin Luther en se basant seulement sur ce qu'il a trouvé sur le personnage, selon les livres trouvés dans des bibliothèques» il ne pouvait qu'errer et induire en erreur tout son auditoire. Lorsqu'il a dit «Je crois que...» ou encore «La Bible ne dit pas qui ils sont» en parlant des «anges/messagers» il n'a fait que nous proposer
son propre choix. Est-ce que William Branham a vraiment consulté les théologiens de son époque? Pour en savoir plus, cliquez ici
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Références utilisées ₁ - La Lydie était située dans l'actuelle Turquie. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lydie ₁ - Le personnage John Wesley n'a jamais visité la cité de Philadelphie était https://fr.wikipedia.org/wiki/Philadelphie_(Asie_Mineure) ₂ - Prédication l'Âge de l'Église d'Éphèse, 60-1205 , paragraphe 72 : http://www.branham.fr/read_prop.php?id=931 ₃ - Prédication
Monsieur est-ce le signe de la fin? 62-1230E, paragraphe 270: http://www.branham.fr/read_prop.php?id=712 ₄ - Prédication l'Âge de l’Église de Smyrne, 60-1206, paragraphe 6 : http://www.branham.fr/read_prop.php?id=196 ₅ - Prédication l'Âge de l'Église d'Éphèse, 60-1205, paragraphe 45 :
http://www.branham.fr/read_prop.php?id=931
₆a- Prédication
Les Sept Âges de l'Église, 54-0512, paragraphe 38: http://www.branham.fr/read_prop.php?id=429
₆b- Prédication La Vision de Patmos, 60-1204E, paragraphe 78 : http://www.branham.fr/read_prop.php?id=193
₇ - Prédication l'Âge de l'Église d'Éphèse, 60-1205, paragraphes 76-77 : http://www.branham.fr/read_prop.php?id=195 ₈ - Prédication l'Âge de l’Église de Pergame, 60-1207, paragraphes 286 à 288 : http://www.branham.fr/read_prop.php?id=197 ₉ - Prédication l'Âge de l'Église d'Éphèse, 60-1205, paragraphes 130-131 : http://www.branham.fr/read_prop.php?id=195 10 - Prédication l'Âge de l'Église Thyatire, 60-1208, paragraphe 27 :
http://www.branham.fr/read_prop.php?id=198
L'^Église de Smyrne: http://www.branham.fr/read_prop.php?id=366
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