«(65) (...) Bien! Voici un autre miracle que j’ai choisi de vous raconter ce soir.

(66) Il faisait tout ce qu’il pouvait pour détruire le paganisme, et il était fermement opposé à l’église de Rome. Il était en désaccord absolu avec tout ce qui venait des évêques de la première église de Rome, qui devenaient mondains, etc., et il leur résistait. Il était assurément contre eux! C’est même un miracle qu’il ait pu subsister dans une époque pareille.

(67) Un jour, il était en train de détruire un bosquet païen et d’abattre un autel païen; il y avait un arbre sacré placé près de l’autel païen. Il était en train d’abattre cet arbre, et beaucoup de ceux qui étaient présents étaient irrités. Il leur dit: «Attachez-moi du côté où penche l’arbre, et laissez-le me tomber dessus. Si je ne suis pas un homme de Dieu, l’arbre me tuera. Si je suis un homme de Dieu, mon Dieu est capable de détourner cet arbre ailleurs». C’est ce qui s’appelle un défi! Alors, ils se mirent à couper l’arbre; et quand l’arbre se mit à tomber, il se retourna et tua un groupe de spectateurs. Dieu le fit se retourner vers le haut de la colline. C’était un miracle! Oh, il y avait tout le temps des miracles dans ses réunions!»

Prédication Les oints du temps de la fin de William Branham a été prêchée 65-0725M - 336