Prédication Les Investissements de William Branham a été prêchée 63-0126

«(327) Je suis tombé sur les écrits de saint Martin de Tours, un français. Et je vois qu’il était né dans une famille riche. Son père était un grand militaire. Et en France, en ce temps-là, c’était une obligation pour le fils de faire la même carrière que son père. (...) (329) Eh bien, nous voyons que Martin était... devait être un–un soldat. Et il avait un appel de Dieu dans sa vie. Et il était humble. Vous savez, chaque soldat avait un–un homme qui devait cirer ses bottes et–et prendre soin de lui, l’entretenir parce qu’il était un modèle pour la nation, devant les gens. Et voici ce qu’on raconte : « Au lieu que–que ça soit le serviteur de Martin, le… probablement ce garçon de couleur qui devait cirer ses bottes, c’était lui qui cirait les bottes de ce garçon de couleur. » Et pourtant, il n’était même pas encore un chrétien. C’était un païen, mais cette Semence prédestinée reposait là. (...) (334) Il faisait très froid, et le pauvre homme était couché là dehors, sans nourriture, et il mourait de froid. Et Martin, saint Martin, est passé par cette porte, et–et là il a vu un vieux mendiant étendu là. Et le pauvre vieil homme était en lambeaux. Il gelait. Et Martin s’est arrêté et a fait marche arrière. (335)   Les hommes passaient par-là, qui avaient de grands biens. Et il a dit : « S’il vous plaît, monsieur. Je suis en train de mourir. Ne voudriez-vous pas–ne voudriez-vous pas me donner quelque chose ? Je gèle. Je–je ne saurai pas tenir cette nuit. S’il vous plaît, ne me laissez pas mourir. » Et ces gens passaient tout simplement, parce qu’il n’était qu’un mendiant. (336) Martin s’est tenu là et l’a regardé. Il lui a donné tout ce qu’il avait. Il–il a pris… Il avait un seul manteau. C’était comme un châle, couvrant ses épaules, que les soldats avaient à l’époque. Et il portait sur les épaules quelque chose comme une grande et longue couverture. Et il se tenait là. Il savait que cet homme gèlerait aussi cette nuit-là, s’il n’avait pas cela. Ainsi, il a pris son épée, a coupé le manteau par le milieu, en deux. Il est allé et y a enveloppé le vieux mendiant, et il a pris l’autre moitié et s’en est enveloppé lui-même.»