Prédication Un Paradoxe de William Branham a été prêchée 62-0128A

«(87) Le grand saint Martin, il était païen, c’était son père qui l’était. Il voulait servir Dieu. À l’époque, il y avait en France une loi selon laquelle, si le père était militaire, le fils devait faire le service militaire jusqu’à ce qu’il ait de l’âge. Ecoutez attentivement. Et quand on l’a appelé sous le drapeau, il avait un serviteur. Et, évidemment, chaque soldat avait un serviteur. Et au lieu que son serviteur cire ses bottes, c’est lui qui cirait les bottes de son serviteur. C’était un grand homme. Il aimait Dieu. Qu’arriva-t-il? Une nuit, c’était une nuit froide d’hiver, les vents soufflaient, les gens gelaient à mort en cet hiver rude. Quand lui franchissait un portail, il y avait un vieux mendiant couché là, qui disait: «S’il vous plaît, que quelqu’un me vienne en aide. Que quelqu’un...» Et les gens qui auraient pu l’aider le dépassaient! (88) Martin avait donné tout ce qu’il avait. Alors, il a regardé... Les soldats portaient une cape, un manteau. Il avait besoin d’un manteau. Il gèlerait lui-même. Il a alors ôté son manteau, il a pris son épée et a divisé le manteau en deux moitiés ; il a enveloppé le mendiant d’une partie, il a pris l’autre. Les gens se sont moqués de lui, disant: «Quel drôle de soldat revêtu d’une moitié de cape!» Mais cette nuit-là, il se réveilla dans la caserne. Et quand il regarda, là se tenait Jésus revêtu de ce morceau de vêtement. Les anges se tenaient là, L’environnant, et Il a dit aux anges: «Savez-vous qui M’a revêtu de ceci?» Il dit: «C’est Martin qui M’en a revêtu.» Alors Martin comprit ce que Jésus voulait dire par: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de Mes plus petits, c’est à Moi que vous les avez faites.» En revêtant ce vieux mendiant, il avait revêtu Jésus, car Jésus était dans ce vieux mendiant. Nous ne savons donc pas qui nous dépassons. C’était un paradoxe.»